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jeudi, 05 juillet 2018

Genderofolie en Grande-Bretagne : les jupes interdites à l’école

Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2018 

La dernière folie de « genre » vient de Grande-Bretagne : les jupes ont été interdites dans une quarantaine d’écoles pour imposer un habillement sans distinction de sexe entre hommes et femmes.

Les Anglais donnent à fond dans le politiquement correct et l’idéologie de genre. Ainsi des lycées en signe d’un respect pas très bien défini pour les gay, lesbiennes, transsexuels et transgenre, n’autoriseront plus le port de la jupe pour les étudiantes mais aussi… les étudiants puisque certains de ceux-ci, en signe de non-genre, s’habillent en femme !

L’uniforme devra être « gender free » : ce sera donc le pantalon et la chemise pour tous, vêtements genré masculins par excellence !

Le monde arc-en-ciel et la pensée unique dans toutes leurs contradictions…

Francesca de Villasmundo

 

Source : hmedias-presse.info

Le 5 juillet 1962, à #Oran, la chasse à l’Européen fait plus de 2000 morts et des centaines de disparus !

Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2018

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Evaluation des ministres : la com’ date un peu

Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2018

Rédigé par notre équipe le 04 juillet 2018. 

Edouard Philippe va devoir évaluer ses ministres...

C’est la fin de l’année scolaire et c’est aussi le temps pour les ministres d’être évalués par le premier d’entre eux. Matignon communique à fond depuis plusieurs jours sur ce sujet et deux ministres sont déjà passés sous les fourches caudines d’Edouard Philippe. L’idée présentée comme révolutionnaire n’en est pas une et les conséquences de ces évaluations devraient être extrêmement limitées. C’est ce qu’on appelle un coup de com’ un peu trop réchauffé.  

Jean-Michel Blanquer, hier, et Bruno Le Maire aujourd’hui ont déjà passé leur entretien individuel avec Edouard Philippe. En mai dernier, le Premier ministre expliquait qu’il était important de « faire le bilan de l’avancement de la feuille de route, vérifier ce qui a été engagé, étudier la suite ». Avec les deux premiers à passer l’examen, il n’y a aucun problème (Matignon se fait fort de ne rien laisser fuiter pour le moment). Blanquer est l’un des trop rares ministres qui tentent de redresser les catastrophes érigées en modèles par ses prédécesseurs tandis que Le Maire possède un totem d’immunité politique. 

Une évaluation de la com’ ?

Le ministre de l’Economie est une bonne prise à droite et son évaluation est vite fait puisqu’il exécute ce que lui dit l’Elysée et son administration. Le ministre n’a plus qu’à potasser ses dossiers pour donner l’impression qu’il sait où il va. Habitué aux projecteurs, le vote de la loi Pacte à l’automne prochain ne lui fait pas peur même si ce que contient ce texte devrait en effrayer plus d’un. Demain, ce sera au tour de Nicolas Hulot d’avoir son tête-à-tête avec Edouard Philippe. Vu le bilan du ministre de l’Ecologie, ses atermoiements et ses déclarations contradictoires, l’examen devrait déboucher sur une mise en garde (au mieux).

Pas de sanction pour le ministre qui a du mal avec nombre de décisions prises par le Gouvernement auquel il appartient ? Hulot est trop précieux pour être sanctionné publiquement. Le jour où il quittera ses fonctions, ce sera son choix et non pas celui d’un Edouard Philippe qui existe juste pour faire le piston entre le cœur de la macronie et la droite. Les trois premiers entretiens sont un bon résumé des conséquences qui seront tirées par le Premier ministre : aucune !

Les ministres les plus mauvais ne seront pas virés, et ceux qui sont considérés comme bons resteront. Mais à la fin du mois de juillet, on dira que tous les problèmes ont été mis sur la table et un séminaire gouvernemental de rentrée donnera le sentiment que cet exécutif est décidément un bourreau de travail. Macron promettait le renouveau, les Français ont du réchauffé. L’évaluation des ministres avait alimenté les médias en 2008 sous Sarkozy et les mêmes phrases sont ressorties en 2018 pour nous vanter l’audace et l’inventivité de la chose…

Si même la macronie n’arrive plus à innover en termes de communication, que lui reste-t-il ? Les quatre prochaines années à combler le vide vont être éreintantes. Pas sûr que tous les ministres puissent faire preuve d’assez d’inventivité pour berner leur monde et contribuer à une réélection facile d’Emmanuel Macron.

 

Source : 24heuresactu

Seine Saint-Denis : la situation migratoire est catastrophique !

Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2018

Auteur : Pierrot

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Selon un rapport parlementaire (voir ici), les clandestins pèsent entre 8 % et 20 % de la population de la Seine Saint-Denis. Dans certaines villes, plus près de neufs enfants sur dix (de moins de 25 ans) ont au moins un parent immigré… La situation est catastrophique, mais selon les médias « mainstream », la substitution des Français par des populations allogènes est une théorie complotiste.

« Le département est un sas d’entrée de la France par l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle qui accueille chaque année 65 millions de passagers, dont 35 en entrée sur le territoire. Sur le flot d’entrants figurent des personnes désireuses de demeurer en France mais ne disposant pas des titres de séjours les y autorisant. S’ils ne figurent pas dans les statistiques officielles, ces hommes, femmes et enfants sont une réalité démographique avec laquelle les pouvoirs publics doivent compter », poursuivent les auteurs. Les « personnes en situation irrégulière seraient entre 150.000, 250.000 voire 400.000 », ce qui équivaut à la population d’un département comme l’Ariège (152.000 habitants), le Jura (259.000 habitants), voire les Landes (411.000). Bref, entre 8 % et 20 % de la population.

Pour la seule immigration régulière, le rapport rappelle que, « parmi les 36 communes de France métropolitaine comptant plus de 10.000 habitants et dont plus de 30 % de la population est d’origine étrangère, 15 sont situées en Seine-Saint-Denis». Pour autant, selon ce document, «cette population immigrée n’est majoritaire dans aucune commune. Les maximums sont atteints à La Courneuve et Aubervilliers (43 %). Dans ces deux communes, plus de huit enfants sur dix (de moins de 25 ans) ont au moins un parent immigré (88 % à La Courneuve, 84 % à Aubervilliers). »

« Cette réalité amène assurément à sous-estimer la réalité sociale de la Seine-Saint-Denis eu égard au poids de la population étrangère irrégulière. Or, affronter la réalité dans un cadre d’action publique exige d’être plus précis », assurent les auteurs du rapport. Ils ajoutent même: « Pour identifier des phénomènes urbains de ghettoïsation, pour expliciter des difficultés scolaires, pour lutter contre les discriminations, pour adapter les moyens de la police et de la justice à une population spécifique, se pose alors la question de l’établissement de statistiques dites ethniques. »

 

Source : contre-info