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mercredi, 04 juillet 2018

Taubira se lâche et dérape !

Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2018

Rédigé par notre équipe le 03 juillet 2018 

Christiane Taubira fait du freestyle

L’ancienne ministre de François Hollande et toujours égérie d’une partie de la gauche a accordé un entretien au Parisien. Plutôt discrète depuis son départ (on l’en remercie), Christiane Taubira n’a pas résisté à un nouveau numéro de dérapage contrôlé. Un contrôle quand même peu évident à lire ce qu’elle dit de Trump et de Poutine. Nous avons affaire à un véritable dérapage qui ne choquera plus que ceux qui ont encore le sens de la mesure. Cela exclut de fait l’ensemble de l’appareil médiatico-juridique français…

Dans notre société orwelienne, la moindre critique doit être pesée et sous-pesée avec le plus grand soin. Le risque de censure est énorme et les menaces de procès sont légion. Mais pour certaines personnes, les règles (iniques) ne s’appliquent pas et la liberté de parole est totale. On peut envier ces personnes, mais pour arriver à ce degré de liberté, il faut avoir une carrière irréprochable au profit du système. Christiane Taubira est de ceux-là et nul doute que ses propos sur Trump et Poutine ne lui vaudront aucune mise en garde de la part des médias et de la justice française.

Liberté d’exception totale pour quelques uns

En allant à son rendez-vous pour rencontrer l’ancienne Garde des Sceaux, la journaliste du Parisien, Nathalie Schuck, savait qu’elle tenait à l’avance une bonne histoire à raconter. Réputée pour son franc-parler, Christiane Taubira n’a pas failli à sa réputation en dézinguant deux chefs d’Etat qui ont pour défaut de s’intéresser au sort de leur population avant de jouer aux mousquetaires au service du reste de l’humanité. Sans surprise aucune, les deux cibles se nomment Donald Trump et Vladimir Poutine. Le premier a l’honneur de la tirade la plus longue : « Un fou furieux. Un cocktail explosif inédit d’ignorance, de vulgarité, de détermination, d’aveuglement joyeux. Sexiste ! Raciste ! Xénophobe ! Et réjoui ! ».

Voilà le président américain habillé pour l’hiver. Son sort, si Taubira venait un jour à présider un gouvernement mondial si cher à Jacques Attali, est presque enviable en comparaison avec ce que souhaite faire l’ancienne ministre de la Justice au président russe. Elle n’a pas froid aux yeux puisqu’elle pourrait « découper Vladimir Poutine en lamelles ». Soit il s’agit d’une mauvaise blague, soit c’est ce qu’on appelle en justice une incitation à la haine et à la violence. Autant le rappeler tout de suite, si un dixième de ces propos étaient tenus à l’encontre de Taubira, les menaces, procès et exécutions médiatiques auraient déjà versé leurs dividendes.

Mais dans ce cas, il s’agit des méchants Trump et Poutine attaqués par la gentille Taubira alors le citoyen n’a plus qu’à se plier au diktat de la non-pensée unique. Au mieux, il sera autorisé à laisser un commentaire dubitatif, mais pas plus. Le moindre rappel aux faits d’armes de Taubira peut valoir une condamnation en justice… Et que les frustrés s’y fassent, car malgré sa sortie des radars médiatiques pendant quelques mois, Christiane Taubira ne renonce pas à un avenir en politique. Draguée par tous les partis de gauche ou presque – comme le rappelle Le Parisien – Taubira se voit plutôt une stature européenne ou internationale. Evidemment, elle trouvera à rebondir quelque part et les Français en seront quittes pour de nouvelles sorties en mode dérapage incontrôlé. Pourquoi se priver de petites sensations quand on est intouchable ?

 

Source : 24heuresactu

Jean-Philippe Tanguy, ce « lieutenant de Nicolas Dupont-Aignan » qui défile avec le lobby LGBT

Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Autant savoir : Jean-Philippe Tanguy, qui se présente comme « Lieutenant de N. Dupont Aignan » et « Délégué national DLF », exprimait ce samedi sur Twitter sa fierté de participer au défilé LGBT à Paris.

Les eurodéputés refusent de rendre des comptes sur l’utilisation des indemnités forfaitaires qui leur sont offertes

Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Le bureau du Parlement européen a rejeté lundi soir une proposition visant à rendre plus transparente l’indemnité de plus de 4.300 euros que chaque eurodéputé perçoit mensuellement en plus de sa rémunération pour faire face à ses dépenses de mandat.

Cette indemnité est une somme forfaitaire destinée à couvrir les dépenses de fonctionnement du député et celles de ses assistants accrédités et locaux (frais téléphoniques, matériel de bureau, location de bureaux, etc.) La façon dont elle est dépensée ne fait actuellement l’objet d’aucun contrôle, alors que nombre d’eurodéputés n’ont pas de bureau dans leur pays.

Il y a un an, le président du parlement Antonio Tajani avait lancé un groupe de travail pour réviser la liste des dépenses imputables sur cette indemnité. Mais lundi soir, le bureau du Parlement européen, organe de gestion de l’institution, a rejeté une majorité des propositions formulées.

Les eurodéputés conservent donc leurs privilèges et restent non tenus de publier un aperçu de leurs dépenses. Le remboursement des sommes éventuellement non dépensées et le contrôle par un comptable restent essentiellement dépendantes de la seule bonne volonté de l’élu.

Seule la proposition de verser l’indemnité sur un compte séparé a été adoptée, mais sans faire l’objet d’un contrôle.

 

Source : medias-presse.info