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mardi, 16 septembre 2014

Fabius passe des consignes aux médias pour éviter « l’islamophobie »

Publié par Guy Jovelin

Le politicien condamné pour sa responsabilité dans l’affaire du sang contaminé ne se cache même pas pour passer des consignes aux groupes de presse. Peu soucieux des victimes syriennes des djihadistes qu’il a lui-même soutenu contre Bachar El-Assad, il s’inquiète vivement d’un hypothétique montée de défiance à l’égard de l’islam en France.

Ainsi afin d’éviter des amalgames il a déclaré devant les députés de l’Assemblée nationale : « je recommande de ne pas utiliser l’expression Etat islamique car cela occasionne une confusion islam, islamisme, musulman. Il s’agit de ce que les arabes appellent Daesh et de ce que j’appelle pour ma part les égorgeurs de Daesh. »

Au cas ou le message n’avait pas été entendu par les destinataires, il en a remis une couche ce matin sur France Inter : « Le terme Etat islamique est très mauvais. Je ne suis pas d’accord qu’on les appelle l’Etat islamique, ils voudraient qu’on pense qu’ils agissent au nom des musulmans, ce n’est pas vrai »

Merci à Walfroy

Source : http://www.contre-info.com

Beauvais à l'heure arabo-musulmane

 Beauvais à l'heure arabo-musulmane

Publié par Guy Jovelin

Mardi 16/09/2014

Le week-end dernier à Beauvais s'est déroulé sous le signe de l'invasion et de la collaboration. Dimanche 14 septembre, c'est le jour que la communauté musulmane de Beauvais avait choisi pour la pose, en grandes pompes, de la première pierre de la Mosquée dont la construction devrait enfin commencer pour le plus grand bonheur des milliers de mahométans de la ville. Lire la suite

lundi, 15 septembre 2014

Plenel : « C’est une immense chance pour la France d’être premier pays musulman d’Europe »

Publié par Guy Jovelin

Plenel

Interrogé ce matin par Jean-Jacques Bourdin, Edwy Plenel n’a cessé de faire l’apologie de l’islamisation de la France.

« Les musulmans sont aujourd’hui des boucs-émissaires comme les juifs ont pu l’être dans l’entre-deux guerres » a-t-il commencé par affirmé, oubliant au passage que les Chrétiens sont les croyants les plus persécutés dans le monde, la plupart du temps par des musulmans. Il est vrai que lorsque les bourreaux ne sont pas musulmans, ils sont bien souvent communistes, ce point commun est sans doute cher à Plenel le trotskiste…

Evoquant ensuite la question des djihadistes, Edwy Plenel a vivement réagit : « la déchéance de nationalité pour les djihadistes, c’est inadmissible. Il faut répondre sur un autre terrain », proposant quelques secondes plus tard des « stages de déradicalisation ».

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Femen : que les juges complaisants prennent garde

Publié par Guy Jovelin

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François Teutsch

Boulevard Voltaire cliquez ici

Les faits sont simples : le 12 février 2013, à l’occasion de la renonciation du pape Benoît XVI à sa charge, neuf Femen ont pénétré dans la cathédrale Notre-Dame de Paris et, juchées seins nus sur le socle de trois cloches, exposées provisoirement dans la nef à l’occasion du jubilé des 850 ans de l’édifice, ont crié « Pope No More » tout en tapant à l’aide de bâtons sur les cloches, qu’elles ont légèrement dégradées. Citées à comparaître devant le tribunal correctionnel pour dégradation volontaire, elles ont été relaxées le 10 septembre dernier au motif que les éléments soumis au tribunal ne permettaient pas de leur imputer avec certitude les dégradations. En revanche, les vigiles ont été condamnés à des peines d’amende avec sursis… Le parquet a interjeté appel de ce jugement.

Voilà pour les faits. Reste le scandale de poursuites inadaptées, du fait du ministère public. Reprocher aux Femen des dégradations matérielles était le plus sûr moyen de les faire relaxer : la décision du tribunal est logique ; la cour d’appel ne la réformera sans doute pas.

La vraie question n’est pas celle des cloches ! Elle est celle de l’intrusion dans un édifice religieux de neuf hystériques dont le but affiché est de provoquer, de choquer, de ridiculiser. Il suffit de voir les photographies de l’événement pour constater le regard effaré des touristes, manifestement choqués de cette mise en scène dans un lieu que chacun – croyant ou non – s’accorde à reconnaître comme sacré. Dans une société libérale – et prétendument libérée –, faut-il que la religion catholique dérange à ce point pour être la cible unique d’excitées du téton qui seraient bien incapables, d’ailleurs, de dire en quoi la parole apostolique les empêche de vivre comme elles l’entendent ?

Les chrétiens étant, dans notre Occident décadent, la seule minorité qu’il est permis de ne pas respecter, le parquet n’a pas pensé à user des dispositions qui lui permettaient de poursuivre efficacement ces militantes. La justice, une fois encore, a montré qu’elle appliquait la vieille règle du deux poids deux mesures. Quand elle est forte avec les faibles et faible avec les forts, elle ne craint ni le courroux des chrétiens, ni l’opprobre de la presse, ni les pressions du pouvoir. Mais le jeu qui consiste à juger en fonction de la capacité de nuisance de la victime risque de se retourner contre elle ! Lorsqu’elle aura à juger les incendiaires musulmans d’une synagogue, lui faudra-t-il s’indigner de l’acte antisémite ou refuser de stigmatiser une communauté habituée à la coupable indulgence des juges ?

L’autre vraie question est celle des attaques systématiquement portées contre les chrétiens et les symboles de leur foi. Bien sûr, à côté de ce qui se passe en Irak, cette danse pectorale n’a qu’une gravité relative. En apparence seulement : à force d’accepter ces manifestations d’hostilité, on prépare les esprits à une forme d’indifférence qui, le jour où surviendront de vraies persécutions, se révélera dans toute son ampleur. Ne sous-estimons pas la portée de ces actions : ne serait-ce pas leur seul objet ?

Que nos juges complaisants prennent garde. À force de mépriser les chrétiens, ils sapent les fondements – chrétiens – du droit pénal dont l’application leur incombe. Et ils soufflent sur des braises qui ne demandent qu’à s’enflammer.

Source :http://synthesenationale.hautetfort.com/

Platini acte la fin du football blanc ! (par Joris Karl)

 

Publié par Guy Jovelin

 

Le 15 mai 1985 se tint à Rotterdam, au stade de Kuip, une des dernières finales « blanches » du football européen : Everton (Angleterre) affrontait le Rapid de Vienne (Autriche). Sur la pelouse, une équipe 100 % britannique contre une équipe 100 % autrichienne, un Tchèque mis à part. Un autre monde. Même pas de pub sur les maillots. Un public viril, debout.

Trente ans plus tard, si on excepte l’Athletic Bilbao, club n’acceptant dans son effectif que les Basques de souche, pas un club ne dispute une compétition européenne sans joueur africain. L’étrange phénomène, le « quota noir », est devenu loi d’airain. Le championnat de France – véritable figure de proue en ce domaine – étant devenu une compétition africaine de seconde zone, peuplée de Maliens, Ivoiriens, Burkinabés et autres Camerounais interchangeables dont on peut bien se demander ce qu’ils apportent au football national, pourtant gorgé de talents locaux. Ainsi, un derby breton comme Rennes-Guingamp se transforme en match de Coupe d’Afrique, sous les regards gênés des spectateurs…

Cela ne suffit visiblement pas pour les instances supérieures du jeu : mercredi dernier, lors d’une énième conférence sur « le respect de la diversité », véritable obsession de l’UEFA (organisme qui dirige le football européen), le président Michel Platini a littéralement acté la fin officielle du football européen 100 %… européen : « L’Europe du foot de papa, mâle, machiste et blanche, c’est fini et ça ne reviendra pas. »

Avec cette formule stupéfiante – imaginez qu’un dirigeant de la NBA dise « que le basket-ball, mâle, machiste et noir, c’est fini » –, Platini voulait répondre aux dernières flambettes de racisme qu’a connues le football continental. Cris de singe sur certains stades, déclaration du président de la fédération italienne qui raconte qu’en arrivant dans la péninsule, un joueur noir « mangeait des bananes ». De quoi offusquer les garde-chiourme de l’antiracisme en costard. Ces kapos du racialement correct, on ne les entend pourtant guère quand le gouvernement d’Afrique du Sud décide – ces derniers jours – d’imposer officiellement un quota de noirs dans des équipes de rugby jugées trop blanches !

L’UEFA « ne tolère aucune forme de discrimination, raciale, culturelle, religieuse, sexuelle ou homophobe », a martelé Platini, ajoutant que « le chemin est long, parsemé d’embûches et d’oppositions sourdes ». Un peu sonné, en effet, par ce Grand Remplacement sur les terrains de foot, le supporter moyen, désespérément blanc, rejette parfois violemment ce qu’on veut lui imposer. Vouloir que les équipes européennes jouent avec des joueurs européens : le rêve, désormais interdit, de notre époque !

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