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dimanche, 22 octobre 2017

Ne dites plus burqa, dites voile intégral

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2017

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Dans notre quotidien, le vocabulaire politiquement correct s’infiltre partout. Récemment, Aymeric Caron s’est même insurgé contre le fait que l’on ait utilisé l’image d’un animal innocent, sans lui demander son avis, dans #balancetonporc.

https://twitter.com/CaronAymericoff/status/91948705708451...

Voici un petit dictionnaire du monde orwellien de la gauche :

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Politiquement correct: huit conseils de vocabulaire pour se mettre à la page

Par Natacha Hérault, publié le 11/10/2017

Vous qui souhaitez vous conformer au politiquement correct, voici les expressions excluantes et celles qu'il convient de privilégier.

Ne dites plus "politiquement correct", dites "inclusif"

Evite l'utilisation de certaines expressions ou mots qui pourraient être considérés comme excluant des groupes de personnes. Exemple: l'écriture inclusive vise à ne plus exclure les femmes de la langue française.

Ne dites plus "homme" ou "femme", dites "cisgenre"

Qualifie une personne dont l'identité de genre est en concordance avec son sexe déclaré à l'état civil. Exemple: je suis née femme, je me sens femme, je suis cisgenre et bien dans mes escarpins.

Ne dites plus "queer", dites "allosexuel" ou "altersexuel"

De mémoire d'humain, personne n'a su donner de définition compréhensible du mot "queer". Désigne toute personne n'étant pas hétérosexuelle.

Ne dites plus "Arabe", "Noir", ou "Asiatique", dites "personne racisée"

Désigne toute personne non blanche.

Ne dites plus "androgyne", dites "gender fluid"

Désigne une personne ne se reconnaissant pas dans la binarité qui oppose les deux sexes.

Ne dites pas "qui pense hors des assignations identitaires", dites "native informant"

C'est ainsi que sont désignées les personnes issues d'une minorité, mais qui développent un discours différent du politiquement correct. Native informant est le terme anglais et poli pour des insultes de type "beur(ette) de service", "caution couscous" et autres joyeusetés.

Ne dites plus "convergence des luttes", dites "intersectionnalité"

Désigne la situation de personnes subissant simultanément plusieurs formes de discrimination. Ainsi, le féminisme intersectionnel combat à la fois le machisme et le racisme.

Ne dites plus "anarchiste", dites "autonome"

Désigne un mouvement qui revendique son autonomie au capitalisme, à l'Etat, et aux syndicats.

Source : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/politiquement-co...

Haute-Garonne : Ils appellent leur petit garçon... Jihad

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2017

Le petit Jihad est né le 2 août. Photo d'illustration CC-By Fabrizio Salvetti

 Le petit Jihad est né le 2 août. Photo d'illustration CC-By Fabrizio Salvetti

Le choix du prénom de leur petit garçon ne fait pas l'unanimité. En août, deux parents vivant à Léguevin, dans la banlieue de Toulouse, ont décidé d'appeler leur garçon... Jihad, comme le révèle Actu Toulouse.

Dans le contexte d'attentats terroristes que connaît actuellement la France, la mairie de Toulouse, où la maman a accouché, a décidé de signaler le prénom au procureur de la République. Ce dernier pourrait saisir un juge s'il estime que le prénom est contraire à la loi. Et les parents devront ainsi trouver un nouveau prénom à leur enfant.

Jihad ne signifie pas "guerre sainte"

Le site d'actualités locales précise cependant que Jihad, bien que rare et peu usité en France, n'est pas un prénom nouveau. Et que, contrairement aux idées reçues, il ne signifie pas, en arabe, "guerre sainte".

Il signifie en réalité "abnégation", "effort", ou "lutte". Dans le contexte actuel, on peut néanmoins s'interroger sur le bien-être de l'enfant, qui devrait porter et assumer un tel prénom.

L'ÉTAT CIVIL PEUT-IL REFUSER UN PRÉNOM?

La réponse est non. En revanche, l'administration, si elle estime que le prénom est contraire à la loi, peut saisir le procureur de la République. Il s'agit d'un contrôle a posteriori, et l'officier d'état civil doit enregistrer le ou les prénoms choisis par les parents.

Que dit la loi ? Comme le dispose l'article 57 du Code civil: "Lorsque ces prénoms ou l’un d’eux, seul ou associé aux autres prénoms ou au nom, lui paraissent contraires à l’intérêt de l’enfant ou au droit des tiers à voir protéger leur nom de famille, l’officier de l’état civil en avise sans délai le procureur de la République. Celui-ci peut saisir le juge aux affaires familiales."

Le juge peut ensuite décider de supprimer le ou les prénoms contestés.

 

Source : ledauphine

Votre voisin blanc est-il raciste ?

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2017