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mardi, 07 avril 2015

L’Algérie, elle aussi confrontée à l’immigration clandestine… (par Manuel Gomez)

 Publié par Johanna

20.000 migrants sont entrés en Algérie en 2014. Vous vous rendez compte ?

Selon son premier ministre, Abdelmalek Selal, l’Algérie est confrontée à un très grave problème : celui de l’immigration clandestine.

Lors d’une séance consacrée aux questions orales de l’Assemblée populaire nationale (APN), Khelil Mahi, ministre des relations avec le parlement, a confirmé que les autorités publiques poursuivront le rapatriement de ces clandestins vers leurs pays d’origines.
Bien entendu dans le respect de la dignité humaine.

Foin donc de la célèbre hospitalité arabe dont il est tant question dans le Coran et pourtant ce sont des Arabes qui fuient des pays arabes en guerre pour rejoindre un pays frère !
Il est vrai que l’Algérie n’a aucun problème démographique. Elle comptait 10 millions d’habitants en 1962 et très bientôt atteindra les 40 millions.

Pour le moment l’Algérie se contente de nous expédier ses propres ressortissants, mais ne va-t-elle pas très bientôt être aussi le chemin pour ces nouveaux migrants en leurs fournissant un visa afin qu’ils puissent traverser la Méditerranée et s’installer chez nous, comme ils le font déjà à Vintimille et ailleurs ?

En France ils seront bien accueilis, logés, soignés et aidés financièrement, comme le sont déjà les 200.000 pénétrant chaque année régulièrement ou clandestinement.

Ils deviendront comme tant d’autres « des chances pour la France de demain » et lui permettront de conserver la première place sur le podium de la démographie européenne, condition siné qua non pour que notre pays ait soi-disant un avenir brillant lors des prochaines décennies.
Mais au contraire de l’Angleterre (par exemple) qui dresse un mur à Calais ou de l’Allemagne qui chaque année, comme on peut le constater selon nos politiciens, s’apprauvit faute d’une démographie similaire à la nôtre. En l’an 2030 nous seront le pays le plus peuplé d’Europe !

Et ce n’est pas fini, car nous serons le pays comptabilisant le plus grand nombre de chômeurs, le plus grand nombre d’assistés, le plus grand nombre de pauvres… Mais aussi le plus grand nombre de retraités ne percevant plus de pension, car ne comptons pas sur les actuels et futurs migrants pour payer nos retraites ! Qu’on se le dise ! En France, nos politiques en place depuis des décennies ont des priorités : Eux d’abord, nous ensuite, s’il nous reste quelque chose ! [...]

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lundi, 06 avril 2015

Jusqu’où iront-ils ? Pour Pâques, Boubakeur réclame le doublement de lieux de cultes islamistes en France

Publié par Guy Jovelin

Ce n’est pas un hasard si la très extrémiste Union des organisations islamiques de France (UOIF) et ses très provocateurs dirigeants ont choisi cette fin de semaine pascale pour organiser son congrès annuel. Comme depuis plusieurs années, les islamistes occuperont Le Bourget. Il s’agit, selon les mots relayés dans la presse du système qui s’en vante, du plus important rassemblement islamiste en Occident.

Ordinairement divisés voire ennemis, les islamistes font front commun pour l’islamisation de la France, pendant que les chrétiens – non pas étrangers mais autochtones – sont massacrés en Afghanistan, en Syrie, au Kénya, en Irak, souvent par des islamistes importés, qui ont, eux aussi, commencé par évoquer la « simple » construction de mosquées ou le droit de ne pas adopter les mœurs et traditions locales, d’exiger de manger ce qu’ils veulent.

C’est ainsi que le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) Dalil Boubakeur a pris la parole durant le rassemblement de l’UOIF, une organisation jugée proche des Frères musulmans, mouvement considéré comme terroriste par de nombreux pays.

« L’Islam n’est plus un islam d’immigration, c’est un islam national qui a droit au même titre que les autres communautés en France à la reconnaissance et à la considération de la population française » a-t-il osé, avouant le caractère conquérant et dominateur de l’islamisme, avant de se lancer dans de violentes provocations : « Nous avons 2 200 mosquées. Il en faut le double d’ici deux ans […], je pense qu’il faut le double de mosquées ».

Alors qu’en France les hôpitaux, très largement fréquentés par les étrangers, ferment, Dalil Boubakeur n’a pas précisé comment seraient financés ces lieux de culte islamistes alors que de nombreux étrangers ne payent pas d’impôt. Selon lui, la République et 70 ans de politique antinationale ont abouti à ce tragique résultat : il y 7 millions d’islamistes en France.

« Les musulmans revendiquent leurs droits, tous leurs droits, rien que leurs droits » a de son côté déclaré Amar Lasfar, oubliant de préciser que pour les islamistes, la seule loi, le seul droit qui comptent c’est le Coran et que les sujets de droit qui comptent, ce sont les islamistes.

« Il faut que le nombre de mosquées reflète le nombre de musulmans […] Nous avons le droit [sic] de construire des mosquées, que les maires ne s’y opposent pas » a-t-il lancé menaçant, avant d’affirmer péremptoirement :

« Le petit musulman (…) a le droit [sic] d’avoir un plat de substitution » se réjouissant une fois encore de la complicité des élus de leur République contre la France et l’Europe :

« Il y a de moins en moins de maires qui s’opposent systématiquement à la construction de mosquées » a-t-il précisé.

De moins en moins de maires, mais de plus en plus de Français excédés par la destruction de leur culture, de leur histoire et leur génocide, comme l’ont montré les récents événements. Lors de ses rencontres, de nombreux islamistes sont invités, notamment Tarik Ramadan, qui interviendra à la tribune avec l’extrémiste antifrançais Edwy Plenel.

Source

dimanche, 05 avril 2015

Renaud Camus

Publié par Guy Jovelin

Et resurrexit tertia die

R

Michel Janva

La Neuvaine : Méditation de Pâques par Mgr Rey

 Publié par Guy Jovelin

 Mort et résurrection de la France

RAu cours de sa visite apostolique en 1980, Jean-Paul II adressait une adjuration pathétique aux chrétiens de France : « France, fille aînée de l’Eglise, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? »

Les peuples, comme les personnes, ont une âme et une vocation à remplir, en toute liberté. Une nation est une famille de familles qui a sa physionomie, son histoire temporelle et spirituelle particulières. L’amour de Dieu est certes le même pour tous les peuples de la surface du globe, même si ces derniers ne Le connaissent pas encore. Mais chacune des nations est aimée d’un amour de prédilection, qui correspond à son « genre de beauté » propre, c’est-à-dire à sa vocation communautaire spécifique.

Le rayonnement de la France à travers le monde s’enracine dans sa vocation chrétienne, source toujours vivante d’une culture riche de poètes et d’écrivains, de philosophes et de théologiens, de penseurs et d’artistes de génie, surgis d’un terreau fécondé par la foi des apôtres et irrigué du sang des martyrs. Notre géographie est recouverte du manteau d’églises, de sanctuaires et de cités, qui souligne combien la foi a embrassé notre histoire.

Cette mémoire chrétienne est pour nous encore référence et espérance pour le futur. Elle est source de responsabilité pour que l’expression de la laïcité et les choix éthiques, sociaux et politiques que notre pays pourra poser dans la construction de cet avenir, n’oublie jamais sa vocation.

Voilà des décennies que l'on annonce la mort de la France. Que ce soit par l'usure du temps, le suicide ou l'assassinat, notre vieux pays vivrait ses derniers instants. Pour certains même, il ne prendrait qu'aujourd'hui conscience de son trépas dissimulé de longue date par des politiciens avides de pouvoir et d'argent. Les vrais amoureux de la France seraient tout aussi convaincus de sa disparition mais n'oseraient le dire pour ne pas désespérer les braves gens. La France comme "société organique" ne serait donc plus : nous ne pourrions qu'en retarder la décomposition, par notamment la défense de sa cellule primordiale, la famille, ou de ce qui reste de sa culture absorbée par la globalisation économique et cyberespace. Quelques fidèles continueraient de s'émerveiller de cet héritage jusqu'à ce que leurs descendants se laissent finalement emporter par l'inéluctable montée du relativisme qui fait le lit du fondamentalisme.

Bien piètre perspective qui hélas, ne manque pas d'éléments de crédibilité ! Quoi qu'il en soit, pouvait-on sérieusement croire  à l'immortalité de la France ? Il ne lui a pourtant jamais été promis que les portes de l'Enfer ne prévaudraient pas contre elle, quelles qu'aient été les faveurs innombrables qu'elle reçut depuis son baptême. La question n'est donc pas de savoir si la France est morte ou vive mais si morte ou moribonde, elle pourrait revenir à la vie. En un mot, la France doit-elle craindre la mort ? Oui, comme le Christ a frémi devant l'imminence de sa Passion mais dans l'espérance de la Résurrection.

En crise, non seulement économique et politique, mais aussi morale et spirituelle, la France doit accepter de mourir à elle-même. Elle doit renier une conception de la "liberté au-dessus de toutes les valeurs" qu'elle a enseignée au monde entier : une liberté déifiée au nom de laquelle on s'arroge le droit de blasphémer, de corrompre les intelligences, de dénaturer l'amour humain ou de tuer "légalement" l'enfant et le vieillard. La France doit cesser de regimber sous l'aiguillon et rejoindre l'étendard qu'elle n'aurait jamais du quitter. Nombre de saints et de mystiques, dont bien sûr Jean-Paul II, ont conditionné le renouveau de la France et son relèvement à sa fidélité aux promesses de son baptême.

Le christianisme est l'âme de notre pays mais il s'est laissé depuis longtemps gagner par une profonde acédie qui l'entraîne aujourd'hui dans les pires égarements. Son principe vital s'affaiblissant, le corps naturellement se délite ; mais il se relèverait même du tombeau, si l'âme retrouvait sa ferveur baptismale. Le Salut de notre patrie suppose donc de chacun une conversion concrète et audacieuse, comme nous y appelle aujourd'hui encore l’apôtre Paul : "si vous êtes ressuscités avec le Christ, recherchez les réalités d’en haut : c’est là qu’est le Christ, assis à la droite de Dieu. Pensez aux réalités d’en haut, non à celles de la terre" (Col., III, 1-2).

Toute résurrection suppose, non pas le rétablissement d'un état antérieur, mais une profonde transformation de l'être jusqu'à son accomplissement. La France doit ainsi renoncer à ce qu'elle fut, pour s'accomplir davantage, à travers les circonstances dramatiques que Dieu permet en vue de ce plus grand bien. A l'image des stigmates du Christ glorifié, nos épreuves, vécues avec courage, dans la foi et l'espérance, seront la gloire de notre patrie transfigurée.

Michel Janva

Source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html