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samedi, 18 octobre 2014

Jacques Rançon, le tueur de la gare de Perpignan, a avoué un meurtre commis alors qu’il aurait dû être en prison

 

 

Publié par Guy Jovelin

Après dix-sept ans d’enquête, les policiers seraient parvenus à identifier le meurtrier d’une jeune étrangère dont le corps mutilé avait été retrouvé en décembre 1997 à Perpignan. Jacques Rançon, confondu par une empreinte ADN, après l’avoir nié au début de sa garde à vue, a avoué ce meurtre. Il a été mis en examen pour viol avec arme en récidive et assassinat. Outre le cas de Mokhtaria Chaïb, il pourrait être l’auteur de plusieurs autres crimes, qui constituent l’affaire des « disparues de la gare de Perpignan ». Sous cette appellation sont regroupés les meurtres de quatre jeunes femmes au profil proche entre 1995 et 2001 à Perpignan. Un homme, Marc Delpech, a déjà été condamné pour le meurtre de l’une d’elle.

Cet individu pourrait être l’auteur du meurtre de Tatiana Andujiar en 1995, crime qui ne peut être imputé à Jacques Rançon, alors emprisonné dans le nord de la France. Le corps de la jeune femme n’a jamais été retrouvé. Jacques Rançon pourrait par contre être coupable du viol et du meurtre de Marie-Hélène Gonzalez en juin 1998. Le corps de la malheureuse avait été découvert mutilé – comme dans le cas de Mokhtaria Chaïb – et décapité.

Dans cette affaire en cause, c’est la justice de la République qui est la principale coupable : Jacques Rançon avait été condamné à huit ans de prison pour avoir violé une jeune femme de 20 ans. Arrêté en 1992, condamné en 1994, il avait été libéré dès 1997, après à peine cinq ans passés en prison. Quelques semaines après, alors qu’il aurait dû se trouver en prison, il a violé et tué une jeune femme.

Il avait à nouveau fait neuf mois de prison entre 2013 et 2014 après avoir menacé de mort sa compagne, avec laquelle il a eu deux enfants. C’est seulement à la fin de cette peine, en juillet, que les autorités ont pris son empreinte ADN et que le lien a pu être fait avec le crime de 1997. Sa compagne a déclaré qu’il partait souvent la nuit, notamment pour se rendre près de la gare.

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vendredi, 17 octobre 2014

MARIAGES MIXTES : LA BONNE ANALYSE DE ZEMMOUR

Publié par Guy Jovelin

 
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ALLOCATIONS FAMILIALES : LA RÉFORME SCANDALEUSE

Publié par Guy Jovelin

 
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jeudi, 16 octobre 2014

Annabelle, le film qui dérape dans la salle ! (par Joris Karl)

 

Publié par Guy Jovelin

D’habitude, ce sont les films d’horreur qui fichent la trouille. Là, c’est le public. « Annabelle », sorti la semaine dernière, est pourtant un film ultra-classique issu d’un genre né dans les sixties. Une poupée (forcément maléfique), une héroïne (forcément blonde), et au-dessus de la marmite, comme toujours, une pincée de bigoterie rédemptrice, des portes qui s’entrouvent en pleine nuit et des acteurs qui – c’est la règle suprême – n’allument jamais la lumière dans leur baraque passé minuit !

On aurait pu s’en contenter. Mais la poupée maudite a visiblement semé la zizanie dans les salles de plusieurs grandes villes : la presse relate des faits violents dans les cinémas de Marseille, Strasbourg ou Montpellier. Le film amènerait « une clientèle de jeunes pas facile », précise la direction du cinéma phocéen Le Prado. On parle de bastons généralisées, de sièges arrachés, d’urine joyeusement déversée. Une quasi-orgie païenne, en somme, célébrée par une jeunesse qui n’a pas lu Nietzsche mais qui est chaque jour par-delà le bien et le mal. Selon les témoins, à chaque apparition du fantôme ou de la poupée, les ados crient, insultent, sursautent à chaque claquement de porte, courent dans les travées, commentent à voix haute. Souvent, on parle de« débordements » et, « pour raison de sécurité », le film n’est même plus diffusé dans une série de salles. Ou comment une civilisation meurt lentement au milieu des pop-corn écrasés.

Le même phénomène se répète donc de plus en plus souvent, et l’amateur d’épouvante se souvient que lors des projections de « Paranormal Activity 4 », les mêmes violences avaient émaillé les projections. Assistant à la séance de cet opus, j’avais moi-même dû recadrer un peu sèchement quatre ou cinq jeunes derrière moi, qui partaient « en live » dès les premières images. C’était dans une petite ville de province et les jeunes avaient compris le message. Mais il est facile d’imaginer qu’avec un public issu de « quartiers sensibles », mon verbe ferme et diplomate n’aurait pas suffi. Regarder un film dans ces conditions est littéralement intolérable. Autant lire du Proust en écoutant Diam’s à donf. On peut comprendre qu’un grand nombre de spectateurs n’ait même plus envie de se déplacer. Comme toujours, on refuse d’affronter le problème, et les séances sont tout simplement… annulées.

Sans éducation, sans gêne, sans culture, sans aucune notion du respect de l’autre, la génération « moi je » est en sécession avec ceux qui demeurent dans la civilisation. Je n’oublierai jamais ce lycéen qui, à la sortie du film « Walkyrie », vu à Lyon, disait à son pote : « Putain, je croyais qu’ils allaient le tuer, Hitler ; j’suis deg’. »

Avec « Annabelle », les décideurs peuvent au moins couper le courant. Mais dès qu’on sort du cinéma ?

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EBOLA : NOUS CACHE T- ON DES CHOSES ?

Publié par Guy Jovelin

Il y a dans l’opinion une propagation des thèses complotistes aussi foudroyantes dans leurs progressions qu'Ebola lui-même. Cela est dû au sentiment qu’on nous cache bien des choses pour ne pas nous affoler et en fait comme toujours, ça en affole certains.


Ebola : nous cache t- on des choses ?
Pas facile de faire face à des réactions irrationnelles et à des comportements stupides. La peur de côtoyer un noir ou d’envoyer des enfants à une école où il y a des enfants originaires des pays infectés est imbécile. Imbécile mais moins dangereuse que de cacher des réalités pour éviter la montée d’une exclusion de précaution, d’un apartheid sanitaire indispensable dans certains cas et pratiqués par les pays touchés eux même. 
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