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lundi, 05 février 2018

LE "GRAIN DE SEL" DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2018

LA FRANCE, VAUTREE DANS LE NUTELLA ! Les images ont fait le tour du monde, au détriment de notre pays. A l’occasion d’une promotion défiant toute concurrence sur le prix de vente, (moins 70 % !), de cette pâte chocolatée bien connue des enfants, -« grands » et petits -, des nuées de consommateurs-trices, (écriture inclusive oblige !), se sont rué(e)s pour ne pas dire se sont battu(e)s sur et dans les rayons spécialisés de certaines grandes surfaces.


Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Après les crêpages de chignons au moment des soldes sur les fringues et autres articles ménagers, les bousculades lors de « ventes privées » et autres opérations « portes ouvertes », des Français-es, ont donné une détestable image de leur pays qui est devenu la risée de la planète grâce à internet. Disons-le, la France a  fait l’objet de bonnes blagues de la part des internautes. 
Le dessinateur Morris avec son héros Lucky Luke, avaient magnifiquement illustré dans une BD la course  démoniaque des « sans terre » sur l’Oklahoma, qui se ruaient dans un désordre indescriptible et comique. Son non moins talentueux  confrère Franquin dans les aventures de Spirou et Fantasio en Palombie, avec les ondes du malfaisant Zorglub, avait caricaturé les clients d’un supermarché, hypnotisés,  se ruant sur les rayons hygiène et s’arrachant dans un moment de folie , quitte à  en venir aux mains, qui des savons, qui des tubes de dentifrice en promotion ! Etait-ce comme cela lors de la ruée vers l’or au Klondike, au XIXème siècle ? En tout cas, les images véhiculées à propos de ces rabais exceptionnels sur le Nutella, ressemblent étrangement à ces stupides mouvements de foule…. 
Au moment où l’on nous bassine qu’il faut défendre la planète et que le climat se réchauffe, patati et patata, les frénétiques consommateurs de cette marque ont-ils pensé que dans de vastes contrées exotiques, on pratique la déforestation à tour de bras en chassant une faune exceptionnelle, pour planter ces arbres producteurs d’huile de palme, laquelle huile, justement , sert  à la fabrication de la « divine » pâte chocolatée, et que ces nouveaux arbustes ne contribuent ni à la fertilité des terres, ni à l’exhalation de la chlorophylle ? 
Nos héros d’hier sont-ils morts pour des pots de Nutella ? 
Après cette  désastreuse séquence de la vie quotidienne au pays de Molière, de Guitry, des impressionnistes, de Bizet et de Claudel, d’Henri IV et autre Napoléon ou d’Albert Schweitzer et de Pasteur, sans oublier de nobles figures comme d’Estienne d’Orves et Bastien Thiry,  j’ai fait un tour sur la place de mon village. Surmontant le monument aux morts, le « poilu » de 14/18 faisait la gueule. « C’est pour ça que je suis tombé à Verdun ou au «  Chemin des Dames », semblait-il me dire ? 
En fait, dans un pays qui se laisse envahir, pour l’instant à peu près pacifiquement,-et encore, à voir -, par toutes les tribus de la terre, où  des bandes d’ados avachis marchent dans les rues  comme des zombies, l’œil rivé sur leur portable, écouteurs enfouis dans les oreilles et,  autre exemple, où, légalement  un monsieur moustachu peut épouser un monsieur barbu sans oublier que des détenus font la loi dans les prisons, plus rien ne m’étonne. La France était à la Renaissance, selon Joachim Du Bellay, la « mère des arts, des armes et des lois ». Qu’en est-il aujourd’hui de ses artistes, de ses savants, de ses héros ? Tout est-il passé à la trappe ? 
Le silence des « élites » 
On aurait aimé une protestation officielle, fustigeant ces misérables lopettes à la recherche d’un « Graal alimentaire ». Mais dans ce qui fut ce beau pays, de la Gaule romaine à la France républicaine, conquérante et pacificatrice, en passant par le royaume des lys, où sont aujourd’hui les frontières entre le beau et le laid, le noble et le vulgaire, l’héroïsme et l’avachissement, la résignation et l’enthousiasme ? 
Quel historien des siècles futurs, dressera le tableau impitoyable de cette marche vers la décadence qui semble inexorable ? Nous savons par le Maître de Martigues qu’en politique, « le désespoir est une sottise absolue » et, par le Stathouder Guillaume d’Orange « qu’il n’est pas nécessaires d’espérer pour entreprendre ». Alors espérons, entreprenons et, à la fin du compte, il ne nous pas interdit de penser qu’une « divine surprise » nous récompensera ! 
  
Jean-Claude ROLINAT

Le diocèse de Turin organise une retraite pour apprendre la fidélité aux couples homosexuels

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2018

mariage-lgbt-.jpg« Les gays aussi méritent la fidélité » prétend le diocèse de Turin ! La reconnaissance des couples homosexuels en tant que cellule familiale digne de respect avance à grand pas dans l’Église conciliaire.

Don Gianluca Carrega, responsable de la “pastorale des homosexuels” dans le diocèse de Turin veut « proposer » des « leçons de fidélité » aux sodomites parce que, eux-aussi, la « méritent ». Il explique que son initiative, sous la responsabilité de l’évêque diocésain Mgr Cesare Nosiglia, provient de son expérience personnelle : l’an dernier il n’a été invité qu’à un seul mariage qu’il définit de « traditionnel », celui d’un couple hétéro, et à bien trois « unions civiles » de couples homosexuels :

« C’était beau, à chaque fois une fête : cette loi [des unions civiles en Italie, genre mariage pour tous, ndlr] a porté de nombreux fruits, je les ai vus et je les reconnais. » 

Mais la loi sur les unions civiles avait, pour ainsi dire, une lacune, un compromis, selon Don Carrega : cette loi n’a pas prévu, en fin de compte, parmi les droits et les devoirs du couple, l’obligation à la fidélité. Pour cela le diocèse de Turin dédie à ce thème une retraite de Carême pour les couples homosexuels intitulée « Dignes de fidélité ».

Elle se tiendra du 24 au 25 février prochain dans un couvent de religieuses, les Filles de la Sagesse, et sera destinée à des personnes seule ou en couple. A la questions s‘il y aura des chambres matrimoniales, Don Gianluca Carrega reste vague, explique Vatican Insider :

« Nous ne nous sommes pas encore posés la question. Puisque c’est un monastère, nous essayerons de donner à chacun une « cellule » individuelle. »

L’objectif de cette retraite destinée aux invertis revendiqués est de porter une attention accrue aux conditions spirituelles, et plus en général, sociales, de vie, des personnes homosexuelles.

« La loi peut ne pas prévoir l’obligation à la fidélité, explique le représentant du diocèse, mais en réfléchissant sur l’affectivité des gays, nous pouvons dire que chacun mérite un amour exclusif, unique. La loi peut décider quelles sont les exigences minima, mais nous, nous voulons parler de la qualité du rapport. »

Au cours de la retraite il se discutera « de la valeur de la fidélité et de l’amour, à la lumière du message biblique » avec le père jésuite Pino Piva.

« Sur ce thème, continue Don Gianluca Carrega, nous devons rester à côté des couples plus que les diriger. D’autre part ce ne serait pas honnête pour qui, comme moi, est hétéro et célibataire. »

Don Carrega n’hésite pas à parler de « contresens » dans l’enseignement traditionnel de l’Église par rapport à l’homosexualité, fort qu’il est de « sa mission pastorale » officielle. Selon lui, le fait qu’une personne homosexuelle qui a des rapports occasionnels peut, après la confession, recevoir la communion alors qu’une personne dans une union homosexuelle stable en soit exclue est une erreur :

« Ainsi nous risquons de faire beaucoup de dommages, encourager parmi les fidèles la clandestinité et la déresponsabilisation. »

« Un couple croyant qui passe par l’union civile devra bien porter sa foi religieuse à l’intérieur de la cohabitation. L’Église doit donc « avoir une réflexion sur la valeur de l’affectivité homosexuelle ». Parce que « comme le dit l’évêque de Nanterre, Gérard Daucourt, certains homosexuels qui décident de vivre en couple y trouvent là une sérénité plus grande et cherchent à être fidèles. Et nous, nous devons valoriser ce qui est beau dans leur vie. »

Un tel message « homohérétique » se passe de commentaires… Don Carrega ne professe aucunement la foi catholique et ce n’est absolument pas le catholicisme qu’il propose à ces homosexuels mais un vague sentimentalisme naturaliste et anthropocentrique qui se plie aux modes arc-en-ciel anti-naturelles, la loi divine et naturelle étant envoyée aux oubliettes d’un passé obscurantiste. L’Homme et ses passions sont « l’unique nécessaire » de ce prêtre adepte des non-valeurs lgbt post-modernes.

Plus grave cependant, il incite ces hommes et ces femmes invertis, qui auraient pourtant besoin grandement d‘une véritable aide spirituelle toute tournée vers Dieu, « l’unique nécessaire », pour sortir de leur péché, à rester dans leur état de vie mortel, considéré comme une « normalité ». Tels sont les fruits des messages relativistes conciliaire et bergoglien, d’Amoris laetitia et de tous les gestes colorés de la gente vaticane actuelle…

Un tel pasteur, sous son déguisement d’agneau, tout bon, tout compréhensif, envers « l’affectivité des homosexuels » et « leur dignité », est un véritable loup pour les âmes…

 

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Exil doré : Carles Puigdemont s’installe dans une luxueuse villa de 550 m2

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Le leader indépendantiste catalan Carles Puigdemont poursuit son exil en Belgique. Ne parvenant pas à trouver le moyen d’être réinvesti à la présidence de la Catalogne, il vient de s’installer dans une luxueuse villa de 550 m2 à Waterloo, commune huppée du Brabant wallon.

Curieusement, personne ne cherche à répondre à cette question : qui paye ce très confortable exil ?



La France championne d’Europe des prélèvements sur les entreprises

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2018

Auteur : admin4

prelevement-entreprises.jpg

Et en plus, ce sont surtout des prélèvements sur le travail (charges patronales et salariales), qui sont donc pris que l’entreprise prospère ou soit en difficulté, au lieu d’être sur ces résultats.


Source via contre-info