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jeudi, 28 août 2014

À l’Éducation nationale, le ministre est interchangeable et il le sait (par Pierre Van Ommeslaeghe)

Publié par Guy Jovelin

 
À moins d’une semaine de la rentrée scolaire, le ministre de l’Éducation nationale change. Après la sortie de Benoît Hamon ce dimanche, il est certain que François Hollande ne pouvait pas le garder à ce poste (ni ailleurs au gouvernement). Il n’en reste pas moins que cela fait désordre. Cela ne remet pas en cause la rentrée. Elle est préparée depuis longtemps, et l’expérience et le professionnalisme des personnels sur le terrain suffisent à assurer une bonne rentrée. Mais symboliquement, l’effet est désastreux.

Car cela prouve qu’il n’y a pas vraiment besoin de ministre pour faire fonctionner l’Éducation nationale. On sait depuis longtemps que ce ministère est en réalité une technocratie achevée où ce sont les directeurs d’administration centrale qui font la loi. Les ministres passent, eux restent. Et les ministres le savent. Ceux qui ont tenté d’y remédier s’y sont cassé les dents faute de soutien politique du chef de l’État, les autres y ont renoncé s’ils en avaient eu la velléité. Il n’y a donc pas de direction politique à l’Éducation nationale. Plus exactement, la politique suivie par ce ministère n’est ni démocratique (le peuple n’y a pas sa place) ni républicaine (ce n’est pas l’intérêt général qui y est poursuivi).

Mais la séquence de l’éviction de Benoît Hamon et sa signification sont peut-être plus graves encore. La politique, disait Thomas d’Aquin, est la plus haute des charités car elle est le souci du bien commun. Du moins doit-elle l’être. Particulièrement en ce qui concerne l’éducation puisqu’il s’agit de transmettre le patrimoine intellectuel et moral de la nation aux enfants, pour les insérer dans notre monde commun.

Benoît Hamon avait cette haute responsabilité. Il occupait un poste où il pouvait agir pour le bien commun, du moins pour ce qui lui semblait l’être. Or, à une semaine d’une date importante pour les enfants de France, il a choisi d’aller à l’affrontement avec le président de la République. On peut concevoir qu’il ne soit pas d’accord sur l’orientation de la politique de ce dernier. Mais étant au gouvernement, on peut penser qu’il y avait d’autres manières de lui faire savoir son désaccord, voire d’infléchir cette politique.

On peut aussi penser que, si cet affrontement lui semblait inévitable, il pouvait le différer de quelques semaines, le temps d’assumer cette rentrée qu’il avait préparée. Il a préféré agir comme il l’a fait, sachant que cela serait plus profitable à sa carrière politique. Affichant son mépris des enseignants, des parents, des élèves.

Benoît Hamon manifeste ainsi ouvertement qu’il se moque de l’intérêt de la France, qu’il est prêt à le sacrifier à ses intérêts propres. Il n’est, hélas, pas le seul, et pas seulement à gauche.

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Les Grosses Têtes : avec Ruquier, on ne gagne pas au change (par Caroline Artus)

Publié par Guy Jovelin

Les « Grosses Têtes » changent de tête : RTL a décidé de troquer Philippe Bouvard et sa bande pour Laurent Ruquier et la sienne. Si certains sociétaires et grands humoristes actuels tels Bernard Mabille, Jean-Jacques Peroni et Jacques Mailhot continueront de prêter à l’émission leur ton décapant, d’autres tronches font leur apparition.

D’abord, Steevy Boulay, un ancien lofteur aux deux « Gérard de la télévision » : celui, en 2006, du pire animateur ou chroniqueur aux capacités intellectuelles contrariées et, en 2010, celui de l’animateur qui porte bien son nom. Grand ami de Ruquier, une petite tête qui plombera les futures Grosses Têtes ?

Yann Moix, dans un autre registre, n’est pas mal non plus. « Heureusement que l’islam existe […], l’islam nous préserve de beaucoup de problèmes », assenait-il l’année dernière. Profond.

Et Marcela ! Marcela qui ? Mais la Marcela de DSK, pardi ! Nom de famille Iacub. La famille, elle n’aime pas trop. À commencer par les bambinos : « Le pire ennemi des femmes, c’est l’enfant, c’est la famille. » D’ailleurs, elle n’en a pas. Tant mieux. Parce qu’avoir une maman pour qui « l’âme, l’amour, l’estime, rien de cela ne compte ; la jouissance, c’est de la technique », on a connu mieux. Puisque selon elle, faire l’amour, c’est comme faire cuire un œuf, elle préfère avoir un chien. Et, aucun rapport, dans son livre Œdipe reine, elle dévoile ce qui semble être une obsession : la sodomie. On écrit ce qu’on peut. Et on a le droit de regretter Macha Méril.

Il y a aura aussi Michèle Bernier, une indécrottable Enfoirée, et Caroline Diament qui taxait Christine Boutin de catholique intégriste parce qu’elle avait la trouille qu’on l’empêche de faire ce qu’elle veut de son corps. Une courageuse.

Bref, là où la bande à Bouvard mélangeait le macho taciturne et sardonique Kersauson avec l’autodérision de Sim, le mordant de Jean Yanne avec la malice de la sexy Amanda, le désopilant humour de Guy Montagné, la gouaille et la vivacité de Carlos, en plus de toute la diversité d’horizons de tous les autres – Perrin, Bellemare, Perrot, ou Thierry Roland au rire inimitable –, chez Ruquier, on sent bien qu’on va se retrouver dans l’entre-soi confortable de l’idéologie admise. Alors, on invitera aux nouvelles têtes des exceptions qui confirment la règle. De temps en temps. Comme Lorànt Deutsch, un royaliste… mais de gauche.

À la culture certaine, à l’irrévérencieux souvent, à la truculence tout le temps risquent bien de succéder la rareté de la culture, le cru du c.. et, à la moquerie maligne, les attaques faciles et les médisances nuisibles. Là où les Français riaient ensemble toutes convictions politiques et sociétales confondues, la composition de la nouvelle équipe augure d’une uniformité de pensée triste à pleurer. Un outil de propagande pour la majorité au service des minorités ?

Alors, qu’aurait bien pu avoir envie de transmettre Philippe Bouvard – la figure de proue des Grosses Têtes, le routard de la citation aux 84 printemps – à ce successeur qu’il n’a pas choisi ? Rien.

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mercredi, 27 août 2014

Remaniement : la provocation Najat

Publié par Guy Jovelin

Capture d’écran 2014-08-26 à 20.07.21François Hollande et Manuel Valls, au plus bas dans les sondages, se paient le luxe d’un remaniement alors que le chômage et la délinquance continuent à exploser : 48h de discussions en tous sens pour aboutir à un changement aussi insignifiant que provocateur.

Emmanuel Macron à l’Economie, Najat Vallaud-Belkacem à l’Education Nationale et Fleur Pellerin à la Culture.

Voilà les trois grandes nominations du gouvernement Valls II, annoncé en fin de journée par le secrétaire général de l’Elysée Jean-Pierre Jouyet. Ils prennent respectivement les places des démissionnaires Arnaud Montebourg, Benoît Hamon et Aurélie Filippetti.

Trois changement seulement mais une provocation de plus avec le poste de Najat Vallaud-Belkacem, sans compter le fait que François Hollande nomme à l’Economie un ancien banquier d’affaires chez Rothschild, deux ans et demi après avoir clamé que la finance était son ennemi…

En Mars, Hollande avait choisis de reconduire Christiane Taubira quelques jours après qu’elle ait ouvertement menti devant les Français et quelques mois après qu’elle ait donné son nom à une loi inique qui n’aura eu de cesse de diviser le pays.

Il la garde encore une fois et va plus loin : Najat Vallaud-Belkacem, grand maître de la théorie du genre et des luttes contre l’ordre établi et la loi naturelle au ministère de l’Education Nationale.

Quelques jours avant la rentrée scolaire ils balaient d’un revers de main les inquiétudes de milliers de parents qui avaient retiré leurs enfants de l’école l’année dernière lors des Journées de Retrait de l’Ecole et font la promesse d’une place toujours plus grande faite à l’idéologie dans les écoles, après avoir terminé l’année scolaire en promettant l’extension des ABCD de l’égalité rebaptisés à toute la France.

Le message du gouvernement est clair : on garde les mêmes, on garde le cap, mais il est certains sujets sur lesquels on accélère…

Nous sommes prévenus.

Source :http://www.contre-info.com/

Gouvernement Valls II :

Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du développement international

Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie

Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche

Christiane Taubira, garde des Sceaux, ministre de la Justice

Michel Sapin, ministre des Finances et des comptes publics

Emmanuel Macron ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique

Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé et du Droit des Femmes

François Rebsamen, ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense

Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur

Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports

Marilyse Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique

Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication

Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt

Sylvia Pinel, ministre du Logement et de l’Egalité des territoires

George Pau-Langevin, ministre de l’Outre-mer.

Strasbourg à l’heure algérienne

Publié par Guy Jovelin

Strasbourg à l’heure algérienne

L’Algérie est (...) l’invitée d’honneur de la 82e Foire européenne qui s’ouvre le 5 septembre sur les bords du Rhin. Lire la suite

M. HOLLANDE, AVEZ-VOUS BIEN MESURE LA GRAVITE DE LA SITUATION ?

Publié par Guy Jovelin

player_preview.jpgPhilippe Gibelin

Président de NCI (Nationalité citoyenneté identité)

Le président de la république aura passé tout l’été à commémorer des événements liés à la première et à la seconde guerre mondiale.

A N.C.I. et au Réseau Identités nous ne pouvons que nous réjouir de voir que la plus haute personnalité de l’État se préoccupe de notre passé et de notre histoire.

C’est bien, qui s’en plaindrait ?

Mais à deux conditions :

1) Ne pas se limiter au XXe siècle en privilégiant la deuxième guerre mondiale et de soi-disant apports décisifs des populations étrangères dans le conflit.

Où étaient M. Hollande et les membres de son gouvernement lors de la célébration du 800e anniversaire de la bataille de Bouvines, moment fondateur de la France ; Où sont-ils lors des fêtes qui continuent à se poursuivre pour le 800e anniversaire de la naissance de Saint-Louis, incarnation de la royauté et d’une France triomphante ; où not-ils pour magnifier le 1200e anniversaire de la mort de l’Empereur Charlemagne, premier Prince Européen ?

Ils ne sont nulle part, si ce n’est à espérer un retournement de conjoncture pour espérer être réélus et garder leurs places !

2) Ne pas oublier de construire le futur et regarder ce qui de passe autour de nous : des milliers de migrants africains débarquent tous les jours en Italie et en Espagne. Ils sont originaires d’Afrique subsaharienne qui est en proie à une grave épidémie du virus Ebola que l’on est incapable de soigner.

L’OMS décrète une urgence mondiale sur Ebola. À Lampedusa, les policiers fuient en masse par peur de la contagion que pourraient amener les immigrants. En Grande-Bretagne un cas suspect a été découvert.

Et pendant ce temps, vous et votre gouvernement prévoyait un assouplissement du droit d’asile qui va aggraver encore l’immigration sauvage et le grand remplacement de population en France. Vous ne pensez qu’à la possibilité de donner le droit de vote à ces gens afin de pouvoir vous maintenir au pouvoir.

NOUS NE VOUS LAISSERONS PAS FAIRE !

Nous continuerons d’alerter l’opinion sur vos pratiques néfastes : nous avons déjà recueilli des milliers de signatures contre une réforme du droit d’asile laxiste et de continuerons d’expliquer aux parlementaires les dangers de votre texte ; déjà, Guillaume LARRIVE, député de l’Yonne, a pris position contre votre projet et propose une expulsion obligatoire et immédiate en cas de rejet de la demande d’asile.

M. Hollande, la France est menacée culturellement, économiquement, sanitairement et dans sa substance même. Nous vous tiendrons responsable de ces dérives néfastes alors que par les pouvoirs que vous détenez vous avez la possibilité de redresser la situation.

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2014/08/2...