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samedi, 08 mars 2014

Le Carême, toujours méprisé par les politicards, contrairement au dîner du CRIF

Publié par Guy Jovelin

carême,crif,ramadanCette année encore, les politiciens se sont répandus en messages sirupeux à l’occasion du Ramadan et mardi dernier, ils ont accouru ventre à terre au dîner du CRIF pour quémander des bénédictions de la part de ce lobby particulièrement puissant. Lire la suite

vendredi, 07 mars 2014

Municipales de Toulouse : polémique sur les mots croisés du candidat Front National

Publié par Guy Jovelin

 

laroze,mots croises,municipalesDisons le franchement, la campagne des municipales de Toulouse avait un côté morne, sans passions réelles.

Cette fois, elle a pris un tournant franchement risible et en même temps pathétique.

Les médias et quelques militants du FN 31 s’insurgent sur le candidat FN Serge Laroze, à cause d’un humour douteux qui ressortirait de ses fameux mots croisés créés par l’intéressé.

Il n’y a pas de quoi en faire un scandale ;sans vouloir être l‘avocat de Serge Laroze, force est de constater que le monde médiatique toulousain est en manque de « scoops » et de scandales pouvant alimenter la dite campagne des municipales.

Que reproche-t-on au candidat FN ? Des définitions inventées qui seraient en quelque sorte « limites » ? A y regarder de près ; ces définitions correspondent à la réalité actuelle de la commune de Toulouse.

Ceci étant, il existe une autre manière de faire de la politique, avec du sérieux, de la ténacité et surtout une présence sur le terrain. C’est là justement où le bât blesse au FN 31, les militants sont absents et se révèlent au grand jour comme improductifs à ce niveau.

Ce constat est grave mais bien réel, sans doute l’amateurisme a gagné du terrain dans la fédération du FN de la Haute-Garonne.

Alors à quoi bon incriminer Serge Laroze sur ses mots croisés et calembours ! L’heure est plus grave car certains militants lui reprochent d’être je cite : « borderline » !

La dédiabolisation opère sans cesse et il n’est pas sûr que le candidat frontiste, crédité de 6% d’intentions de vote lors d’un récent sondage (La Dépêche du Midi) s’en sorte avec les honneurs !

Ceci est une autre histoire !

Rendez-vous dans les urnes les 23 et 30 mars prochain et nous verrons si les calembours produiront l’effet escompté ; rien n’est moins sûr !

Franck Pech responsable communication PDF31

 

mercredi, 05 mars 2014

Frustrée, la jeunesse française rêve d’en découdre

 

L'autoportrait est sombre. Amenés à définir leur génération, ce sont les mots « sacrifiée » ou « perdue » qui leur viennent le plus souvent à l'esprit. Lire la suite

mardi, 04 mars 2014

Sarkozy a-t-il fait maquiller les chiffres de la délinquance ?

Les statistiques de la délinquance à Paris ont été amoindries et maquillées pendant des années au sein même de la préfecture de police, accuse un rapport officiel de l’Inspection générale de l’administration, dont l’AFP et Europe 1 ont pu consulter lundi des extraits.


C’est un rapport « très sensible », selon plusieurs sources policières, que l’Inspection générale de l’administration (IGA) vient de boucler. Commandé par le préfet de police de Paris Bernard Boucault en septembre 2012, il avait pour objet d’établir un état des lieux des pratiques d’enregistrement des faits de délinquance à Paris et dans la petite couronne. Mais les auteurs de ce rapport, en se plongeant dans les méandres du recueil statistique policier, ont mis à nu un système mis en place depuis plus d’une dizaine d’années et monté en puissance à partir de 2008, visant à minorer la délinquance.

Minoration des faits (un cambriolage enregistré comme une dégradation par exemple), report (les services stoppent l’enregistrement des plaintes avant la fin du mois), ou même destruction pure et simple de certains faits, sont pointés comme les principales techniques utilisées.

Le rapport évoque notamment près de 16.000 faits de délinquance disparus en 2011 à Paris, selon une source proche du dossier. A l’époque, la préfecture de police de Paris était dirigée par Michel Gaudin, un fidèle de l’ex-président Nicolas Sarkozy. [...]

7sur7

Jean-François Copé, en ce 80e anniversaire de l’affaire Stavisky, refuse de démissionner

Publié par Guy Jovelin

Malgré les preuves accablantes présentées par Le Point, Jean-François Copé a refusé de se retirer de la vie politique. Il n’a pas écouté la voix de la raison et sa « déclaration solennelle » s’est bornée hier à nier vaguement les accusations portées contre lui. Il n’a répondu clairement à aucun des faits qui lui sont reprochés.

Organisant, dans la plus pure tradition de son peuple, sa propre victimisation, il s’est dit victime d’une « chasse à l’homme », « d’une campagne de presse agressive ». Jean-François Copé a dénoncé les « méthodes dignes de l’Inquisition et parmi eux des Tartuffes bouffis d’orgueil ».

Pour seul fait, il a annoncé le possible dépôt d’une proposition de loi, qui ne pourrait être examinée avant plusieurs mois sinon années, visant à publier les comptes des partis politiques. Une proposition inutile puisque la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) se charge déjà de contrôler le financement de la vie politique et d’examiner les comptes des partis.
En cet anniversaire de l’affaire Stavisky, il s’est lancé comme l’ignoble escroc, dans une vaine fuite en avant, ignorant les éventuelles conséquences d’un nouveau scandale politico-financier. Il a refusé de répondre aux véritables questions : quels sont ses liens avec les dirigeants de Bygmalion ? Combien cette société a obtenu de nouveaux contrats depuis qu’il est chef – contesté suite à une élection très douteuse – de l’UMP ? Quels rapports entretient-il avec Emmanuel Limido et son fonds abondé par le Qatar et quel rôle a-t-il joué dans la cession par l’État des biens immobiliers à ces étrangers (pour 799 millions d’euros en 2006) alors qu’il était ministre délégué au budget et qu’il a justement, à cette occasion, créé le Conseil immobilier de l’État ?

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