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dimanche, 02 octobre 2016

En Bosnie-Herzégovine, les Serbes "ne veulent plus vivre avec les musulmans"

Mersiha Nezic / L'Express
Résultat de recherche d'images pour "bosnie herzégovine"Les partis nationalistes devraient sortir gagnants des élections locales en Bosnie-Herzégovine qui se tiennent ce dimanche. Les velléités séparatistes des Serbes font craindre une implosion du pays. Reportage à Pale, fief des nationalistes serbes le jour de cette consultation coxntroversée.

"Nous les Serbes, nous avons renoncé à ce concept qu'est la Bosnie-Herzégovine." Dans la petite ville de Pale, des élections locales succèdent ce week-end à un référendum sauvage la semaine dernière. Elles devraient donner la victoire aux partis nationalistes issus des trois communautés du pays. L'heure n'est pas au vivre-ensemble, comme le laisse comprendre Aleksandar, le tenancier d'un minuscule bar.

Ici, vingt ans après la guerre qui a fait 100 000 morts et provoqué le déplacement de 1,8 million d'habitants, le temps semble figé. Pale était la capitale autoproclamée des Serbes de Bosnie entre 1992-1995 et les 3 000 Bosniaques - le nom désigne les musulmans de Bosnie - chassés en début du conflit ne sont jamais revenus.

Grand remplacement

"Les Bosniaques s'accrochent. Comme tous les musulmans, ils font beaucoup d'enfants. Ils savent que dans deux cents ans, ils vont nous dominer démographiquement", assène Aleksandar, planté bras croisés devant un mur tapissé de drapeaux serbes. La théorie du "grand remplacement" et de l'islamisme rampant a de nombreux partisans sur place. "Nous ne pouvons pas vivre ensemble. Nous, les Serbes orthodoxes, nous sommes des gens normaux. Eux, les Bosniaques, à l'instar de tous les musulmans en Europe et dans le monde, recherchent la domination", estime pour sa part Djordje, un grand gaillard au crâne rasé de 37 ans.

Alors l'idée de diviser la Bosnie-Herzégovine- pour l'instant constituée de deux entités non indépendantes gagne du terrain. "L'indépendance, c'est la volonté de notre peuple. J'espère la voir se réaliser de mon vivant", abonde Milomir, un discret client quadragénaire, en sirotant son café. La semaine dernière, Milomir a été parmi les premiers électeurs à glisser son bulletin dans l'urne pour dire oui au maintien de la "fête nationale" des Serbes de Bosnie le 9 janvier. La cour constitutionnelle bosnienne, les autorités de Sarajevo et la communauté internationale s'opposent à cette fête, jugée discriminatoire. Et pour cause: le 9 janvier 1992 est la date de création de la "République du peuple serbe" par Radovan Karadzic, quelques mois avant le début de la guerre, excluant les non-Serbes de cette entité.

Kazadvic, théoricien de l'épuration ethnique et héros

Car Pale est aussi le fief de la famille Karadzic. Son patriarche, Radovan, considéré comme le théoricien de l'épuration ethnique, purge à La Haye une peine de quarante ans de prison pour génocide et crime contre l'humanité. Mais ici, il est considéré comme un héros. En mars dernier, une résidence étudiante a été baptisée de son nom. C'est sa fille Sonja, vice-présidente de l'assemblée parlementaire de l'entité serbe, qui a coupé le ruban. "Longue et heureuse vie à Radovan. Il a été condamné sans aucune preuve", sourit une institutrice, blonde à l'air doux. "On n'aurait pas dû donner le nom de Radovan à ce bâtiment. Il aurait fallu le garder pour un hôpital. C'était un médecin, un humaniste", renchérit Radoje, un professeur de collège en retraite, endimanché dans sa veste de costume rouge fanée.

Aujourd'hui, le pays est divisé en deux entités non indépendantes: la fédération croato-bosniaque et la République serbe dont les vélléités d'indépendance vont grandissantes. Le président de l'entité serbe remercie régulièrement Radovan Karadzic pour son "oeuvre". "La Republika Srpska est redevable à ceux qui ont eu la vision de la créer, qui ont eu le courage de se mettre à sa tête", déclarera-t-il le soir du référendum, à Pale lors d'un meeting électoral. Le leader bosno-serbe joue avec succès la carte ultra-nationaliste pour faire oublier les affaires de corruption et le chômage endémique qui écrasent le pays. Une domination que les partis nationalistes devraient confirmer ce dimanche.

 

Source : news.sfr

Agressée dans Toulouse par des racailles, 3 mois de convalescence pour Priscilla. Par Infos Toulouse -

Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2016

Agée de 37 ans, une toulousaine s’est faite agressé mardi 20 septembre dernier dans le quartier St Michel. Interpellée par des racailles aux cris de « bonsoir princesse », alors qu’elle sortait d’un concert, Priscilla Boh n’y prête pas encore attention. C’est lorsque ce groupe d’hommes l’attaque sur son physique que la situation s’envenime.

Frappée au visage, elle tombe violemment par terre. Transportée à l’hôpital, son poignée est brisé et son visage tuméfié. Il lui faudra 3 mois de convalescence et de rééducation. C’est sur les réseaux sociaux que la jeune femme a révélé son histoire. Sur son compte Facebook on dénombre plus de 10 000 partages.

Dans son témoignage elle se déclare « vidée, traumatisée ». Après « 25 ans à subir ces saloperies : agressions verbales, humiliations, harcèlement sexuel et moral, de rue ou au travail, violences physiques, viol… ». Elle espère désormais que la peur changera de camp. Elle insiste surtout aveuglément sur le prétendu système patriarcal, responsable selon elle de son agression.  Mais elle l’assure, elle reste fière d’être une femme et elle continuera le combat.

A vous aussi, ça peut vous arriver demain …il serait temps que la peur change de camp. Nous parlions la semaine dernière de ces cours d’auto-défense parce que cela n’arrive pas qu’aux autres.

 

Source : infos-toulouse

 

2 octobre 2016 : Xe Journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale

Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2016

Roland Hélie, directeur de Synthèse Nationale, a invité de nombreuses personnalités à prendre la parole à la Xe Journée nationale et identitaire organisée ce dimanche à Rungis. Parmi les intervenants, citons notamment Jean-Marie Le Pen, invité d’honneur, Filip Dewinter, député d’Anvers (Vlaams Belang), Alain Escada, président de Civitas, Roger Holeindre, président du Cercle National des Combattants, et Carl Lang, président du parti de la France. De nombreux stands sont également annoncés.

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Le pape François pleure correctement Shimon Pérès

Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2016

par 30 septembre 2016

VATICAN CITY, VATICAN - JUNE 08: Pope Francis (L) meets Israeli President Shimon Peres for a peace invocation prayer at the Vatican Gardens on June 8, 2014 in Vatican City, Vatican. Pope Francis invited Israeli President Shimon Peres and Palestinian President Mahmoud Abbas to the encounter on May 25th during his visit to the Holy Land. (Photo by Franco Origlia/Getty Images)

Prix nobel de la Paix, « conscience de l’humanité », « bâtisseur de paix infatigable », pleuré par tous les bien-pensants et médias au collier de la planète, Shimon Pérès est enterré aujourd’hui, vendredi 30 octobre 2016, à Jérusalem, et sera inhumé au cimetière du mont Herzl, dans le carré réservé aux « grands dirigeants de la nation ». Tous les grands dirigeants de la planète se sont donnés rendez-vous à cet événement de portée mondiale où il est bon, pour leur image de marque politiquement correcte, d’être, avec la mine attristée de préférence. C’est « être » pour éviter de « ne pas être »et de finir politiquement dans le néant !

François, l’hôte du Vatican, en partance pour son voyage en Géorgie et Azerbaïdjan, est présent en pensée, unique bien entendu, et a rendu son hommage bergoglien à ce père fondateur de l’État d’Israël, conformément à la mentalité dominante. Dans un message de condoléances en anglais envoyé à l’actuel président Reuven Rivlin, le pape François a écrit :

« Profondément attristé par la disparition de Son Excellence Shimon Pérès, je désire adresser à vous et à tout le peuple d’Israël mes plus sincères condoléances. Je me souviens avec affection du temps passé avec monsieur Pérès au Vatican et je redis ma grande reconnaissance pour les efforts infatigables en faveur de la paix de l’ex-président. Tandis que l’État d’Israël pleure Shimon Pérès, j’espère que sa mémoire et ses nombreuses années de service inspirent à tous le souci de travailler avec encore plus d’urgence pour la paix et la réconciliation. De cette manière, son hérétage sera vraiment honoré et le bien commun auquel il a travaillé avec tant d’engagement trouvera de nouvelles expressions, pendant que l’humanité tente d’avancer sur la route d’une paix durable. Avec l’assurance de mes prières pour tous ceux qui sont en deuil, j’invoque la divine bénédiction de consolation et force sur toute la nation. »

Ce n’est évidemment pas la bénédiction du Crucifié qu’il leur a adressé !

Pour saisir toute l’imposture et le mensonge de cet hommage mondial, il est bon d’écouter l’analyse de Jean-Michel Vernochet et Youssef Hindi qui donne quelques réponses à la question : « Shimon Pérès, artisan de paix ? »

Ils nous rappellent que ce héros de la paix était « un socialiste« . Qu’il fut « le grand architecte de la puissance nucléaire israélienne, moyen de chantage vers les puissances européennes, puissance dont personne ne parle. » Qu’il avait l’apparence du pacifiste alors qu’il fut l’artisan de la guerre préventive. « Ce bâtisseur de paix » dont les conséquences directes de sa politique en faveur d’Israël sont, dans le voisinage d’Israël, d’avoir instauré le chaos partout. Comme président et premier ministre, Shimon Pérès eut également la responsabilité de la colonisation de la Cisjordanie : comme homme de paix, « il a créé les conditions d’un conflit perpétuel. »

Pour citer Youssef Hindi : « Nous sommes dans un monde orwellien, « la paix, c’est la guerre, la liberté c’est l’esclavage ». De ce point de vue là, Shimon Pérès a œuvré pour cette paix qui, du point de vue des Israéliens, est synonyme de guerres et de destructions. »

« Il y avait la vérité, il y avait le mensonge, et si l’on s’accrochait à la vérité, même contre le monde entier, on n’était pas fou. » George Orwell in 1984.

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.infol

Calais-bis à Louveciennes : un père de famille interpelle le maire

Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2016

par 1 octobre 2016

Calais-bis à Louveciennes : un père de famille interpelle le maireLa réunion d’information organisée à propos de l’installation d’un camp de migrants à Louveciennes a réuni énormément de citoyens révoltés par cette situation que veut leur imposer le gouvernement. Un père de famille interpelle les élus locaux et, sous les applaudissements, énumère les désagréments que vont connaître les habitants si on laisse Louveciennes devenir un Calais-bis.