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dimanche, 29 octobre 2017

Le “gouvernement provisoire pied-noir en exil” prend forme dans l'Hérault

Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2017

 Le “gouvernement provisoire pied-noir en exil” prend forme dans l'Hérault

L’exécutif de l’Etat pied-noir : Christian Schembré, Pierre Granès et Jacques Villard (de gauche à droite).
PHOTO J.-M. M.
 
Dotée d'un président, cette “Fédération des deux rives” en quête de reconnaissance se cherche un territoire.

L'initiative a de quoi surprendre. Initiée il y a quelques mois, la création d'un “gouvernement provisoire pied-noir en exil” est entrée dans sa phase concrète. Il y a quelques jours, la composition de ses principaux responsables a été actée lors d'une réunion organisée dans un restaurant de Lattes, près de Montpellier.

Le nouvel État, baptisé “Fédération des deux rives”, est présidé par Pierre Granès, astrophysicien. Il comprend une assemblée nationale, composée de trente-cinq “députés désignés”. Elle est présidée par Christian Schembré, président montpelliérain de l'Association pour la promotion du peuple pied-noir. Son gouvernement est composé de 13 ministres, dirigé par Jacques Villard, cofondateur, en 1973, du Cercle algérianiste, également porte-parole.

"Ils ne constituent pas un peuple"

Professeur de droit constitutionnel, Dominique Rousseau analyse les éléments sur lesquels s’appuient, au travers de différents courriers, les promoteurs de l’initiative pour motiver la création d’un “gouvernement provisoire pied-noir en exil”.

“Ils revendiquent dans leurs missives le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Soit, mais encore faut-il que les pieds-noirs soient juridiquement reconnus comme un peuple à part entière, comme les Kurdes par exemple qui en ont les éléments caractéristiques. À mon sens, ce sont des citoyens Français qui se sont installés à un moment donné en France”, commente-t-il.

 

Pas un peuple “comme les Kurdes”

Son décryptage s’attache ensuite sur un second élément, “induit par le premier point”. “Les pieds-noirs n’ont pas de territoire. Parce que, précisément, ils ne constituent pas un peuple. Leur territoire est celui de leur nationalité, la France. Ils ne peuvent donc pas se dire en exil.” Le juriste poursuit : “Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ne conduit pas à revendiquer automatiquement un État.”

Dominique Rousseau trouve la démarche de créer un gouvernement provisoire “surprenante”. “Le gouvernement en exil, c’est de Gaulle, à Londres, lorsque son propre territoire est occupé. La première chose qu’il avait faite, ça a été de montrer qu’il avait un territoire. Là, il n’y a de base ni constitutionnelle, ni juridique, ni territoriale. Certes, les initiateurs de ce gouvernement en exil précisent bien qu’ils n’ont pas de territoire, puisqu’ils parlent de négociations pour en acquérir un.”

Tout au plus un “territoire privé”

D’ailleurs, l’acquisition d’un territoire, selon lui, ne ferait de celui-ci qu’un “territoire privé”. Un territoire qui n’aurait “aucune compétence juridique pour édicter des règles, un code civil, un code pénal. C’est à mon sens juridiquement impossible.”

“La création de notre État s'appuie sur la Convention de Montevideo du 26 décembre 1933 qui officialise le droit des peuples à se constituer en État. Or, le peuple pied-noir est une réalité de 5 millions d'âmes, dont 1,3 million résidant en France”, explique Jacques Villard, installé à Faugères, dans l'Hérault.

L'initiative est poussée très loin. Le nouvel “État” s'est doté d'un Service de renseignement et de sécurité (Seres). Des “ambassadeurs” seront progressivement nommés. Il est doté d'un drapeau et d'un hymne. Et s'apprête même à disposer d'un premier territoire. “Un État peut se créer s'il y a unité d'esprit, de langue, d'histoire et de territoire”, rappelle en préambule le porte-parole du gouvernement provisoire pied-noir en exil. “Concernant le territoire, nous sommes en train de l'acheter. Notre recherche se concentre entre Gênes et Alicante. Nous travaillons sur plusieurs propositions. Nous souhaitons nous installer sur au moins une centaine d'hectares.” 

“Nous recherchons un territoire”

 

Le territoire, c'est l'enjeu majeur. “Nous venons de signer un compromis de vente pour l'acquisition d'un terrain de 285 ha au nord de Montpellier, du côté de Viols-le-Fort. Ce sera notre première ambassade”, commente Jacques Villard. Un “premier bout de terre”, ajoutera un participant à la réunion de Lattes. Pourrait-il se trouver en Algérie ? “Si l'État algérien l'accepte, je prends tout de suite l'avion pour Alger !”

Un courrier a été adressé, le 30 mai dernier, via son ambassadeur à Paris, au chef de l'État algérien, Abdelaziz Bouteflika. Une missive a également été envoyée, le même jour, à Emmanuel Macron, le Président français. “Nous leur avons officiellement transmis une demande de rendez-vous afin de présenter notre initiative.” Jacques Villard y insiste : “La création d'un État pied-noir n'est pas faite pour regarder vers le passé, malgré les années de souffrance et l'exode. Nous regardons devant. Notamment vers deux pays : la France, notre mère patrie, et l'Algérie, notre berceau.”

 

Source : midilibre

La Police Nationale recrute des islamistes fichés S mais vire des patriotes

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2017

 

L’information a été révélée par RTL : un individu anciennement dans les radars des services de renseignement en vertu de ses liens avec des islamistes, ayant fait l’objet d’une fiche S, a depuis 2012 intégré l’armée, puis a été recruté en tant qu’Adjoint de Sécurité dans les rangs de la Police nationale, avant de réussir le concours interne de Gardien de la Paix.

La police recrute… Tout et n’importe quoi !

C’est donc le plus naturellement du monde que j’ai fait le lien avec ma situation personnelle, moi qui étais Brigadier-Chef OPJ dans la police nationale, ai été suspendu, puis révoqué, condamné par la justice, empêché de trouver un emploi dans le domaine de la sécurité, fiché S, ayant dû m’exiler pour échapper à l’emprisonnement, tout cela pour avoir pris anonymement position contre l’islam et les assassins d’Hervé Gourdel sur Facebook…

J’éprouve une grande colère, que je tente tant bien que mal de canaliser, en pensant au profil de cet individu qui est une bombe à retardement et qui va bientôt pouvoir faire « carrière » dans les rangs de la police nationale, dont certains dirigeants ont estimé qu’il fallait me virer comme un malpropre malgré mes états de service et, pire encore, me ficher S depuis 2015.

Je songe à tous les infiltrés qui, comme lui, pourront exercer un chantage à l’islamophobie en interne, recueillir et transmettre des informations à l’ennemi, voire peut-être dérober du matériel sensible comme ce fut le cas encore récemment à la direction départementale de la sécurité publique de Seine-Saint-Denis, où plusieurs armes et chargeurs ont mystérieusement disparu de l’armoire forte.

Comment ne pas anticiper l’attitude de cette nouvelle recrue, si elle devait par exemple exécuter l’ordre de disperser la foule des musulmans priant illégalement sur les voies de circulation devant la mairie de Clichy-La-Garenne ? Nul doute qu’il refusera de « malmener » ses « frères », en espérant au mieux qu’il ne s’interposera pas.

Rappelons que sur la seule Préfecture de Police à Paris, ce sont 17 policiers « islamistes radicaux » qui ont été identifiés entre 2012 et 2015, que plus récemment au Kremlin-Bicêtre, c’est une Juge d’Instruction qui a informé les autorités de la sympathie d’un Gardien de la Paix pour l’État islamique, et que vous ne serez jamais informés de la réalité et de l’ampleur du phénomène. En effet, cela ferait un peu « tache » pour l’image de l’institution que de révéler que le recrutement s’effectue sans aucune enquête de moralité, contrairement à l’époque où j’ai moi-même intégré ses rangs.

Je me dis que nous, les flics intègres qui avons embrassé cette carrière par choix, celui de protéger nos concitoyens et de contribuer à la neutralisation des criminels et des délinquants, n’avons plus lieu d’être. Puis je me ravise, en considérant qu’il reste encore un espoir, comme le prouve la révélation de cette information à des journalistes qui ont fait leur travail en la relayant.

En effet, comment ont-ils pu être informés si ce n’est par une source interne ?

Gageons que ces policiers, qui ont de leur fonction une vision suffisamment haute pour ne pas tolérer ce genre d’aberration, continueront à défendre les intérêts de cette institution que les politiques successives n’auront fait que malmener, encore et toujours, dans le seul intérêt d’acheter une hypothétique « paix sociale » en obtenant exactement l’effet inverse. »

Sébastien Jallamion

 

Source : reseaulibre

A Toulouse, la police vous offre une heure de garde à vue supplémentaire !

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2017

Insolite

 A Toulouse, la police nationale vous propose une heure de garde à vue supplémentaire !/ Photo DDM illustration, Thierry Bordas

A Toulouse, la police nationale vous propose une heure de garde à vue supplémentaire !/ Photo DDM illustration, Thierry Bordas
La police nationale, à Toulouse, ne manque pas d'humour. Elle a tenu à rappeler à la population le changement d'heure, la nuit prochaine, dans un tweet au message un brin taquin, tout en appelant, bien sûr, à la prudence: "@PoliceNat31 vous propose 1 heure de garde à vue en plus cette nuit à nos côtés en cas d'infraction ! Restez prudents !" Quand prévention rime avec humour... Avis aux amateurs donc !
 

@PoliceNat31vous propose 1 heure de garde à vue en plus cette nuit à nos côtés en cas d'infraction!
Restez prudents!

Le changement d'heure est régulièrement critiqué notamment pour ses effets négatifs. Selon la Sécurité routière, la nuit tombant plus tôt au moment de la sortie des classes ou des trajets travail-domicile, "chaque année, le passage à l'heure d'hiver provoque un pic d'accidentalité routière de +47% pour les piétons en fin de journée", c'est-à-dire sur le créneau 17-19 heures.

 

A ce sujet, une campagne d'information et de prévention des accidents liés à la baisse de luminosité en fin de journée consécutive au changement d'heure a été lancée pour la deuxième année par la Sécurité routière, la Fédération nationale des syndicats d'agents généraux d'assurance (Agéa) et France Bleu.  

La France et les autres pays de l'Union européenne vont revenir à l'heure d'hiver dans la nuit de samedi à dimanche, offrant une heure de sommeil en plus. Dimanche à 3 heures (heure d'été), il sera 2 heures (heure d'hiver) en France. Il faudra donc penser à reculer d'une heure les horloges à réglage manuel. En France, le dispositif existe depuis 1976.

Violences conjugales : le footballeur Nicolas Douchez pris dans le filet

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2017 

douchez,hystérie féministe,violence conjugalesEn ces temps d’hystérie féministe, l’affaire impliquant le gardien de but du Racing Club de Lens Nicolas Douchez est symptomatique.

Le 27 octobre, l’ancien portier du Paris Saint-Germain et de Toulouse a été arrêté à son domicile du XVIIe arrondissement de Paris pour «violences en état d’ivresse» envers une femme :  «Il a massacré sa compagne. Il l’a saisie par les cheveux et lui a cogné la tête sur le mur et le sol», avait expliqué la veille une source proche du dossier. La victime, âgée de 27 ans, se plaignait de douleurs à la tête et avait les genoux écorchés, a indiqué une autre source proche de l’enquête. Il est également poursuivi pour «dégradation grave du bien d’autrui», selon la source judiciaire. «L’état de l’appartement donne un aperçu des violences. Boiseries cassées, miroir brisé, tiroirs détruits, tabouret renversé, débris de verre et vaisselle brisée sur le sol, traces de sang sur les murs et par terre», décrivait jeudi une autre sourceNicolas Douchez, 37 ans, avait été initialement placé en garde à vue pour «violences conjugales», mais cette circonstance aggravante n’a pas été retenue, la jeune femme n’étant pas sa compagne.

Coup de théâtre le lendemain par le biais de l’avocate du footballeur, Me Caroline Toby, qui a déclaré : «Nous voulons rétablir la vérité des faits tels qu’ils se sont passésIl y a eu des constatations policières, une enquête et une confrontation à l’issue desquelles aucune blessure, aucune trace de sang, aucun coup n’a été constaté. Des violences sans interruption temporaire de travail» (ITT), précise Me Toby qui rappelle que les faits se sont déroulés dans l’appartement de la plaignante. «Nicolas Douchez est assez meurtri par la violence des propos» rapportés dans la presse, le joueur se réservant le droit de saisir la justice quant à ces «allégations mensongères et profondément choquantes». Ecarté des bois lensois en début de saison au profit de son remplaçant Jérémy Vachoux, Douchez a repris sa place de titulaire à partir de la 5e journée. Lens, plus gros budget de Ligue 2 (plus que le 2e et 3e réunis), a connu un début de saison catastrophique, pointant à une médiocre 18e place et restant sur une défaite à domicile contre le Stade de Reims. Il est peu probable que Douchez soit du déplacement de demain contre la Berrichonne de Châteauroux.

En tout cas, la différence flagrante des versions entre l’avocate du joueur et celle publiée dans les médias laisse perplexe. Moyen de soutirer de l’argent à une vieille star du football sur la pente descendante ou « pétage de plomb » d’un sportif au bout du rouleau ? Réponse lors du procès qui aura lieu en février 2018… En tout cas, il n’aura pas été le premier à être livré en pâture par les médias pour des accusations erronées, notamment de viol (BrandaoBafetimbi GomisLoïc Rémy). Cependant, des faits de violences conjugales ont bien été réels, tant pour Djibril Cissé (avec la circonstance aggravante d’une grossesse) que pour Kanga Akalé ou Kingsley Coman.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

Le commissariat de Clichy-Montfermeil envahi en toute impunité

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2017

Ecrit parPierre-Alain Depauw

 

En France, en 2017, on peut prendre d’assaut un commissariat de police en toute impunité. Preuve en a été donnée jeudi soir, lorsqu’une dizaine d’individus ont fait irruption de force dans le commissariat de Clichy-Montfermeil.

Les faits se sont déroulés peu après le retour au commissariat d’une patrouille avec à bord du véhicule deux hommes qu’elle vient d’interpeller. Avant même que le portail ne se referme, une dizaine d’individus a fait irruption. Les policiers d’abord submergés, sont finalement parvenus  à repousser les assaillants (dont l’origine n’a bien entendu pas été précisée).

Mais aucun n’a été appréhendé !

On vous le dit, c’est la loi de la jungle…

 

Source : medias-presse.info