mardi, 17 juin 2014
« Vers un pays bloqué et une crise politique majeure ! »
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dimanche, 15 juin 2014
Mafias de l'Est, RSA et Karine Lemarchand, la mère Denis reconnaîtrait-elle encore les campagnes françaises ?

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La mairie de Paris joue l'Islam
Publié par Guy Jovelin
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samedi, 14 juin 2014
Jean-Marie Le Pen publie sa lettre ouverte à sa fille
Madame Marine LE PEN
Présidente du Front National
8 parc de Montretout
92210 Saint-CloudSi tu peux supporter d’entendre des paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles...
Tu seras un homme mon fils !
Rudyard KIPLINGC’est la vérité qui vous rendra libres !
Saint-JeanHodie Mihi, Cras Tibi
Saint-Cloud, le 11 juin 2014
Madame la Présidente,
Après m’avoir accusé, sans m’entendre, d’avoir commis une « faute politique », vous faites supprimer, sans m’en avertir, du site officiel du Front National, le "Journal de bord" que je publie depuis 366 semaines sans incident notable.
Je ne peux accepter cette injustice supplémentaire qui suit d’ailleurs la campagne médiatique diffamatoire déclenchée par les sycophantes, chiens de chasse de l’antisémitisme, pour l’emploi du mot "fournée".
Cette dénonciation de mes propos est, hélas, banale et n’aurait pas pris d’ampleur, en cette fête de la Pentecôte où l’Esprit-Saint descendait sur la tête des apôtres, sous la forme de langues de feu, si cette calomnie odieuse n’avait été accréditée par les commentaires maladroits d’un responsable FN et celui d’un Député, qui n’est pas membre du Front National, tout en lui devant son élection, mais surtout par votre condamnation d’une "faute politique".
Je suis victime d’une interprétation malveillante et diffamatoire qui a été faite par des ennemis politiques ou des "idiots utiles".
S’il y a eu "faute politique", ce n’est pas de mon fait, mais celui de "responsables" du Front National qui l’ont accréditée par leurs déclarations.
Vous me faites grief de n’avoir pas anticipé les éventuelles attaques dont je pouvais être l’objet, autrement dit, de ne pas m’être appliqué, une censure préalable volontaire comme dans les pays totalitaires.
Mais vous-même, n’avez-vous pas été mise en cause par votre déclaration sur "l’occupation" de rues par des fidèles musulmans ou encore par votre présence à Vienne, à un bal, réputé "nazi" par nos ennemis ?
Vous estimez-vous donc fondée à sanctionner le fondateur et Président d’honneur du Front National, en outre, Député européen depuis 30 ans et brillamment réélu avec quatre colistiers ?
Cependant, tout ceci est insignifiant par rapport à l’avenir de notre mouvement, de ses dizaines de milliers d’adhérents et de ses millions d’électeurs.
Insignifiant aussi par rapport à l’avenir de notre France gravement menacée par une décadence générale, par une immigration massive qui va s’aggraver dans les mois qui viennent, par l’insécurité, le chômage, les déficits budgétaires et sociaux, la crise de l’éducation…
Seul le Front National est capable d’enrayer cette marche aux abîmes et de redresser la situation. C’est sa mission sacrée et c’est elle qui doit vous préoccuper essentiellement.
Cela dit, je ne puis accepter une sanction injuste qui prive, de surcroît, des milliers de Français, ici et dans le monde, du message politique de mon Journal de bord.
Au reste, accepter en silence d’être victime d’une injustice, c’est s’en rendre complice.
Je ne fais que demander justice, en appelant à votre autorité, la simple réparation d’un dommage injustifié.
Dès lors, je considérerai dans l’intérêt commun que l’incident est clos.
Je vous prie, Madame la Présidente, d’accepter les devoirs que je vous présente.
Jean-Marie LE PEN
Source : http://fr.novopress.info/
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Accepter les règles du jeu des médias, c’est déjà se soumettre.
Délégué régional de la NDP et de Synthèse nationale
Flandre Artois Hainaut
Depuis 2007, date à laquelle je n’ai plus renouvelé mon adhésion au FN et j’ai quitté toute responsabilité au sein du mouvement, je m’étais fait une règle de ne pas commenter, ou alors très peu, la vie de mon ancien parti. Non que je n’ai rien eu à dire, mais je ne souhaitais pas que ça puisse être interprété comme quelque forme d’amertume que ce soit. Je crois au combat, pas aux regrets.
Mais aujourd’hui la coupe est pleine. Le lynchage de JMLP par les cadres de son propre parti est non seulement indigne, mais politiquement débile. A tous ceux qui pensent qu’il faut donner en permanence des gages au pouvoir en place, et que la stratégie de la dédiabolisation est la seule voie pour la sauvegarde de notre Pays, je répondrais qu’adopter les us et coutumes de l’adversaire n’a jamais permis de gagner aucune guerre. La dédiabolisation aurait du consister à emmener le peuple à considérer que les thèses et idées défendues par le FN n’ont rien de diabolique. Au lieu de ça, il s’est agi de rapprocher les thèses et idées du FN de celles de ses détracteurs. Alors, d’aucuns mettront en avant les résultats électoraux de la stratégie mariniste. Des résultats exceptionnels ! Mais en réalité, c’est faux. Il n’y a pas plus d’électeurs aujourd’hui qu’hier. Car ce qui compte en réalité pour juger de la pertinence politique d’un mouvement, ce ne sont pas des pourcentages artificiellement gonflés par des abstentions records, c’est le nombre d’électeurs en valeur absolue.
Et quand bien même cette stratégie, qui n’a pour but que de multiplier le nombre d’élus, fonctionnerait, et quand bien même le néo-FN arriverait à décrocher des leviers de pouvoir, qu’en fera-t-il ? Car renoncer à sa liberté de parole, refuser à ses membres la liberté d’utiliser des expressions idiomatiques parfaitement acceptées dans toute autre situation conduit inexorablement à renoncer à sa liberté de penser, et donc d’agir.
Langage et pensée sont liés. Poser des interdits sur le premier ne fait que réduire la seconde.
Je ne soutiens pas JMLP en tant qu’homme politique, car il a fait du FN ce qu’il en a voulu, mais je ne peux que soutenir sa liberté d’expression fondamentale et son droit inaliénable à utiliser les expressions françaises au même titre que ses concitoyens.
Accepter les règles du jeu des médias, c’est déjà se soumettre.
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