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lundi, 23 mars 2015

REINFO : LE JOURNAL HEBDOMADAIRE

Publié par Johanna

 

RÉINFO DU 23 MARS 2015

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samedi, 21 mars 2015

La cadre du FN a-t-elle fait un faux ?

 Publié par Guy Jovelin

Michèle Pellizzon et Jean-Pierre Jarton début 2014. M. Jarton a déposé plainte contre sa colistière pour «faux et usage de faux»./Photo archives.Cadre du Front National, conseillère municipale de Tournefeuille (l'un des trois élus du FN en Haute-Garonne), Michèle Pellizon est visée par une plainte pour «faux et usage de faux» émanant de son propre camp. Mandataire financier de la liste «Tournefeuille Bleu Marine» en mars 2014, Jean-Gabriel Roussel vient de porter plainte auprès du procureur de la République, au nom de la tête de liste, Jean-Pierre Jarton.

Après un an de remous internes, remontés au plus haut niveau du parti, M. Jarton passe à l'offensive :

«Ancien militaire, intègre, je ne comprends pas que le Front national, qui se dit exemplaire, cautionne les actes de Mme Pelizzon, souvent candidate, avec Louis Aliot aux Européennes en mai 2014, et l'est encore aux départementales».

Homonymie utilisée, signature imitée

Novice en politique, il lui reproche une ténébreuse affaire de déclaration officielle de candidature : «J'avais rencontré une jeune femme, 30 ans, née à Calais, d'accord pour être notre n°6 aux municipales. J'ai demandé à Mme Pellizzon de finaliser une dizaine de dossiers, dont celui-ci. J'avais confiance en elle, elle est si expérimentée ! Elle a imité la signature de la jeune femme, qu'elle n'a pas vue. La préfecture a refusé la candidature, car elle n'était pas inscrite sur les listes électorales. Mme Pellizzon lui a substitué une homonyme, de 35 ans, née à Epinal, qui elle était bien inscrite, sans lui demander son avis ! La préfecture a alors validé notre liste».

«Catastrophique»

Selon M. Jarton, Mme Pellizzon lui aurait ensuite avoué «l'usurpation d'identité» : «J'avais des candidates de remplacement. J'ai retrouvé aussi la candidate fantôme, qui, miracle, voulait bien postuler avec nous. Mais pour la préfecture, il était trop tard».

Jean-Pierre Jarton a fini sa campagne cahin-caha. Une fois élu, avec le soutien de ses principaux colistiers, il a demandé à Mme Pellizzon de démissionner, en vain : «Elle a refusé et monté une cabale contre moi. à un meeting de Louis Aliot pour les Européennes, on m'a dit que j'étais indésirable». Au ban du parti, convoqué au siège national, il a été reçu par Jean-Marie Le Pen, Bruno Gollnisch et d'autres ténors du FN, «pour un conflit si simple»…

Selon Michèle Pellizzon, cette plainte est «ennuyeuse et catastrophique. à la veille d'une élection, ce genre de scandale est aberrant. M. Jarton était responsable de sa liste. Je ne rentre pas dans son jeu, c'est grotesque. S'il persévère, je répondrai et je l'attaquerai en diffamation». «C'est dommage d'en arriver là pour une rancœur personnelle, une incompatibilité d'humeur entre deux personnes. Une procédure disciplinaire est en cours» indique Julien Léonardelli, secrétaire départemental du FN 31. Eh bien non.

Le 4 mars, Marine Le Pen a écrit à Jean-Pierre Jarton. En deux lignes et demie, dont une de politesse un peu sèche, elle l'informe que «suite à votre passage devant la commission des conflits, aucune sanction n'a été prise à votre encontre». M. Jarton s'en contrefiche : «J'ai démissionné du parti et de mon mandat de conseiller municipal. Et dimanche, je voterai blanc».


En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/17/2068514-la-cadre-du-fn-a-t-elle-fait-un-faux.html#7f7ggxIgiBlc3Wch.9

 

#JeSuisCupide : l’équipe de Charlie hebdo s’étripe autour du magot

 Publié par Guy Jovelin

Patrick Pelloux et dix autres rapaces de Charlie Hebdo, dont Laurent Léger, journaliste, et Luz, dessinateur, exigent de la direction du journal d’être associés au capital du torchon antifrançais. Certains, présents depuis de nombreuses années au sein de la rédaction, n’avaient jamais fait une telle demande. Ils ont engagé deux avocats pour faire aboutir cette demande qui apparaît très peu désintéressée, et créé un collectif pour obtenir une « répartition égalitaire du capital ». Les onze rescapés exigent de leur direction d’être élevés au statut d’« actionnaires salariés à parts égales ».

Durant toutes ces années, ils n’ont jamais souhaité être associés financièrement à un journal que personne ne lisait et qui était chroniquement déficitaire, survivant grâce aux subventions et aux appels au don. C’était avant l’éradication de la rédaction en janvier dernier… et surtout avant les environ 30 millions d’euros récoltés par le torchon depuis auprès des pouvoirs publics – donc volés aux contribuables –, d’institutions publiques – également volés aux contribuables –, des entreprises – volés aux consommateurs et aux actionnaires –, et de particuliers.

L’annonce en a été faite durant la conférence de rédaction – celle-là même qui avait été interrompue en janvier par les frères Kouachi – mercredi. Elle a provoqué une fracture au sein de la rédaction et un sentiment très désagréable chez tous les pigeons.

« La direction l’a appris mercredi. Nous prenons acte des souhaits des salariés d’être associés à la vie du journal. Mais nous sommes très loin de la réflexion sur l’actionnariat. […] Riss est encore à l’hôpital, les parts de Charb sont gelées par la succession. Tout cet argent fait plus de mal que de bien. Cela fait penser à ces enterrements où on se bat déjà en revenant du cimetière pour les bijoux de la grand-mère » a précisé un avocat des propriétaires attaqués du torchon. Ces derniers seraient « navrés » et opposés à cette demande.

Le torchon est actuellement détenu à 40 % par l’un des membres de rédaction, Riss, nouveau directeur de la publication ; les parents de son prédécesseur, Charb, doivent hériter d’autant ; le reste appartient au directeur général Éric Portheault.

« Pour le moment, on n’est pas associé aux choix. Il n’y a rien contre la direction actuelle, aucun conflit avec qui que ce soit, mais par rapport à ce qui s’est passé les salariés veulent être davantage acteurs de l’entreprise. […] À partir du moment où une entreprise est décimée, vous vous sentez complètement liés à elle. Il ne s’agit pas de se partager le gâteau. L’argent ne nous intéresse pas » a tenté de se justifier Patrick Pelloux en réclamant sa part des 30 millions.

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vendredi, 20 mars 2015

Alain Escada appelle les catholiques à ne pas déserter le terrain politique et flingue au passage « les militants LGBT momentanément drapés de tricolore »

 Publié par Guy Jovelin

Alain Escada appelle les catholiques à ne pas déserter le terrain politique et flingue au passage « les militants LGBT momentanément drapés de tricolore »Dans un communiqué, Civitas se réjouit que plusieurs de ses membres et amis figurent parmi les candidats en...

Lire la suite :  http://www.medias-presse.info/alain-escada-appelle-les-catholiques-a-ne-pas-deserter-le-terrain-politique-et-flingue-au-passage-les-militants-lgbt-momentanement-drapes-de-tricolore/27819

 

Persécution politico-judiciaire : Alexandre Gabriac condamné à deux mois de prison ferme et une lourde amende

 Publié par Guy Jovelin

Le fondateur des Jeunesses nationalistes (JN) a été condamné ce jeudi à deux mois de prison et 4.000 euros d’amende pour une prétendue « manifestation interdite » le 29 septembre 2012 à Paris. Alors que tous les rassemblements du mouvement nationaliste s’étaient jusque-là déroulés dans le calme le plus parfait, le préfet antifrançais de Lyon Jean-François Carenco avait commencé à interdire arbitrairement les manifestations des Français, rapidement suivi par son congénère de Paris, sur les ordres directs de Manuel Valls et de lobbies étrangers.

La répression et les actes dictatoriaux ne faisaient que commencer : moins d’un an plus tard, prenant le prétexte d’une agression d’un gang antifasciste contre des patriotes, dont aucun n’était membre des Jeunesses nationalistes, Manuel Valls avait fait interdire le mouvement ainsi que l’Œuvre française.

Le jour et à l’heure dits de la manifestation interdite, Alexandre Gabriac se trouvait dans un bar éloigné du lieu de rassemblement prévu avant l’interdiction. C’est alors que d’importantes forces de leur police politique avaient surgi et avaient violemment agressé le chef des Jeunesses nationalistes. Interpellé, il avait été placé durant de longues heures en garde à vue.

À travers la capitale, la tchéka avait raflé tout ce qui ressemblait à des patriotes, soit 57 personnes en tout, sans raison, et aucune n’avait été poursuivie.

La manifestation interdite avait pour but de dénoncer les zones de non-droit et le racisme anti-blanc. Les nationalistes savent aujourd’hui qu’à la longue liste des cités occupées il faut ajouter les tribunaux qui devront eux aussi être délivrés d’une présence antifrançaise particulièrement nocive et désastreuse pour notre pays. Rappelons que ce sont des juges parisiens qui, il y a quelques jours, ont fait relâcher deux islamistes partis égorger des innocents en Syrie avec l’État islamique (ÉI).

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