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vendredi, 29 décembre 2017

Attali : les réfugiés vont faire de l’Europe la première puissance du monde

 =Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2017

AttaliCaricature

Jacques Attali, ce « Dieu vivant qui sait tout » et comme tel sollicité par tous les plateaux télé, se réjouit de l’arrivée en masse des « migrants dignes, magnifiques, souvent bien formés, jeunes, pleins de dynamisme ». La seule chose qu’il ose déplorer est que nous n’en accueillons pas assez.

https://lesobservateurs.ch/2017/10/18/jacques-attali-il-e...

Ces migrants seraient l’avenir de la France !  De futures élites ! Grâce à leur goût réputé pour l’étude… ils formeraient les futures équipes de savants européens !

Exit la France moisie, « populiste », rance, vieille, ringarde, franco-française !

Que ces gens issus d’un passé révolu aillent au diable !

« Les réfugiés vont faire de l’Europe la première puissance du monde ! ». Rien de moins !

http://www.lesoir.be/archive/recup/988143/article/debats/...
Bravo Jacquot ! Quel prophète tu fais ! Venus d’Afrique et de pays musulmans derniers de la classe sur tous les plans, d’après  toi, à peine toucheraient-ils les territoires européens que ces migrants se transformeraient en champions du travail, de l’exercice intellectuel ! T’es un fin anthropologue et un subtil psychologue ! Les Allemandes et les Suédoises, déjà bien renseignées et servies par tes « réfugiés dignes et magnifiques », te remercient !

Mais quelques bémols se glissent parfois au sein même des prophéties du Grand Jacquot.  Le futur mirobolant de l’Europe, « première puissance du monde » grâce au talent et à la productivité des migrants, peut évoluer au fil d’un même discours, jusqu’à se transformer en un monde cauchemardesque, inhumain, digne du llle Reich. Mais attention ! sans que ce mondialisme immonde soit en quelque façon  remis en cause ! Car le Grand Jacques porte double casaque et deux discours. L’un se flatte d’être conseiller des Princes (voire même faiseur de Rois, enfin, de Présidents.e.s) et  à ce titre, pour le moins, d’orienter le politique.  L’autre facette du Jacquot est le Prophète, qui voit tout, n’hésite pas à prédire les catastrophes, comme s’il n’y avait en rien contribué ! Regardez cette vidéo jusqu’au bout (20 mn environ) et vous ne serez pas déçu

 

Mais trêve de baratin élitaire pro-migrants, pseudo humaniste et pseudo-économique, qui n’a qu’une fonction d’enfumage et de lubrification du corps social, pour faciliter la pénétration massive des hordes migrantes. Préparation préalable du terrain pour que la dictature de l’UE n’ait plus besoin de se cacher derrière  son petit doigt.

Tenons-nous en aux faits :  Il est notoire qu’une infime minorité de migrants travaillent et que la majorité d’entre eux ne sont pas employables. S’ils sont entretenus, nourris, logés et soignés, on peut se douter que, dans une société utilitaire et impitoyable comme la nôtre, c’est parce qu’ils ont vocation à être utiles aux « élites ». Utiles pour remplacer les populations « d’accueil » mais aussi activer cet effacement en faisant le sale boulot (couteaux, machettes, véhicules-béliers divers, kalachnikovs, liste non exhaustive).

Le sens des décisions politiques crève les yeux :

D’un côté nos fossoyeurs aux manettes de l’Etat cassent l’armée et la police (vouées normalement à la défense de la France et des Français), cherchent à désarmer les particuliers détenteurs d’armes.

De l’autre ils ouvrent grand les frontières à des multitudes d’hommes musulmans, jeunes, africains, nord africains, afghans, érythréens, soudanais, échauffés par un baratin culpabilisateur et victimiste, typiquement gauchiste, appris par cœur et reposant sur un alibi post-colonial.

Un argumentaire victimisme préfabriqué par Macron et ses sbires (qui ont accusé la France d’être un pays coupable de génocide, rien que ça !), prêché et rabâché auprès des migrants par les milices gauchistes, pour susciter leur agressivité. Des migrants très compétents… quand il s’agit de terroriser et tétaniser les populations autochtones dont les « gouvernances »  redoutent le soulèvement. Une main d’œuvre en effet plus utile aux « élites » que nos pauvres SDF, voués comme tous les autochtones à disparaître.

Quand les peuples se battent entre eux, leurs Seigneurs et Maîtres sont tranquilles.

« Diviser pour régner », vieille stratégie impériale…  Nos sacrificateurs, idéologues soixante-huitards aux manettes institutionnelles et prêts à tout pour les garder, n’ont rien inventé !

Il fallait juste un gros coup de pouce migratoire pour modifier la composition ethnique et religieuse de l’Europe afin de la précipiter dans le chaos, la libanisation. Scénario propice à  la prédation des mafias en tous genres, qui a permis notamment la dissolution de la Yougoslavie.

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La submersion migratoire, la dissolution des Nations et des peuples européens, est un passage à l’acte monstrueux qui fait frétiller les banksters mondialistes. Tout épatés par leur propre culot, de voir leur trahison et leur stratégie criminelle s’accomplir sans que soit ébranlée – pour le moment –  la passivité des populations européennes dont ils ont programmé le sacrifice, corps et biens.

Victor Hallidée 

Article paru en premier sur RL

 

lesobservateurs

ÉCONOMIE : LES FINANCIERS ET LES MÉDIAS CACHENT LES VÉRITÉS ÉCONOMIQUES AUX FRANÇAIS

Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2017

Marc Rousset

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Mathilde Lemoine, chef économiste du groupe Edmond de Rothschild, nous avoue, dans Le Figarodu samedi 23 décembre, « qu’il y a un décalage entre la sphère financière et la réalité économique ». Elle reconnaît que le niveau de la dette privée des ménages et des entreprises, deux fois plus important que celui du PIB, peut devenir insoutenable si les taux remontent brusquement.

La BCE (Banque centrale européenne) se contredit. Elle pratique une politique de taux bas et non conventionnelle d’achat de dettes d’entreprises françaises (29 % du total de ses achats, contre 25 % pour les entreprise allemandes) afin de faciliter leur accès aux marchés financiers, mais elle dérègle les prix du marché des actifs financiers comme dans une économie administrée. Elle émet en même temps des signaux contradictoires en imposant aux grandes banques, par le biais du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), de limiter leurs crédits et leur exposition à la dette de certains grands groupes.

La BCE cherche, aujourd’hui, à tempérer l’appétit des entreprises pour la dette et celui des banques pour le crédit. La BCE cherche donc d’un côté à relancer l’économie par la politique de l’assouplissement quantitatif, mais donne des directives en sens contraire au HCSF.

Alors que la dette publique française a atteint le niveau astronomique de 2.230 milliards d’euros au troisième trimestre 2017, qui serait insoutenable si les taux d’intérêt remontaient, les médias nous rassurent en nous rappelant que le coupon actuel n’est que de 0,7 % en 2017 et ne sera que 1,85 % en 2018 pour les obligations à dix ans. Quid si c’est, demain, 6 % et 15 % après-demain ? On nous rassure faussement en nous disant que les fonds propres des entreprises financières et non financières ont augmenté respectivement de 5,6 % en et 5,3 % en 2017, ce qui ne change rien au problème fondamental de l’insuffisance des capitaux propres.

Les médias économiques évoquent aussi un argument impressionnant pour le néophyte en nous rappelant que, selon l’INSEE, le patrimoine économique national détenu par les ménages, les entreprises et les institutions publiques atteignait 14.023 milliards d’euros en 2016, soit 7,7 fois le produit intérieur net tricolore, et 6,5 fois le niveau d’endettement.
 
Aux États-Unis, même scénario. Le Dow Jones flirte avec 2.500 points et le NASDAQ est proche des 7.000 points. Wall Street s’est adjugé 35 % de hausse en quatorze mois sans raison valable, si ce n’est l’augmentation de la masse monétaire, mais on nous rassure avec la réforme fiscale de Trump qui va propulser les bénéfices par action d’environ 10 %, oubliant qu’elle va augmenter la dette publique des États-Unis. La réalité, c’est que les valeurs américaines se payent en moyenne environ dix-huit fois les bénéfices attendus pour 2018 – du jamais-vu depuis la bulle des années 2000.

De plus, aucun journaliste des médias traditionnels n’ose écrire que les totaux des bilans des quatre grandes banques américaines représentent 44,5 % du PIB des États-Unis et que les totaux des bilans des quatre banques françaises représentent trois fois le PIB de la France. Aucun journaliste français ne nous écrit que l’endettement des banques françaises est encore plus démentiel que celui des États-Unis. Les quatre grandes banques françaises ont des capitaux propres insuffisants, un effet de levier moyen de 25,53, c’est-à-dire 25,53 euros de dettes pour un euro de capital engagé (de 21,92 pour le Crédit agricole à 31,41 pour la Société générale).

L’effet de levier de Lehman Brothers au moment de sa chute, le 15 septembre 2008, était de 31. Celui des banques américaines, aujourd’hui, n’est que de 11,63, une des rares nouvelles rassurantes en provenance des États-Unis. Au royaume des aveugles les borgnes sont rois.

La vérité, c’est que la sphère financière et les médias ne nous parlent que de surchauffe et d’hirondelles qui font le printemps, alors que les clignotants sont au rouge avec une croissance économique artificielle, instable et fragile.

 

Source : synthesenationale