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dimanche, 11 mars 2018

Marine Le Pen ou l'imagination au pouvoir...

Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2018

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Déjà créé par Jean-Louis Tixier-Vignancour en 1954 puis par Jean-Marie Le Pen en 1986...

Le Rassemblement national, fruit d'années de puissantes cogitations cérébrales, est donc né...

Marine Le Pen, c'est l'imagination au pouvoir.

Il faudrait vraiment qu'elle s'abonne aux Cahiers d'Histoire du nationalisme  cliquez ici !

 

Source : synthesenationale

C’était un onze mars : l’assassinat du colonel Bastien-Thiry

Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2018

Auteur : admin4

Le 11 mars 1963 était fusillé au Fort d’Ivry le lieutenant-colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, 36 ans et père de trois enfants.

Polytechnicien, il avait inventé deux missiles anti-chars.

Il avait organisé l’attaque du Petit-Clamart, pour en finir avec De Gaulle qui avait trahi le peuple, livrait l’Algérie française aux mains des égorgeurs et liquidé le camp nationaliste en France.

Fervent catholique, il justifiait cette action par la légitimité du tyrannicide (théorisée par Saint Thomas d’Aquin).

Un très bon petit livre constitue une bonne synthèse sur ce sujet : Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide, par l’abbé Olivier Rioult (cliquer ici).

Bastien-Thiry marcha vers le peloton chapelet à la main, laissant derrière lui une forte impression, et l’image d’un héros français et chrétien qui avait porté jusqu’au bout l’idéal du sacrifice.

 

Source : contre-info

 

Génération Poutine : « Contrairement aux fantasmes occidentaux, les Russes de moins de 25 ans sont parmi les groupes les plus conservateurs et pro-Poutine de la société »

Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2018

Par  le 10/03/2018 

« Ce que l’âme russe exige, » dit Yekaterina Mamay, « c’est qu’il y ait un politicien fort dans le pays qui ressemble à un tsar. »

Lors de la prochaine élection présidentielle en Russie, l’étudiante de 20 ans, qui sait que le journalisme dans son pays n’est pas libre, votera néanmoins pour réélire Vladimir Poutine. « Le patriotisme est à la mode ».

 

Ici, où la forêt de la taïga rencontre la steppe herbeuse, la «génération Poutine» n’est pas différente qu’ailleurs dans l’immensité de la Russie. Les jeunes adultes russes d’aujourd’hui n’ont aucun souvenir de la vie avant Poutine, qui a pris le pouvoir pour la première fois il y a 18 ans. Certains sont descendus dans la rue pour protester, mais les spécialistes des sciences sociales disent que beaucoup d’autres l’ont accepté. Les sondages montrent que Poutine bénéficie d’un plus grand soutien parmi les jeunes que dans le public en général.

Pour les Occidentaux, les jeunes Russes comme Mamay qui épousent des valeurs libérales mais vénèrent Poutine vivent dans un monde de contradictions. En fait, leur empressement à accepter ces contradictions aide à expliquer l’emprise de Poutine sur la Russie.

Selon un sondage réalisé en décembre par le cabinet de sondage indépendant Levada Center, 81% des adultes approuvent Poutine comme président – dont 86% des Russes âgés de 18 à 24 ans. Parmi ce groupe d’âge, 67% ont dit à Levada qu’ils croyaient que le pays allait dans la bonne direction, comparativement à 56% du grand public.

La génération la plus connectée et internationale de l’histoire russe, ayant accès à plus d’informations que leurs aïeux, aide maintenant Poutine à consolider son autoritarisme.

« Il n’y a pas de masse critique de personnes exigeant un changement radical », écrivent les politologues Ivan Krastev et Gleb Pavlovsky ce mois-ci pour le Conseil européen des relations étrangères. « Contrairement aux fantasmes occidentaux, les Russes de moins de 25 ans sont parmi les groupes les plus conservateurs et pro-Poutine de la société ».

« Les chars sont stationnés sur nos frontières », a déclaré Rybin. « Nous avons de bonnes troupes qui défendent nos frontières, défendant notre Russie. Si nous élisons un président différent, pouvons-nous nous attendre à ce que ces choses demeurent ? »

 

(…) Washington Post via fdesouche

En dépit des protestations des antiracistes et des association communautaristes, la traditionnelle Nuit des Noirs aura bien lieu à Dunkerque

Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2018

Par  le 10/03/2018
 

«Le carnaval, c’est une fête, un moment de joie de vivre sans arrière-pensée. C’est quelque chose qu’on a dans les gênes, pas quelque chose qu’on peut décortiquer. On ne se prend pas au sérieux. Le carnaval, c’est quelque chose qu’il faut vivre, pas quelque chose qu’on peut juger de l’extérieur.» Pour cet habitué de l’événement festif, pas question d’alimenter le débat. Il témoigne de façon anonyme et refuse de commenter la polémique qu’il estime «hors-sujet».

La controverse est née en décembre autour de la Nuit des Noirs, un des nombreux bals qui rassemblent les carnavaleux de Dunkerque. Il a lieu tous les cinq ans, en général à Leffrinckoucke, mais cette année pour fêter les 50 ans du groupe qui l’organise, il a été déplacé au Kursaal de Dunkerque, ce samedi 10 mars. Le dress code est simple: les participants se griment le visage en noir, portent un pagne et un collier d’os autour du cou. Une blague potache, pour certains. Du racisme pour d’autres. À tel point qu’un recours a été déposé mais a été rejeté par le juge des référés du tribunal administratif de Lille à la veille du bal.

«Notre avocat a plaidé sur le fond selon deux axes: l’atteinte à la dignité humaine et le trouble à l’ordre public, explique Louis-Georges Tin, président du Cran (Conseil représentatif des associations noires). On ne peut pas rire de tout. Faire rire de l’esclavage, ça ne m’amuse pas. Dans une société, il y a des limites.» La polémique naît sur le site de la Brigade anti-négrophobie, fin décembre, au lendemain de l’affaire du «blackface» d’Antoine Griezmann. Le 10 février, le maire divers gauche Patrice Vergriete y répond dans une tribune publiée dans Le Monde: il y défend alors un «droit à la caricature». Depuis, il se refuse à tout commentaire. Comme les organisateurs de la Nuit des Noirs.  (…)