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samedi, 22 juillet 2017

Journalistes : idiots utiles du macronisme

Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2017

Rédigé par notre équipe le 21 juillet 2017.

 
 
 
Arrivé au pouvoir grâce à une campagne de propagande sans précédent dans l’Histoire de France, Emmanuel Macron fuit les journalistes comme la peste depuis son élection. Une seule petite interview accordée à la presse depuis le mois de mai et surtout une communication cadenacée pour donner aux Français l’image d’un président jeune et compétent. Mis sur la touche, les journalistes commencent à s’impatienter à l’image de l’ancienne correspondante de Canal+, Laurence Haïm qui a quitté En Marche après avoir donné le peu qu’elle avait en magasin.

On n’est jamais mieux servi que par soi-même. Ce vieil adage a été vite repris par les éminences grises d’En Marche. Une fois le pouvoir conquis pour le mettre à entière disposition de quelques élites malfaisantes, les sbires d’Emmanuel Macron ont une nouvelle idée en tête : transformer la coquille vide d’En Marche pour en faire un média. Une stratégie décapante qui illustre la vraie nature du pouvoir. Macron ne fait pas de la politique, mais un show dans lequel le public hypnotisé ne comprend pas qu’en coulisses le vrai pouvoir tire les ficelles pour son seul profit.

Ainsi, dans l’esprit jupitérien de notre président, les partis politiques ne servent à rien. Il a bien réussi à prendre l’Elysée sans aucune troupe (pas même les « marcheurs » que personne n’a jamais rencontré avant l’élection présidentielle), il peut donc s’y maintenir s’il actionne les bons leviers. Dans le cas présent, le plus important est médiatique. Il faut contrôler l’information qui sort afin de créer une réalité. Peu importe qu’elle soit à des années lumières de la vraie réalité. C’est pourquoi, les cerveaux d’En Marche ont annoncé il y a deux semaines que le mouvement allait commencer sa mue et « se constituer comme un média » (avec les subventions de l’Etat qui vont avec ?).

Tout contrôler pour ne pas avoir à se justifier

Il s’agit là d’un pari audacieux, mais finalement pas si étrange compte tenu de l’aversion d’Emmanuel Macron pour la discussion et la moindre interprétation. Toujours mis dans des conditions parfaites par des journalistes aux ordres, il passe même beaucoup de temps à choisir ceux qui auront le privilège de le suivre dans ses déplacements ultra-encadrés et scénarisés. Mais voilà, le contrôle absolu sur des entités étrangères ne lui suffit plus. Il faut contrôler tout à 100 % et cela passe par des informations produites et narrées par des journalistes d’En Marche. Ainsi, le mouvement a déclaré être à la recherche de « rédacteurs » de contenus et de vidéastes enthousiasmés par le vide macronien. Nul doute qu’il y aura des prétendants, les médias ont bien fait leur travail jusqu’à maintenant pour faire croire que Macron est un pur génie.

Mais cette initiative ne plaît pas à ces mêmes médias qui commencent à comprendre qu’ils ont couronné un roi qui leur crache au visage régulièrement. Ils frappent à la porte de l’Elysée et au lieu d’avoir le gros Hollande qui leur ouvre avec champagne et pâtisseries dans les mains, on leur colle un coup au cul… Autre micro-événement qui illustre la désillusion des journalistes, le départ de Laurence Haïm qui avait troqué son costume de correspondante aux Etats-Unis pour un rôle plus officiel de propagande en qualité de porte-parole du candidat Macron.

Très mauvaise en plateau, ne connaissant aucun dossier et encore moins la vie des Français, Haïm fut un temps mise au réfrigérateur (histoire de suivre des cours du soir) avant de reprendre du service. Pas longtemps, car l’ancienne Obama girl vient d’annoncer son départ d’En Marche et a posté une photo du réceptionniste en guise de message d’adieu. L’amour ne dure qu’un temps surtout quand on comprend qu’on a été utilisé pour ses trop rares talents. Celui de Laurence Haïm était de connaître sur le bout des doigts l’équipe Obama, ce qui a permis à Macron de se mettre en scène dans une conversation téléphonique assez pathétique. Une fois ce seul joker mis sur la table, Haïm est devenue le gros boulet qu’elle a toujours été. Sa demande réelle ou non d’acquérir un poste d’ambassadeur importe guère. Laurence Haïm symbolise les journalistes cocus qui ont de plus en plus envie de dire du mal de Macron, mais qui ne peuvent aller au bout de la logique par crainte de perdre leur emploi à la nouvelle ORTF.

Ce cocufiage a de quoi faire sourire, mais ce passage par dessus a tête des journalistes de la part du président est inquiétant. Il n’entend pas rendre des comptes à qui que ce soit et les (trop) rares observations de ces dérapages sont systématiquement sanctionnés. Haïm du côté des journalistes, le général de Villiers du côté de l’armée. Macron souhaite tout contrôler et ça commence par ce qu’il laisse voir de lui aux Français ! Macron est une farce dangereuse qui accumule les pouvoirs pour assurer un espace assez grand à son ego démesuré.

 

Source :24heuresactu

Lyon – Bénédiction et installation de la statue de Notre-Dame d’Afrique

Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2017

 

La crypte de la Basilique témoigne des « voyages » de Marie dans les différents continents et pays du monde. Après la Vierge impératrice des Amériques – Notre-Dame de Guadalupe – en 2015 et Notre-Dame de la Miséricorde de Chine – en 2016, la crypte accueillera la statue de Notre-Dame d’Afrique, provenant de la basilique éponyme d’Alger. Elle sera installée le 14 août, lors de la vigile de l’Assomption au terme de la procession mariale.

Source

Dans certains quartiers, tuer du « flic » n’est plus un tabou

Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2017

Pour la deuxième fois en quelques jours, des policiers toulousains ont été victimes de tentatives d’homicide par des individus refusant de se plier à des contrôles de routine ; ces voyous n’hésitant plus à tenter de blesser, voire de tuer les agents de la force publique avec leurs véhicules. Les tentatives d’homicide sur une personne dépositaire de l’autorité publique sont des faits graves, mais qui malheureusement deviennent de plus en plus récurrents.

On se souviendra de ces deux policiers pris à parti par des militants antifascistes en marge des manifestations contre la loi travail en mai 2016 et surtout des deux autres agents gravement brulés dans leur véhicule après avoir été agressé par une quinzaine de « jeunes » à Grigny en janvier dernier.

Lors des fêtes du 14 juillet dernier, certains quartiers parisiens se sont presque transformés en zone de guerre, des délinquants n’hésitant plus à tendre de véritables embuscades aux forces de l’ordre classique mais aussi aux pompiers et autres services publics.

IL Y A MAINTENANT UNE VOLONTÉ CLAIRE DANS LES ESPRITS DE CERTAINES BANDES ETHNICO-DÉLINQUANTE OU ENCORE D’EXTRÊME-GAUCHE DE COMBATTRE LA POLICE AVEC UNE VOLONTÉ HOMICIDE CLAIREMENT ASSUMÉE. TUER DU FLIC N’EST PLUS UN TABOU !   

                                                                                                Il ne faudra plus attendre longtemps avant de voir des petits délinquants de banlieue abandonner les coktails-molotov et autres projectiles pour des armes beaucoup plus dangereuses : pistolets automatique, armes de guerre, etc.

La politique, qui consiste à ne plus appréhender les jeunes délinquants pour des incivilités comme la conduite sans casque ou les rodéos en deux roues afin d’éviter les émeutes, envoi un signal de faiblesse à ces bandes qui se croient encouragées à tous les débordements.

Beaucoup d’élus locaux ou de cadres des forces de l’ordre le disent, nous sommes au bord de l’explosion, il suffit d’un incident, d’un autre Adama Traoré pour que tout dégénère et échappe complétement aux services de police et à l’Etat.

UNE CHOSE EST SURE, LES FORCES DE L’ORDRE TRADITIONNELLES (POLICE ET GENDARMERIE) NE POURRONT, CONTINUER LONGTEMPS, À FAIRE FACE SEULES À UNE VIOLENCE QUI GAGNE EN INTENSITÉ CHAQUE JOUR.

Jérôme Gerber.

 

Source : infos-toulouse

Il y a 140 ans, le massacre de Stara Zagora

Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2017

Ces massacres se place dans le contexte de la rébellion bulgare contre l’oppresseur turc  en mai 1876, suite à la levée d’un impôt discriminatoire contre les chrétiens et à la révolte de l’Herzégovine. Alors que les chrétiens laissèrent en paix les musulmans, l’Empire Ottoman se livra par contre à ses génocides antichrétiens coutumiers, commis par les sinistres bachi-bouzouks. Ce fut le théâtre du massacre de Batak, qui souleva d’indignation l’Europe, faisant perdre à la Turquie l’alliance britannique. En voici le récit du journaliste américain McGahan :

«  Un morceau de plafond, un mur incomplet s’élevant, tout le reste en ruines… Nous avons encore regardé le tas de crânes et de squelettes face à nous pour nous apercevoir qu’ils étaient tous petits et que la facture des vêtements embarrassés dans ces os gisant là était faite pour les femmes. Ce n’était, par conséquent, que des femmes et des fillettes. De ma selle, je distinguais environ cent squelettes, sans compter ceux cachés sous les premiers dans un horrible tas. D’autres squelettes étaient dispersés un peu partout à travers les champs. La plupart des crânes étaient séparés du reste des os, les squelettes étaient presque tous sans tête. Ces femmes avaient toutes été décapitées… et la procédure avait été, semble-t-il, la suivante : ils auraient saisi une femme, l’auraient soigneusement dépouillée de sa chemise, auraient déposé au sol les vêtements les plus onéreux, ainsi que les bijoux qu’elle aurait pu porter. Puis tous ceux qui en avaient envie les avaient violées, et le dernier passé la tuait ou pas, selon son humeur… Nous avons jeté un œil dans l’église incendiée mais non détruite, à la charpente noircie. C’était un bâtiments peu élevé au toit bas, que supportaient de lourdes arches irrégulières. Il était à peine possible pour un homme de haute taille de s’y tenir. Ce qu’on vit là était trop horrible pour un rapide coup d’œil. Un nombre immense de cadavres avaient été partiellement brûlés là et les restes carbonisés semblaient à moitié remplir la pièce, jusqu’aux sombres arches basses, ce qui les rendait encore plus sombres et basses. Les restes gisaient dans un état de putréfaction tel qu’il était impossible de s’y attarder. Je n’aurais jamais pu imaginer quelque chose d’aussi horrible. Nous devînmes tous malades et titubâmes hors de l’église ravagée, contents de retrouver la rue de nouveau. Nous fîmes le tour de la place et vîmes le même spectacle se répétant encore et encore une centaine de fois. Des squelettes masculins avec des vêtements et de la chair, encore pendus et pourrissant de concert. Des crânes de femmes à la chevelure traînant dans la poussière, des os d’enfants partout. On nous montra là une maison où 20 personnes avaient brûlé vives; là une autre dans laquelle une douzaine de fillettes avaient trouvé refuge et avaient été assassinées. C’était partout des horreurs cachant d’autres horreurs ».

140 ans avant Daech. Même religion, même méthodes…

Le 24 avril 1877, la Russie déclare la guerre à la Turquie. La Roumanie accepte d’entrer en guerre aux côtés des Russes dans l’espoir d’obtenir une reconnaissance internationale de son indépendance. Ainsi, en juin 1877, la principale armée russe, accompagnée des troupes roumaines, franchit le Danube, traverse le nord de la Bulgarie puis vient piétiner dans les cols des Balkans (dont le col de Chipka) où les Ottomans tentent de les arrêter. Ces derniers vont réussir, du 19 au 21 juillet 1877, à reprendre aux russes la ville de Stara Zagora. La ville sera rayée de la carte par Soliman Pacha, qui utilisa encore les bachi-bouzouks et le massacre dépassa en horreur celui de Batak, ne rejoignant dans l’histoire de la folie humaine que les tueries républicaines en France et celles du FLN en Algérie. Voici ce que relatèrent les témoins :

« Les actes de sadisme sont terrifiants. Les femmes enceintes sont éventrées et leurs enfants à naître arrachés. Les gens sont enfilés sur des broches et cuits comme pour un barbecue humain. D’autres sont écorchés vifs, leurs peaux sont remplis de paille et accrochés sur les arbres. Beaucoup ont été brûlés vifs, certains sur les autels des églises après avoir été crucifiés… Les jeunes femmes sont contraintes de danser nues au milieu des ruines sanglantes avant d’être abattues. Toutes les églises de la ville dont Sainte-Marie et Saint-Nicolas, sont mitraillées par l’artillerie puis incendiées. Dans l’église Sainte Trinité 2 500 Bulgares trouvent la mort, certains corps restant debout par manque de place où tomber. On dénombrera entre 14 000 et 15 000 morts. 1 200 survivants mourront de faim par la suite. 10 000 jeunes garçons, jeunes filles et femmes sont enlevés et déportés en Turquie pour être vendu dans l’Empire, en faire des janissaires ou peupler les harems et les bordels turcs. Le seul édifice public qui survivra à l’incendie et à la destruction est la mosquée, Eski Dzhamiya, encore debout aujourd’hui… »

La Bulgarie parvint finalement à retrouver son indépendance, même si elle fut spoliée lors du Congrès de Berlin (la Bulgarie n’eut ses frontières réelles que de 1941 à 1944). Le souvenir de ce massacre est encore présent dans les mémoires et les victimes sont honorées comme il se doit, et chaque année une marche au flambeau rappelle aux jeunes générations quel « enrichissement » l’islam a apporté à la Bulgarie…

Hristo XIEP

 

Source :medias-presse.info