Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 11 juillet 2018

La France aux Français !

36881385_961940864013098_107711745354629120_n.jpg

Lacanau (33) : un CRS maître-nageur roué de coups par une dizaine de « jeunes », les agresseurs ont fait référence aux évènements de Nantes

Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2018

Par  le 10/07/2018
 

Les faits se sont déroulés lundi en milieu d’après-midi. Un policier nageur-sauveteur CRS en surveillance à Lacanau est requis par une mère de famille et son enfant, importunés par plusieurs individus. Le policier leur demande alors de se déplacer hors de la zone de baignade. C’est là que les choses se compliquent.

Les individus commencent à l’encercler et à l’insulter, faisant référence aux événements de Nantes (où un CRS a mortellement touché un jeune homme au cours d’une interpellation, ndlr). Le policier tente de ramener un jeune au poste de police en le saisissant par le bras, mais il est frappé au visage par un autre individu et roué de coups au sol.

Les autres CRS nageurs-sauveteurs sont rapidement intervenus et ont procédé à l’interpellation de deux personnes ayant porté des coups. Dans un communiqué de presse, le syndicat Unsa Police a dénoncé une « lâche agression » et réclamé une « peine exemplaire à l’encontre des agresseurs ».

« Cette intervention démontre toute la nécessité d’avoir des fonctionnaires de police CRS sur les plages du littoral français, qui plus est assurent une double fonction, secouriste et policier « , conclut le communiqué.

LCI via fdesouche

L’évêque Zenti embrasse son prêtre diocésain qui « épouse » son partenaire homosexuel !

Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2018

Ecrit par Francesca de Villasmundo

 

Décidément l’Église conciliaire n’en finit pas d’aller de scandales moraux en scandales arc-en-ciel dans le silence assourdissant du Vatican.Le prêtre Don Giuliano Costalunga, ex-curé de Selva di Progno en Italie, a « épousé » en Espagne un homme en avril et fait depuis quelques jours la Une de certains journaux italiens dont l’immanquable La Repubblica de l’ami du pape Eugenio Scalfari. Depuis des années la vie scandaleuse du curé se perpétrait sous les yeux des fidèles sans qu’intervienne l’évêque, Giuseppe Zenti jusqu’à ce que don Costalunga abandonne le ministère sacerdotal en février pour aller « se marier ». Abandonne est un bien grand mot puisque sur La Repubblica, le prêtre défroqué explique qu’il va continuer à « célébrer » la messe dans sa maison en Espagne.

L’histoire sacrilège ne s’arrête pourtant pas là. Mgr Zenti a expliqué que don Giuliano est encore un de ses prêtres et qu’il n’a pas le droit de le juger parce que seul Dieu scrute les cœurs ! Comme l’a souligné fort justement un de ses confrères épiscopal « quand un prêtre commet un acte pédophile alors peut-on dire qu’on peut ne pas le juger ? »

Mais que Don Giuliano commette des actes immoraux et contre-nature, ait une vie publiquement scandaleuse, semble ne pas gêner Mgr Zenti. Quant au pape François il n’a donné aucun entretien pour dénoncer cette affaire à son ami Scalfari, qui lui ouvre facilement pourtant ses colonnes médiatiques. Silence. Circulez il n’y a rien à voir. A croire que seuls les « rigides, toujours enfermées dans la Loi, qui condamnent tout ce qui est hors de cette Loi » ont droit aux foudres bergogliennes.

L’homohérésie ainsi que l’immoralité relativiste sont en train de devenir les deux piliers de l’Église conciliaire !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Macron transforme les handicapés mentaux mis sous tutelle en électeurs

Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2018

Ecrit parLéo Kersauzie

marianne-aveugle.jpg

Lundi, lors de son discours au Congrès de Versailles, Emmanuel Macron a annoncé que toutes les personnes handicapées mentales mises sous tutelle disposeraient prochainement du droit de vote lors des élections.

« C’est aussi une politique de retour vers la citoyenneté pleine et entière que nous assumerons et celles également pour ces personnes, y compris celles sous tutelle, d’un retour au droit de vote« , a déclaré Emmanuel Macron devant l’ensemble des députés et sénateurs réunis en Congrès à Versailles.

La mesure concerne plus de 385.000 handicapés mentaux majeurs mis sous tutelle.

De quoi permettre de douter un peu plus de l’efficacité du suffrage universel…

democratie-est-illusion.jpg

Source :  medias-presse.info

Abolition du "délit de solidarité » : une décision inique du Conseil constitutionnel.

Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2018

dddff.jpg

 

La décision du Conseil constitutionnel de supprimer le « délit de solidarité » qui, jusqu’à présent, permettait de poursuivre les facilitateurs d’entrée illégale sur le territoire français, au motif qu'il serait contraire au principe de fraternité, ouvre une brèche supplémentaire dans un arsenal juridique français anti-clandestin bien faible et déjà largement miné par le laxisme des magistrats.
 
En reconnaissant la fraternité comme principe constitutionnel en référence à l'article 2 de la déclaration des droits de l'homme et au nom du préambule de la Constitution en son article 72-3, et en l’étendant à l’humanité entière, les pseudo-Sages de la rue de Valois, conduits par leur Président, Laurent Fabius, foulent aux pieds le concept même de Nation qui veut que la fraternité s'exerce d’abord et avant tout à l’égard de nos compatriotes conformément au principe chrétien « Mon prochain est mon proche ».
 
Surtout, ils rayent d’un trait rouge et particulièrement lourd de conséquences les textes qui disposaient que quiconque aide directement ou indirectement à l’entrée, à la circulation ou au séjour d'un clandestin encourait 30 000 euros d'amende et cinq ans de prison.
 
Désormais passeurs, associations d’aides à l’entrée irrégulière, « no border » pourront agir en toute impunité tandis que les réseaux de soutien aux islamistes seront plus libres de détecter parmi les nouveaux arrivants leurs futures recrues.
 
Pour le Parti de la France qui, au pouvoir, mettra en œuvre une politique de fermeté absolue pour juguler la déferlante migratoire (interdiction des associations d’aide à l'entrée illégale, lutte sans merci contre les passeurs et leurs complices, action de nos services spéciaux contre les organisateurs, étanchéité de nos frontières, fin de l'immigration économique, réforme du droit d'asile, expulsion des clandestins et délinquants, révision du code de la nationalité avant de procéder à un vaste et ambitieux plan de remigration, réappropriation de la France par les Français…), le Conseil constitutionnel dans sa conformation actuelle, vient, par cette décision d’une extrême gravité, de s'inscrire au premier plan institutionnel des organisations anti-nationales.
 
Nous saurons nous en souvenir.
 
Parti de la France cliquez ici