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mardi, 17 janvier 2017

Calais: Une responsable caritative trompait son mari avec un migrant. Le « réfugié » menace de tout divulguer.

Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2017

Clare Moseley

Ces femmes se portent souvent "volontaires" afin d'assouvir leurs besoins sexuels, en profitant justement de ces frontières qu'elles haïssent tant, qu'elles cherchent à détruire mais qui leur donnent du pouvoir, en faisant miroiter aux migrants une "régularisation". De part et d'autre, nous avons donc affaire à des gens qui ne respectent aucunement nos pays et notre identité mais qui profitent hypocritement de ce que nous défendons.

Enfin, personne ne sera surpris de constater qu'une telle femme a été érigée en exemple par un média mainstream, The Guardian allant même jusqu'à la présenter en femme de l'année alors qu'elle a abandonné mari et enfants pour des envies sexuelles sous l'excuse valorisante "d'humanitaire". C'est dire à quel point nos médias ne sont plus crédibles.

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La responsable d'une organisation d'entraide pour les migrants de Calais a eu une relation avec un Tunisien qui lui servait de jouet sexuel et de garde du corps alors qu'elle était déjà mariée. Mais en même temps, elle insistait pour que ses bénévoles n'aient pas de relations sexuelles avec les migrants.

  • La relation de Clare Mosely avec Mohamed Bajjar était «bien connue» dans la jungle de Calais
  • La femme de 46 ans a mis sur pied l'organisation Care4Calais en 2015, qui avait pour règles l'interdiction des relations sexuelles entre bénévoles et migrants.
  • Il est allégué qu'elle a emménagé avec le Tunisien de 27 ans, connu sous le pseudo de Kimo
  • A présent, elle a rompu avec lui parce qu'elle craint qu'il l'ait escroquée

Clare Moseley, fondatrice de Care4Calais, a eu une relation avec un migrant tunisien nommé Mohamed Bajjar.

Plus tôt ce mois-ci, il est apparu que Madame Moseley, 46 ans, a interrompu sa relation avec Bajjar,  27 ans, car elle craignait qu'il lui escroque des milliers de livres sterling indique The Sun.

Amis de Mme Moseley a affirmé que Bajjar avait menacé de dire à son mari de l'affaire et de lui envoyer des photos du couple pendant qu'ils étaient ensemble. L'organisme de bienfaisance Care4Calais a été mis en place en 2015 après Mme Moseley a été ému aux larmes par le sort des migrants vivant dans la Calais Jungle et l'organisation a obtenu le statut de charité.

Les amis de Madame Moseley ont affirmé que Bajjar avait menacé de dévoiler la relation au mari et de lui envoyer des photos intimes.

L'organisme de bienfaisance Care4Calais a été mis en place en 2015 après que Madame Moseley ait été émue par le sort des migrants vivant dans la Jungle de Calais. L'organisation a obtenu le statut d'œuvre de charité.

"Tout le monde dans le camp savait à leur sujet. Les migrants pensaient qu'ils étaient mari et femme."

A présent, Madame Moseley accuse Bajjar de la duper, après qu'il ait demandé d'envoyer de l'argent à sa famille. Le migrant a été arrêté par la police le 6 janvier. Il est soupçonné d'avoir volé le téléphone de Madame Moseley.

A l'époque, Madmae Moseley s'est exprimée afin de condamner les bénévoles qui avaient des relations sexuelles avec les migrants et elle a déclaré que son organisation Care4Calais avait une politique de tolérance zéro envers de telles pratiques.

"Il est révoltant qu'elle ait été si loquace concernant l'interdiction des relations sexuelles entre les bénévoles et les migrants." 

Clare Moseley

The Sun a également affirmé que Bajjar avait déjà escroqué une femme britannique afin de se marier en Tunisie après s'être fait passer pour un réfugié syrien.

Ils se seraient rencontrés dans la station balnéaire tunisienne de Sousse il y a six ans, mais la relation s'est rompue lorsque la mariée a refusé de débourser les 1'500 livres sterling pour son visa.

Une porte-parole de Care4Calais a déclaré: "Notre priorité reste le soutien et la protection des réfugiés à Calais, dont beaucoup fuient une violence et une horreur inimaginables, et cela ne va pas nous distraire de cette mission vitale."

En 2015, Madame Moseley a écrit un article d'opinion dans le Guardian dans lequel elle admettait qu'elle avait abandonné son entreprise, son mari et sa famille ".

Se référant à sa famille, elle a déclaré: «Ça a été dur pour eux, mais ils savent c'est quelque chose que je devais faire. Je ne peux pas rester en toute conscience et ignorer ce qui se passe.

«Je ne peux pas imaginer vivre ma vie normalement, aller au restaurant, à des fêtes, en oubliant la façon dont les gens ici ont besoin d'aide.»

The Guardian a nommé Mme Moseley comme l'une des «Six femmes qui ont fait 2015».

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

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