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samedi, 16 juin 2018

Grand remplacement : les jeunes de banlieue en 1964…

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2018

Auteur : Pierrot

banlieus,grand remplacement,jeunesSelon les médias, la substitution des Français par des populations allogènes est un mythe. Pire ! Wikipédia et le journalisme bon teint nous expliquent que c’est une théorie complotiste. Les lecteurs de Contre Info trouveront ci-dessous un reportage de 1964 sur les jeunes de la banlieue parisienne (Seine Saint-Denis)… Il y a seulement 54 ans d’écart avec aujourd’hui. Effrayant !

 

Source : contre-info

dimanche, 11 mars 2018

Génération Poutine : « Contrairement aux fantasmes occidentaux, les Russes de moins de 25 ans sont parmi les groupes les plus conservateurs et pro-Poutine de la société »

Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2018

Par  le 10/03/2018 

« Ce que l’âme russe exige, » dit Yekaterina Mamay, « c’est qu’il y ait un politicien fort dans le pays qui ressemble à un tsar. »

Lors de la prochaine élection présidentielle en Russie, l’étudiante de 20 ans, qui sait que le journalisme dans son pays n’est pas libre, votera néanmoins pour réélire Vladimir Poutine. « Le patriotisme est à la mode ».

 

Ici, où la forêt de la taïga rencontre la steppe herbeuse, la «génération Poutine» n’est pas différente qu’ailleurs dans l’immensité de la Russie. Les jeunes adultes russes d’aujourd’hui n’ont aucun souvenir de la vie avant Poutine, qui a pris le pouvoir pour la première fois il y a 18 ans. Certains sont descendus dans la rue pour protester, mais les spécialistes des sciences sociales disent que beaucoup d’autres l’ont accepté. Les sondages montrent que Poutine bénéficie d’un plus grand soutien parmi les jeunes que dans le public en général.

Pour les Occidentaux, les jeunes Russes comme Mamay qui épousent des valeurs libérales mais vénèrent Poutine vivent dans un monde de contradictions. En fait, leur empressement à accepter ces contradictions aide à expliquer l’emprise de Poutine sur la Russie.

Selon un sondage réalisé en décembre par le cabinet de sondage indépendant Levada Center, 81% des adultes approuvent Poutine comme président – dont 86% des Russes âgés de 18 à 24 ans. Parmi ce groupe d’âge, 67% ont dit à Levada qu’ils croyaient que le pays allait dans la bonne direction, comparativement à 56% du grand public.

La génération la plus connectée et internationale de l’histoire russe, ayant accès à plus d’informations que leurs aïeux, aide maintenant Poutine à consolider son autoritarisme.

« Il n’y a pas de masse critique de personnes exigeant un changement radical », écrivent les politologues Ivan Krastev et Gleb Pavlovsky ce mois-ci pour le Conseil européen des relations étrangères. « Contrairement aux fantasmes occidentaux, les Russes de moins de 25 ans sont parmi les groupes les plus conservateurs et pro-Poutine de la société ».

« Les chars sont stationnés sur nos frontières », a déclaré Rybin. « Nous avons de bonnes troupes qui défendent nos frontières, défendant notre Russie. Si nous élisons un président différent, pouvons-nous nous attendre à ce que ces choses demeurent ? »

 

(…) Washington Post via fdesouche

vendredi, 25 août 2017

Le chômage repart à la hausse en juillet

Publié par Guy Jovelin le 25 août 2017

Le chômage en hausse en juillet
 
 

Après une baisse de 0,7% en juin, le nombre des demandeurs d'emploi a rebondi en juillet. La France comptait à la fin du mois dernier 3,518 millions de chômeurs en catégorie A.

mardi, 18 juillet 2017

Squat des piscines privées, le nouveau jeu des « jeunes » toulousains.

Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2017

Il fait beau sur Toulouse. Il fait chaud … les températures sont caniculaires. Il faut se rafraichir. Et rien de plus idéal qu’une bonne trempette. Problème, à Toulouse, la mer est à 150 kilomètres et la Garonne comme le canal du Midi … c’est interdit !

 C’est pour ces multiples raisons que l’on assiste depuis plusieurs semaines à un phénomène devenu maintenant récurrent dans la ville rose : l’occupation illicite des piscines privées ou résidentielles.

Des « jeunes » issus de la banlieue toulousaine, pour qui le squat de piscines privées est devenu la nouvelle attraction à la mode, n’hésitent plus à s’approprier ces lieux privées quitte à déclencher des rixes avec les propriétaires.

Au mois de juin dernier plusieurs de ces délinquants, après avoir été sommé de quitter une  piscine de résidence, sont revenus avec plusieurs de leurs amis pour en découdre. Ils ont successivement frappé deux mères de famille devant leurs enfants et ont donné des coups de poing à deux hommes qui cherchaient à protéger les femmes. Un des locataires a tenté de faire fuir les occupants en leur donnant des coups de ceinturon. En représailles, la bande de jeunes l’a frappé de plusieurs coups de pied, de poing et avec le ceinturon qu’ils sont parvenus à arracher.

DÉBUT JUILLET, UN HOMME A EU LE NEZ CASSÉ  APRÈS AVOIR TENTÉ DE FAIRE FUIR UNE AUTRE BANDE QUI SQUATTAIT LA PISCINE DE SA RÉSIDENCE, À CÔTÉ DE TOULOUSE.

À Toulouse, nombre de jeunes n’hésitent pas à escalader les clôtures des propriétés ou résidences privées pour aller couler quelques brasses dans les eaux claires de leurs voisins. Certains vont même jusqu’à s’inviter au bord de l’eau en présence des propriétaires, qui, intimidés, restent pétrifiés.

LES SERVICES DE POLICE DE LA VILLE COMPTENT ACTUELLEMENT PLUS D’UNE CENTAINE D’APPELS TÉLÉPHONIQUES PAR SEMAINE DE RÉSIDENTS EXCÉDÉS DEMANDANT À LA POLICE DE VENIR FAIRE DÉGUERPIR LES INTRUS.  

Cette nouvelle forme de délinquance prend de plus en plus d’ampleur chaque année, la police ne pouvant intervenir faute de personnels sur chaque incident les obligeant à prioriser les cas de violences, eux aussi de plus en plus fréquents. 

 

Source : infos-toulouse

vendredi, 18 avril 2014

Et maintenant, le sous-SMIC ! (par Philippe Randa)

Publié par Guy Jovelin

Il y a des sujets aussi polémiques que récurrents… Ainsi du tabou de la Sécurité sociale, de l’abrogation des 35 heures ou encore du salaire minimum interprofessionnel de croissance, plus connu sous ses initiales de SMIC.

Après Pascal Lamy, ex-directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) qui demandait plus de « flexibilité » pour le travail et le retour des « petits boulots », payés en dessous du SMIC, c’est Pierre Gattaz, patron du MEDEF, qui revient à la charge avec l’instauration à titre « temporaire » d’un salaire « transitoire » inférieur à celui-ci.

On sait d’expérience ce que promet l’adjectif « temporaire », soit en général « pour longtemps » ; et « transitoire » rime fâcheusement, en l’occurrence, avec « suppositoire ».

Évidemment, les réactions ont fusé. Indignées, en général… L’occasion fournie est trop belle, pour beaucoup, de la jouer « sociale », une fois n’est pas coutume ! Et l’ancienne patronne des patrons Laurence Parisot – qui a dû céder plus qu’à contre-cœur la place à Pierre Gattaz – ne s’en est pas privée, dénonçant la « logique esclavagiste » d’une telle proposition. Rien de moins.

Sans aller jusqu’à un tel extrémisme de vocabulaire, reconnaissons néanmoins que la justification de son successeur pour illustrer sa proposition est quelque peu (euphémisme !)… maladroite : un « sous-SMIC » permettrait, selon lui, aux jeunes d’entrer sur le marché du travail. D’entrer, peut-être ; de les motiver, c’est beaucoup moins certain…

Jeune, donc taillable, corvéable et exploitable pour des rémunérations au rabais : moins de mille euros pour subvenir aux besoins de première nécessité. Pour le superflu, monsieur Gattaz n’a pas indiqué d’âge minimum… Lire la suite