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jeudi, 21 août 2014

Un juge rouge aux ordres de Taubira libère un criminel ayant tenté de tuer un jeune Français au Cap d’Agde

Publié par Guy Jovelin

En cette mi-août, Antony, 21 ans, et l’un de ses amis étaient en vacance au Cap d’Adge. Dans la nuit du 13 au 14 août, ce Toulousain s’était rendu dans une discothèque. Sur le chemin du retour, dans la nuit, il entend les cris d’une jeune fille qui appelle à l’aide. Les deux amis aperçoivent un homme très violent qui porte des coups de couteau.

« Une fille appelait au secours et nous avons voulu avec un ami la défendre. C’est tout. […] Cette fille appelait à l’aide. Nous sommes intervenus avec mon ami pour l’aider en maîtrisant le jeune qui portait des coups de couteau et qui avait déjà blessé du monde. Nous ne savons rien du début de l’altercation. Mon ami devait le faire tomber et moi je devais le ceinturer et lui maîtriser les bras afin qu’il cesse de blesser les gens. »

Mais lorsqu’ils interviennent, le criminel leur porte plusieurs coups de couteau. L’un d’eux touche Antony au niveau du cœur, très grièvement blessé, il est admis à l’hôpital à Montpellier, où il est toujours soigné.

« J’ai été opéré. J’ai la poitrine ouverte pour que le chirurgien puisse recoudre mon cœur qui avait une entaille d’un bon centimètre. Oui, j’ai failli mourir parce qu’une fille appelait à l’aide. J’ai vu la mort de près. Il a même touché une artère tout ça parce que nous avons voulu porter secours à quelqu’un. Mon ami a lui aussi été bien touché, il est entaillé sur les pectoraux et a été ouvert de derrière la tête jusqu’au cou. Nous avons eu malgré tout beaucoup de chance, mais jamais nous ne nous sommes battus pour les beaux yeux d’une jeune fille. Pas nous deux dans tous les cas. »

Si Antony devrait pouvoir retourner bientôt chez lui, c’est déjà chose faite pour l’homme qui a tenté de le tuer. Les juges de la République l’ont déjà remis en liberté.

« Je réagis, car je regrette que cet individu soit juste placé sous contrôle judiciaire alors que j’ai failli mourir ». se désole le jeune homme.

Source

mercredi, 20 août 2014

Libye : entre nuées démocratiques et réalités tribales

Publié par Guy Jovelin

Bernard Lugan

L'Afrique réelle cliquez ici

Aimages.jpgu moment où le parlement libyen appelle à une intervention étrangère "pour protéger les civils", nous pouvons lire dans le quotidien Le Monde en date du 12 août 2014 un titre insolite: "La transition en Libye est un échec, il faut la repenser".

Que s'est-il donc passé pour que la "bible des bien-pensants", ce point oméga du conformisme intellectuel français, se laisse ainsi aller à une telle constatation après avoir soutenu avec une arrogante indécence l'intervention militaire contre le colonel Kadhafi, cause directe de la situation actuelle ?
 
Le but de la guerre calamiteuse décidée par Nicolas Sarkozy était officiellement l'établissement d'un Etat de droit à la place d'un régime dictatorial. Après le lynchage du colonel Kadhafi par les islamo-mafieux de Misrata, un processus démocratique fut imposé aux nouveaux maîtres du pays. Il se mit en place à travers plusieurs élections et par la rédaction d'une Constitution. Les observateurs, à commencer par les journalistes du Monde, louèrent alors ces "avancées démocratiques", preuve de la "maturité politique" des "démocrates" libyens. La "guerre du droit" ayant été gagnée, accompagné de BHL, Nicolas Sarkozy alla ensuite sur place goûter aux félicités triomphales du "libérateur"...
 
Le résultat de ces illusions, de cet aveuglement, de ce décalage entre l'idéologie et la réalité, de cet abîme existant entre les spasmes émotionnels et les intérêts nationaux français, est aujourd'hui tragiquement observable. Les dernières structures étatiques libyennes achèvent en effet de se dissoudre dans des affrontements aux formes multiples s'expliquant d'abord par des logiques tribales. Sur ces dernières viennent, ici ou là, se greffer avec opportunisme des groupuscules islamistes soutenus par le Qatar et la Turquie.
 
Un retour au réel s'impose donc afin de tenter de sortir la Libye de l'impasse. Or, ce réel tient en quatre  points :
 
1) La Libye n'a jamais existé comme Etat de facture occidentale.

2) Le  colonel Kadhafi avait réussi à établir une réelle stabilité en se plaçant au centre, à la jonction, des deux grandes confédérations tribales de Cyrénaïque et de Tripolitaine.

3) Son assassinat a fait que, ayant perdu leur "point d'engrenage", ces deux confédérations se sont tournées sur elles-mêmes dans une logique d'affrontements tribaux régionaux ayant pour but la conquête du pouvoir dans chacune des deux grandes régions du pays éclatées en cités-milices aux intérêts tribalo-centrés.
 
4) La clé de la stabilité libyenne passe par la reconstitution du système d'alliances tribales mis en place par le colonel Kadhafi. Or, les responsables politiques libyens ne sont pas en mesure de mener cette politique car ils sont tous sont ethno-géographiquement liés par leurs origines.
 
Le seul qui, dans l'état actuel de la complexe situation libyenne pourrait jouer ce rôle de rassembleur-catalyseur est Seif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi. Actuellement détenu avec des égards par les miliciens berbères de Zenten qui constituent le fer de lance des forces anti-islamistes en Tripolitaine, il est soutenu par les Warfallah, la principale tribu de Tripolitaine, par les tribus de la région de Syrte, par sa propre tribu et il pourrait l'être également par les Barasa, la tribu royale de Cyrénaïque, sa mère étant Barasa. Autour de lui pourrait être refondée l'alchimie politico-tribale, le pacte social tribal de Libye.

Mais pour cela il importe que la CPI, perçue en Afrique comme un instrument du néocolonialisme "occidental",  lève le mandat d'arrêt de circonstance lancé contre lui.

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

L’archevêque de Mossoul met en garde les européens

L’archevêque de Mossoul, Mgr Amel Shimoun Nona a accordé un entretien au journal italien Corriere de la Sera, il lance un avertissement aux Occidentaux :

« Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens européens et occidentaux, souffrirez dans un futur proche », a crié l’archevêque à ses frères chrétiens d’Occident. « S’il-vous-plaît, il faut que vous compreniez. Vos principes libéraux et démocratiques n’ont aucune valeur ici. Vous devez reconsidérer la réalité du Moyen-Orient, car vous accueillez un nombre croissant de musulmans. Vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faut prendre des décisions courageuses et dures, y compris en allant à l’encontre de vos principes. Vous croyez que tous les êtres humains sont égaux, mais ce n’est pas une chose certaine. L’Islam ne dit pas que tous les êtres humains sont égaux. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. Si vous ne comprenez pas cela rapidement, vous tomberez victimes d’un ennemi que vous aurez accueilli dans votre maison. »

Via NDF

Source : http://www.contre-info.com/

Bientôt plusieurs papes émérites ?

Publié par Guy Jovelin

Hier dans l'avion, le pape François a jugé que la décision du pape Benoît XVI de renoncer au pontificat est une décision «noble, humble et courageuse». Tout comme l'on s'est habitué aux «évêques émérites» qui étaient «des exceptions» il y a encore soixante-dix ans, on s'habituera aux papes émérites, selon le pape François. Benoît XVI «a donc ouvert une porte qui est institutionnelle et qui n'est pas exceptionnelle».

Le pape François, qui aura 78 ans à la fin de l'année, envisage un pontificat de quelques années seulement.

Michel Janva

Source :http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

mardi, 19 août 2014

« L’espèce » en voie de disparition ? (par Richard Hanlet)

Publié par Guy Jovelin

Au moment d’ouvrir l’enveloppe de mon avis d’imposition, j’entends à la radio que l’administration fiscale est assaillie de demandes gracieuses de délais ou de non-paiement, avec une augmentation de 20 % en 2013. Et selon le rapport de la Direction générale des finances publiques (DGFP), de 2011 à 2013, le nombre de relances envoyées par le fisc est passé de 4,5 millions à près de 10 millions ! Comme les socialistes aiment tant les pauvres qu’ils s’acharnent à les multiplier, on peut raisonnablement préjuger que ce sera pis en 2014.

Consultant mon avis d’imposition, je découvre un petit rappel : les paiements en espèces supérieurs à 300 euros sont désormais interdits. Bien que n’en ayant jamais usé, je me souvenais de cette possibilité, naguère plafonnée à 3.000 euros. Comme toujours quand il s’agit de piquer notre argent (écologie, sécurité routière), c’est pour la bonne cause : lutter contre le blanchiment d’argent, « notamment de sommes issues du travail non déclaré ». Mais aussi limiter le risque « d’agression à main armée qui met en danger les agents ». (C’est-y pas mignon, cette sollicitude ? Et puis bijoutiers et buralistes se sentent tout de suite moins seuls…).

En fait, la lutte contre l’argent liquide est une vieille obsession de Bercy. Avant l’euro, la Belgique avait un billet de 10.000 francs belges (250 euros), l’Allemagne un billet de 1.000 Deutsche Mark (500 euros), alors que la plus grosse coupure française était le « Pascal » de 500 francs, soit 76 euros… Alors, quand il s’est agi d’émettre des coupures de 500 euros, les inspecteurs des finances en ont avalé leur cravate. Mais nos partenaires ont tenu bon et l’usage s’en est répandu partout… sauf en France, où les caissières d’hypermarchés ne sont pas loin d’appeler la police devant de tels OVNI ! La République revint à l’attaque en 2009, en proposant la disparition des billets de 500 euros parmi les mesures anti-paradis fiscaux d’un rapport parlementaire : « La France doit promouvoir la disparition du billet de 500 euros. Depuis la disparition du billet de 1.000 dollars, le billet de 500 euros représente la valeur en espèces la plus importante. Or, le blanchiment d’argent sale passe très souvent par le recours aux espèces. »

Sans aller jusqu’à Singapour dont la coupure de 10.000 SGD (dollars de Singapour) vaut plus de 6.000 euros, nos élus auraient pu franchir les Alpes pour constater que le billet de 1.000 francs suisses reste très utilisé : « Les billets de banque sont considérés comme un moyen de paiement très pratique. Les Suisses ont également une volonté marquée de protéger leur vie privée. Faire ses paiements en liquide en est une des illustrations », déclare la porte-parole de la Banque nationale suisse. Mais chez nous, le désir de protection de la vie privée vaut présomption de culpabilité. La disparition des espèces et la traçabilité de toute transaction risquent toutefois de poser un sérieux problème aux « canabinothérapeutes » et petits chimistes des zones de non-droit. Mais comme ils ont des notions d’économie très supérieures aux gens du ministère éponyme, il est probable qu’ils créeront leur propre monnaie, ou utiliseront le dollar, la livre ou… le yuan.

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