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dimanche, 25 mars 2018

Terrorisme islamique : la trahison de nos élites

Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2018

Redouane Lakdimeest dans son combat, il a tué un ennemi. Il est mort en héros pour Daesh.
Arnaud Beltrame, mort en héros, pareil, mais il est trahi par les siens, au plus haut de l’État.

Redouane Lakdim   Lieutenant-colonel Arnaud Beltrame
Redouane Lakdim, marocain, racaille arabe musulmane, récidiviste, sorti de prison, EN LIBERTÉ   Arnaud Beltrame, Français de souche, mort trahi par ses chefs

Trahi par les Gardes des Sceaux et ses juges, les ministres de l’Intérieur en majorité franc-maçons, prétendûment « humanistes», qui ont remis en liberté Redouane Lakdime, en pleine conscience.
Trahi au plus haut niveau de l’État et du gouvernement qui ne met pas en place les expulsions de nos ennemis sur le territoire

Le ministre de l’Intérieur Gérard Colomb a eu l’outrecuidance de déclarer à propos du tueur : « C’était plutôt un petit délinquant qui à un moment est passé à l’acte. (…) On ne pouvait pas dire qu’il pouvait être un radical passant à l’acte dans les moments qui venaient. (…) C’était plutôt quelqu’un qui était un petit dealer. » 
La liste des victimes du « petit délinquant, petit dealer » s’allonge. Ce n’est que le début, des « petits délinquants, petits dealers » comme lui, on en a des milliers dans chacune de nos villes. Et ce n’est pas fini. Les portes du pénitencier bientôt vont se ré-ouvrir.

Michel Lebon

 

Source : nice-provence.info

lundi, 05 février 2018

LE "GRAIN DE SEL" DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2018

LA FRANCE, VAUTREE DANS LE NUTELLA ! Les images ont fait le tour du monde, au détriment de notre pays. A l’occasion d’une promotion défiant toute concurrence sur le prix de vente, (moins 70 % !), de cette pâte chocolatée bien connue des enfants, -« grands » et petits -, des nuées de consommateurs-trices, (écriture inclusive oblige !), se sont rué(e)s pour ne pas dire se sont battu(e)s sur et dans les rayons spécialisés de certaines grandes surfaces.


Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Après les crêpages de chignons au moment des soldes sur les fringues et autres articles ménagers, les bousculades lors de « ventes privées » et autres opérations « portes ouvertes », des Français-es, ont donné une détestable image de leur pays qui est devenu la risée de la planète grâce à internet. Disons-le, la France a  fait l’objet de bonnes blagues de la part des internautes. 
Le dessinateur Morris avec son héros Lucky Luke, avaient magnifiquement illustré dans une BD la course  démoniaque des « sans terre » sur l’Oklahoma, qui se ruaient dans un désordre indescriptible et comique. Son non moins talentueux  confrère Franquin dans les aventures de Spirou et Fantasio en Palombie, avec les ondes du malfaisant Zorglub, avait caricaturé les clients d’un supermarché, hypnotisés,  se ruant sur les rayons hygiène et s’arrachant dans un moment de folie , quitte à  en venir aux mains, qui des savons, qui des tubes de dentifrice en promotion ! Etait-ce comme cela lors de la ruée vers l’or au Klondike, au XIXème siècle ? En tout cas, les images véhiculées à propos de ces rabais exceptionnels sur le Nutella, ressemblent étrangement à ces stupides mouvements de foule…. 
Au moment où l’on nous bassine qu’il faut défendre la planète et que le climat se réchauffe, patati et patata, les frénétiques consommateurs de cette marque ont-ils pensé que dans de vastes contrées exotiques, on pratique la déforestation à tour de bras en chassant une faune exceptionnelle, pour planter ces arbres producteurs d’huile de palme, laquelle huile, justement , sert  à la fabrication de la « divine » pâte chocolatée, et que ces nouveaux arbustes ne contribuent ni à la fertilité des terres, ni à l’exhalation de la chlorophylle ? 
Nos héros d’hier sont-ils morts pour des pots de Nutella ? 
Après cette  désastreuse séquence de la vie quotidienne au pays de Molière, de Guitry, des impressionnistes, de Bizet et de Claudel, d’Henri IV et autre Napoléon ou d’Albert Schweitzer et de Pasteur, sans oublier de nobles figures comme d’Estienne d’Orves et Bastien Thiry,  j’ai fait un tour sur la place de mon village. Surmontant le monument aux morts, le « poilu » de 14/18 faisait la gueule. « C’est pour ça que je suis tombé à Verdun ou au «  Chemin des Dames », semblait-il me dire ? 
En fait, dans un pays qui se laisse envahir, pour l’instant à peu près pacifiquement,-et encore, à voir -, par toutes les tribus de la terre, où  des bandes d’ados avachis marchent dans les rues  comme des zombies, l’œil rivé sur leur portable, écouteurs enfouis dans les oreilles et,  autre exemple, où, légalement  un monsieur moustachu peut épouser un monsieur barbu sans oublier que des détenus font la loi dans les prisons, plus rien ne m’étonne. La France était à la Renaissance, selon Joachim Du Bellay, la « mère des arts, des armes et des lois ». Qu’en est-il aujourd’hui de ses artistes, de ses savants, de ses héros ? Tout est-il passé à la trappe ? 
Le silence des « élites » 
On aurait aimé une protestation officielle, fustigeant ces misérables lopettes à la recherche d’un « Graal alimentaire ». Mais dans ce qui fut ce beau pays, de la Gaule romaine à la France républicaine, conquérante et pacificatrice, en passant par le royaume des lys, où sont aujourd’hui les frontières entre le beau et le laid, le noble et le vulgaire, l’héroïsme et l’avachissement, la résignation et l’enthousiasme ? 
Quel historien des siècles futurs, dressera le tableau impitoyable de cette marche vers la décadence qui semble inexorable ? Nous savons par le Maître de Martigues qu’en politique, « le désespoir est une sottise absolue » et, par le Stathouder Guillaume d’Orange « qu’il n’est pas nécessaires d’espérer pour entreprendre ». Alors espérons, entreprenons et, à la fin du compte, il ne nous pas interdit de penser qu’une « divine surprise » nous récompensera ! 
  
Jean-Claude ROLINAT

samedi, 04 février 2017

Pédophilie des « élites » : le silence des micros…

Publié par Guy Jovelin le 4 février 2017

Pédophilie

Nice Provence Info est l’un des rares médias à lever le voile sur une forme protégée de la pédophilie, celle que nous nommions « rose » dans notre article du 26 janvier, La pédophilie noire et la pédophilie rose.

Nous ne pouvons que nous réjouir qu’un autre organe de la presse de réinformation, Paris Vox, fasse lui aussi tout simplement son travail d’information dans un article paru 8 jours plus tôt que le nôtre et que nous reproduisons volontiers ci-dessous.

 

Paris Vox – Dorénavant, Paris Vox publiera régulièrement la retranscription écrite de la chronique de commentaire d’actualité d’Arnaud de Robert diffusée dans la Matinale de Radio Libertés. Aujourd’hui, notre chroniqueur revient sur l’incroyable indulgence, notamment médiatique, dont bénéficient en France les “élites” en matière de pédophilie…


J’avais choisi pour cette fin de semaine un thème plutôt positif. Je me dis souvent qu’après vous avoir infligé mes humeurs toute la semaine, vous avez droit le vendredi matin à de la légèreté. Mais non, décidément le réel le plus infâme, le plus sombre nous rattrape toujours. Et ce matin, celui qui m’a mis d’une humeur de chien s’appelle Christophe Bejach. Vous le connaissiez avant aujourd’hui ? Moi non plus. Et pourtant ce type est tout sauf un anonyme. Christophe Bejach, 53 ans, ingénieur et titulaire d’un MBA d’HEC a une carrière plutôt brillante orientée dans l’investissement des deux côtés de l’Atlantique. Passé chez Rothschild, créateur de la société Avion, revendue pour 68 millions d’euros à British Airways, ce strauss-kahnien convaincu à également un pied en politique. En 2012, il a rejoint l’équipe de Montebourg alors ministre du redressement productif au titre de conseiller à l’aérospatiale. Il est, enfin il était jusqu’au mois de décembre toujours conseiller du candidat Montebourg. Autre fait politique marquant, il est le fondateur du Think Tank de gauche Terra Nova.

Christophe Bejach a été condamné le 14 décembre dernier par un tribunal britannique à 9 mois de prison avec sursis pendant deux ans pour un premier chef d’accusation d’offense sexuelle sur enfant mineure et trois autres chefs d’accusation pour possession de photographies d’enfants indécentes.

Une pointure en somme dans son domaine comme sur le plan politique. Une pointure certes mais un pointeur aussi comme on dit dans le langage des taulards. Et un pointeur de la pire espèce puisque Christophe Bejach a été condamné le 14 décembre dernier par un tribunal britannique à 9 mois de prison avec sursis pendant deux ans pour un premier chef d’accusation d’offense sexuelle sur enfant mineure et trois autres chefs d’accusation pour possession de photographies d’enfants indécentes. L’affaire est salace. Bejach en bon prédateur sexuel écumait les forums internet d’enfants et d’ados à la recherche de proies. Il est entré en discussion avec celle qu’il pensait être la mère de trois fillettes de 8, 10 et 12 ans et qui était en fait un officier de police spécialiste de la traque sur le net des criminels pédophiles. À cette fausse mère, il a raconté vouloir faire des séances de photos avec les fillettes. Il lui a expliqué avoir acheté de la lingerie dans ce but et fantasmer particulièrement sur des filles de 10 ans. À son domicile, les policiers anglais ont retrouvé la lingerie mais aussi des dizaines d’images pédophiles sur son ordinateur dont certaines de classe “A” c’est-à-dire présentant des scènes de pénétration, j’en ai la nausée. Au juge, il a avoué qu’il espérait bien avoir des relations sexuelles avec les fillettes. Ce monstre s’en tire finalement plutôt bien, même s’il devra signer le registre britannique des délinquants sexuels pendant 10 ans. Cette affaire est effroyable, mais elle prend une dimension écœurante quand on compare la forte couverture médiatique qui l’a entourée au Royaume-Uni avec le silence abyssal des micros et stylo de ce côté-ci de la Manche.

Cette affaire est effroyable, mais elle prend une dimension écœurante quand on compare la forte couverture médiatique qui l’a entourée au Royaume-Uni avec le silence abyssal des micros et stylo de ce côté-ci de la Manche.

Les seuls à avoir réagi sont les tenants de la « fachosphère » : Fdesouche ; le salon Beige, TV Libertés et Breizh-Info(1). En dehors du site Auféminin.com qui est à saluer pour relayer toutes les affaires de pédophilie, rien dans les médias français, rien, silence. Épouvantable silence, coupable silence.
Comment peut-il se faire que les organes de réinfo comme TVL ou Fdesouche soient au courant et pas Libé, le Monde, le Figaro, BFM TV ou TF1 ?
Quelle est donc la vile petite raison de ce silence médiatique effarant ? Ne pas gêner Montebourg en campagne ?
Ne pas miner plus encore la primaire de gauche ? Ne pas achever le Parti Socialiste ? Préserver le think tank Terra Nova ? Ne pas réveiller le spectre Strauss-Kahn ? Ou pire encore, bien pire, occulter volontairement l’affaire pour ne pas dégrader si c’est encore possible l’image d’une classe politique déliquescente, corrompue, déviante et dangereuse.
On se serre les coudes dans l’oligarchie, c’est connu. Quel que soit le motif de ce silence, il fait des tenants de la soi-disant grande presse les complices de prédateurs pédophiles et ce n’est pas la première fois hélas, contrairement aux scandales de pédophilie dans l’église catholique, eux toujours abondamment commentés et relayés. Décidément la classe médiatico-politique de ce pays sent de plus en plus le pourri.
Les éliminer n’est plus une question de victoire politique mais une mesure d’hygiène nationale.
Bon week-end.

   
[source] Paris Vox
 
(1) Paris Vox oublie de mentionner Nice Provence Info, mais nous ne lui en tenons pas rigueur.
 
Source : nice-provence.info

jeudi, 30 avril 2015

Destruction sociale et destruction culturelle

 Publié par Guy Jovelin

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Jean-Gilles Malliarakis L’Insolent cliquez ici

Certains se demandent parfois si la déconstruction culturelle, entraînant la trahison des élites, n'engendre pas des conséquences plus graves encore que l'arasement social, étranglant les classes moyennes et se traduisant par la perte du sens du travail et de l'entreprise.

Des deux processus de subversion et de décadence lequel doit-on combattre par priorité ?

L'actualité nous fournit sa réponse par la simultanéité de deux mouvements.

D'une part, ce 27 avril, les artisans, commerçants et autres travailleurs indépendants manifestaient leur légitime révolte contre les abus, contre les dysfonctionnements et, en bonne logique, contre le monopole du lamentable RSI. Ce "régime social des indépendants" a été créé sans véritable débat par le fourre-tout de la loi Fillon de 2003. Il fut mis en place, sans que personne ne s'en aperçoive, sauf les assujettis incorporés de force, sous la présidence Sarkozy. Droite et gauche peuvent donc s'enorgueillir de concourir  à la même nuisance.

Et, d'autre part, depuis la révélation de son projet d'abaissement des programmes scolaires par la citoyenne Vallaud-Belkacem, on peut aussi observer et nous devons soutenir de toutes nos forces, la protestation grandissante contre les atteintes tendant à effacer la culture classique et les langues européennes de l'école publique en France.

Dans un cas comme dans l'autre nous ne subissons peut-être pas la même opération, mais elle vient de la même famille d'opérateurs, poursuivant un même but, par le pouvoir des bureaux dont les ministres et sous-ministres ne sont que les communicants.

Ils ont alors bonne mine ceux qui voudraient seulement accélérer le rythme de ce qu'on désigne de manière trop vague et trop indistincte comme des "réformes", trouvant trop lent, trop lourd et trop incertain le pas destructeur de Monsieur Normal et de ses comparses.

Hypocritement le 24 avril, la citoyenne Vallaud-Belkacem, ce personnage incompétent, inculte et non-élu, qui fut promue, on ne sait pourquoi, ministre de l'Éducation, a osé produire un communiqué faisant semblant de concéder que "les débats sont légitimes"… mais que le 12 juin tout sera bouclé, après "consultation", consultation de pure forme cela va sans dire, "des" enseignants… (lesquels ?)

Dans un cas comme dans l'autre, on doit par conséquent cesser de demander des améliorations au monopole, qu'il s'agisse du monopole scolaire ou du monopole social : on doit combattre le monopole.

Le même jour, où s'étaient dressés des gens écrasés par la lourdeur des charges on apprenait les nouveaux chiffres du chômage, la belle réussite de Hollande depuis 3 ans.

Il faut vraiment se situer dans le sillage de l'étatisme et du conformisme le plus absolu pour faire encore semblant de s'interroger sur les causes, alors qu'elles ne datent pas d'hier, même si leur comptabilité officielle vient de franchir la barre symbolique et historique des 3,5 millions de chômeurs.

On peut se demander en fait combien de politiciens français ont daigné observer un bulletin de paie français qu'il s'agisse de celui d'un ouvrier professionnel, d'une caissière de supermarché, d'un cadre moyen ou supérieur. Inutile par conséquent de les inviter à comparer un tel document avec son homologue en Allemagne ou au Royaume Uni. Dans le gouvernement actuel, essentiellement composé de fonctionnaires, personne ne semble capable de comprendre à quel point le modèle social français "que le monde nous envie" tue l'emploi en France, à quel point le poids des charges sociales monopolistes ont fait sombrer l'économie privée française

Songeons aussi que le conseil d'orientations des retraites est composé de gens qui, sans être eux-mêmes assujettis au régime général, bénéficient de la garantie accordée aux privilégiés de la haute fonction publique.

On va fêter bientôt le 20e anniversaire du plan Juppé de 1995 : depuis cette date, l'État, ou plutôt l'étatisme de la haute administration a mis la main sur les régimes sociaux et en a évacué l'ombre de démocratie syndicale qu'ils étaient supposés intégrer.

Dans un cas comme dans l'autre il est temps d'en finir avec ces mini-dictatures de l'incompétence, de l'arrogance et de la jactance.

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/