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lundi, 03 octobre 2016

Menacés par des musulmans, des réfugiés chrétiens cherchent à quitter leurs centres d’accueil

Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2016 

Ils importent la persécution :

T"Mehdi Davud se rend tous les dimanches après-midi dans une petite église protestante du quartier de Neukölln à Berlin. Il y assiste à un office en allemand, traduit en langue persane. Cet informaticien iranien de 33 ans est arrivé en Allemagne il y a un an et a suivi, tous les samedis, des cours de catéchisme avant d’être baptisé au printemps. « En Iran, on m’aurait tué pour oser changer de religion », explique ce trentenaire, au large sourire. Pourtant, ici aussi, au cœur même de la capitale allemande, il se dit mal à l’aise.

À son arrivée, il a été logé, avec 2 000 autres personnes, dans le plus grand foyer d’accueil de la ville, dans les anciens hangars de l’aéroport de Tempelhof. Ce qui l’a poussé à quitter ce centre n’est pas la promiscuité mais les menaces qu’il a reçues de la part de musulmans radicaux.

« Un petit groupe a commencé à nous demander pourquoi nous ne priions pas avec eux, le vendredi, et pourquoi nous lisions la Bible. Ils nous ont dit qu’un musulman n’avait pas le droit de changer de religion. Ils étaient 7-8 personnes au départ, puis une cinquantaine. J’ai eu peur. » [...]

La branche allemande de l’organisation évangélique Portes ouvertes a réalisé en début d’année une enquête auprès de 231 chrétiens irakiens, afghans et syriens (199 sont des convertis) logés dans des centres d’accueil : 204 disent avoir été victimes d’insultes, de menaces ou d’agressions physiques de la part de colocataires musulmans. Pour cette association, ceci ne serait que le « sommet de l’iceberg »"

Michel Janva

Plus de 1 300 patriotes hier à Rungis pour les 10 ans de Synthèse nationale

Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2016

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Trois mois de préparation pour une réussite totale. Tel est le bilan de cette dixième Journée nationale et identitaire organisée ce dimanche 2 octobre à Rungis pour les dix ans de Synthèse nationale.

Réussite totale au niveau de la fréquentation d'abord puisque 1 300 entrées ont été enregistrées, ce qui fait de cette réunion annuelle que nous organisons la plus fréquentée. Un public nombreux et surtout un public enthousiaste. Il l'a prouvé tout au long de la journée en applaudissant les différents intervenants qui se sont succédés et surtout lors de la standing ovation qui, pendant plusieurs minutes, ponctua le discours magnifique de notre invité d'honneur, Jean-Marie Le Pen.

Réussite totale au niveau des interventions puisque toutes les sensibilités de notre famille d'idée étaient présentes et se sont exprimées, dans le respect mutuel, pour finalement arriver à la même conclusion. A savoir, le nécessaire combat contre le mondialisme broyeur des identités et contre l'islamisation, conséquence directe de l'immigration.

Réussite totale au niveau de l'organisation, puisque aucun incident majeur ne vint troubler le bon déroulement des choses. Je profite de cet article pour remercier toutes celles et tout ceux qui ont contribué à cette réussite sur le plan organisationnel, qu'il s'agisse des responsables de stands, du service de restauration et du bar (plus de 700 repas ont été servis), qu'il s'agisse de la sono, qu'il s'agisse du service d'ordre, discret mais efficace, qu'il s'agisse de l'accueil et du stand de Synthèse nationale. Merci aussi à la direction et au personnel de l'Espace Jean Monnet pour son professionnalisme.

Réussite totale au niveau des stands (plus de 60), puisque tous ont bien vendu ce qu'ils proposaient. Notons cette année la présence de plusieurs entreprises commerciales qui, de leur propre aveu, n'ont pas regretté d'être venues.

Réussite totale de la partie festive de la journée. Pinatel d'abord qui suscita avec son Pinatel show, l'hilarité du public. Docteur Merlin en début d'après-midi qui interpréta, outre ses classiques, les chansons de son dernier album. Les Brigandes, nos Chères Brigandes, enfin, qui, après le meeting politique, nous offrirent un concert d'une grande qualité qui fut acclamé par le public emballé.

Réussite totale au niveau de Synthèse nationale, puisque près de 60 abonnements à nos revues furent enregistrés.

Je tiens à remercier les intervenants, Hervé Van Leathem (Nation Belgique), Gabriele Adinolfi (Polaris Rome), Thierry Bouzard, Richard Roudier (Ligue du Midi), Arnaud Raffard de Brienne), Serge Ayoub, Hugues Bouchu, Pierre Vial, Pierre Cassen, Alain Escada, Luc Pécharman, Roger Holeindre, Carl Lang, Jean-Paul Chayriges de Olmetta, Filip Dewinter et Jean-Marie Le Pen bien sûr, pour leurs interventions et leurs témoignages d'amitié.

Toute la semaine des articles sur cette journée seront publiés sur ce site.

En route vers la XIe Journée nationale et identitaire l'an prochain...

 

Source : synthesenationale

Quand Yann Moix s’écrie dans Paris Match « vive le roi ! »

Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2016

par 2 octobre 2016

Même si le ton est parfois grinçant, un peu comme agacé de découvrir une réalité qu’il ignorait, le fond est bon et on a l’impression que Yann Moix, pourtant peu suspect de conservatisme, découvre et admet les bienfaits du régime monarchique. Et les réponses du duc d’Anjou semble éveiller un sentiment enfoui, celui d’une aspiration à une transcendance trop longtemps niée.

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Article de Yann Moix dans Paris Match du 29 septembre 2016

Louis, duc d’Anjou

Il est prétendant au trône de France

« On ne sait jamais, disait Sagan, ce que le passé nous réserve. » C’est une phrase dont Sa Majesté Louis XX, looké comme un trader qu’il n’est pas, et à qui j’accepte bien volontiers de donner du « Monseigneur », ne peut que faire son miel. Descendant des Bourbons, branche espagnole, le duc d’Anjou, avec sa belle gueule d’acteur hollywoodien, est notre roi. Sa royauté loge dans son sang et son royaume, dans ses rêves.

Ironiquement, il me donne rendez-vous (pardon : il me reçoit) avenue Hoche, et Hoche est le plus grand général de la Révolution, qui en outre mata la chouannerie. Et, qui plus est, dans un cabinet d’avocat, comme pour se défendre de vouloir redonner à la France, « pays déliquescent », l’autorité naturelle qui lui manque aujourd’hui : celle d’une transcendance à la fois politique et divine.

Monseigneur ne s’excuse pas d’être ce qu’il est, veut être, veut re-être : non point le successeur de 1848 mais le continuateur de 1830 ; non pas, bien que banquier, porter le chapeau haut de forme de Louis-Philippe, roi des Français, mais la couronne de Charles X, roi de France. Pas de trône sans autel. Je lui demande si la monarchie de Juillet est la monarchie de l’imposture ; non seulement il acquiesce, mais ne comprend même pas qu’une telle question puisse se poser. Il m’affirme toutefois que ses relations avec la famille d’Orléans (« ce sont quand même mes cousins ») sont au beau fixe.

Comme Napoléon III, il se veut proche des pauvres, et affiche un souci permanent de la question sociale. Mais il rechigne, très fermement, et très étonnamment, à faire campagne : c’est aux Français de venir le chercher. Démarcher n’est pas digne de sa stature et, même si cela peut paraître vain que de vouloir régner sans le faire savoir, c’est là une posture qui, dans le monde parasitaire des médias incessants et des démagogies perpétuelles, apparaît révolutionnaire. On pourrait se gausser, regarder de haut cette incarnation étrangement yuppie de la France éternelle. De grâce, ne nous moquons pas trop : la monarchie était également très inimaginable en 1814 et en 1830. Il suffirait, glissé-je à Monseigneur, qui acquiesce, que Jacques Juilliard, Marcel Gauchet, Pierre Nora et Alain Finkielkraut organisent un colloque et publient huit tribunes sur le thème « une nouvelle Restauration est-elle souhaitable ? » pour que le pays du régicide se pose (calmement ?) la question. N’a-t-on pas la sensation d’avoir tout essayé ?

Et les Français ne sont-ils pas chagrins, en réalité, d’avoir, depuis la disparition du septennat, perdu toute possibilité de ces pseudo-restaurations qu’étaient les cohabitations ? En cohabitation, le président de la République trône, il lévite, il incarne. Mitterrand 1986 et 1993, Chirac 1997 : des rois populaires. « Non pas un roi qui se sert de la France, mais un roi qui sert la France », me dit Louis XX avec son inénarrable accent espagnol, qui paradoxalement le rend plus européen que quiconque. Il déteste le laïcisme, cette religion de l’outrance. Et pense que c’est par la religion catholique, à partir d’elle et non contre elle, qu’il faut penser l’islam ; idée plus moderne qu’il n’y paraît : le catholique doit, par devoir autant que par définition, faire place, toute sa place, à l’autre, à l’étranger, au migrant. Ce n’est pas en dissimulant ses racines christiques que l’on peut sortir de la crise, mais en les affirmant.

Si la France ne se respecte plus, c’est, pour Sa Majesté Louis XX, héritier du trône, parce qu’elle ne respecte plus ses représentants. S’il y a crise, c’est d’abord avant tout une crise de légitimité. Le roi est vivant, vive le roi !

Par Yann Moix

Paris Match du 29 septembre 2016

 

Source : medias-presse.info

Triomphe du non à la politique migratoire de l’Union européenne au référendum en Hongrie

Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2016

par 2 octobre 2016

Triomphe du non à la politique migratoire de l’Union européenne au référendum en HongrieTriomphe du non à la politique migratoire de l’Union européenne au référendum en Hongrie: il recueille 98,3% des suffrages exprimés après le dépouillement de bureaux de votes représentant 98,1% des inscrits

On s’attendait à une victoire du non au référendum hongraois, mais c’est à un raz-de-marée historique d’hostilité à la politique migratoire de l’Union européenne qu’on a assisté ce dimanche 2 octobre.
 
Rappelons que la question posée était-celle-ci:
 
« Voulez-vous que l’UE puisse prescrire l’installation obligatoire en Hongrie de citoyens non hongrois sans l’approbation de l’Assemblée nationale? »
 
Les résultats provisoires, mais qui permettent déjà au non d’être très largement victorieux, sont ceux-ci:
 
Inscrits: 8 272 625
 
Dépouillés: 8 118 518 (98,1% des inscrits)
 
Votants: 3 514 632 (43,3% des inscrits dans les bureaux de votes dépouillés)
Exprimés: 3 231 502 (39,8% des inscrits dans les bureaux de votes dépouillés)
 
Non (refus de l’installation obligatoire en Hongrie de citoyens non hongrois sans l’approbation de l’Assemblée nationale hongroise): 3 175 773 (98,2%)
 
Oui: 55 729 (1,8%).
 
Il n’est donc pas nécessaire, vu l’ampleur considérable de la victoire du non, d’attendre les résultats définitifs pour savoir quelle est la réponse des électeurs hongrois à la question posée.C’est NON.
 
Le seul suspense est de savoir si le non va dépasser ou non les 98% des suffrages exprimés, et à vrai dire, c’est quasiment certain.
 
A noter que le nombre de oui n’atteint même pas le nombre moyen d’inscrits dans une seule circonscription législative hongroise alors qu’il y en a 106 en Hongrie…
 
Viktor Orban, 1er ministre, a indiqué qu’il y aurait des conséquences légales en cas de victoire du non, et ceci quel que soit le taux de participation. Celui-ci n’a pas été très élevé (43,3% pour l’instant), mais il est cependant significatif, vu l’ampleur de la victoire du non. 
 
C’est certainement une défaite historique infligée aux instances dirigeantes de l’Union européenne, et une victoire des 4 pays du Visegrad (Hongrie, Pologne, Tchéquie, Slovaquie) qui s’opposent courageusement à leur politique suicidaire. 
 
G. Paume