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dimanche, 11 septembre 2016

Prison d’Osny (95) : 15.000 € de cours d’escrime pour 18 détenus djihadistes

Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2016

Par le 10/09/2016 

C’était un 11 septembre…

Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2016

11 septembre 2016 par admin4

1912 : le Français Fourny réalise le premier vol aérien de plus de 1000 km.

1917 : Georges Guynemer, « as des as » à 23 ans, héros des ailes françaises, disparaît dans le ciel de Flandre, entre Dixmude et Ypres.
Citation lue au pied du drapeau dans toutes les bases aériennes françaises : « mort au champ d’honneur, à Poelkapelle, le 11 septembre 1917.
Héros légendaire, tombé en plein ciel de gloire après trois ans de lutte ardente. Reste le plus pur symbole des qualités de la race : ténacité indomptable, énergie farouche, courage sublime.
Animé de la foi la plus inébranlable dans la victoire, il lègue au soldat français un souvenir impérissable qui exalte l’esprit de sacrifice et provoquera les plus nobles émulations.
»

 

Source : contre-info

samedi, 10 septembre 2016

Belgique : des bikers accompagnent une jeune fille harcelée à l'école

Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2016

Ils appartiennent au groupe des "Templiers contre les violences faites aux enfants".

Des bikers à Lyon, le 10 octobre 2015.
Des bikers à Lyon, le 10 octobre 2015. (JOEL PHILIPPON / MAXPPP)

 

En Belgique, des bikers appartenant au groupe des "Templiers contre les violences faites aux enfants" (Templars against child abuse, Taca) ont escorté une jeune fille harcelée dans son école d'Anvers. La scène s'est déroulée le 2 septembre, relatent plusieurs médias dont le Huffington Post,7sur7 ou encore le journal flamand Het Gazet van Antwerpen.

"De telles questions doivent être résolues différemment"

Selon le Huffington Post, "l'une des élèves, âgée de 16 ans, est arrivée devant la porte de l'école (Saint-Joseph d'Anvers) entourée de plusieurs bikers. Ils l'ont déposée sur le seuil du lycée et sont repartis". A la sortie, sept d'entre-eux sont venus la chercher.

Ces motards engagés contre les abus que peuvent subir les enfants avaient été appelés par la mère de l'adolescente de 16 ans. Leur stratégie consiste à se montrer aux agresseurs pour les dissuader de continuer à harceler leur victime. La mère a affirmé au Het Gazet van Antwerpen que la situation s'était améliorée depuis le passage des bikers. "C'est une démarche noble mais de telles questions doivent être résolues différemment", a pour sa part estimé un responsable de la police locale Hekla cité par 7sur7.

 

Source : francetvinfo

Un Toulousain parti en Syrie exhibait des têtes décapitées

Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2016

Ce Toulousain et un comparse présumé sont emprisonnés en région parisienne en attendant d'être jugés pour «association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes» /Photo DDM illustration

Ce Toulousain et un comparse présumé sont emprisonnés en région parisienne en attendant d'être jugés pour «association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes» /Photo DDM illustration

 


Deux Toulousains actuellement écroués se sont rendus en Syrie en 2013. L'un d'eux a été photographié en train d'exhiber des têtes décapitées. Le parquet de Paris a fait appel de leur renvoi en correctionnelle et demande la «criminalisation» du dossier.


Deux Toulousains de 21 et 22 ans qui se sont rendus en Syrie en 2013 sont au cœur d'une féroce bagarre juridique et pourraient se retrouver devant une cour d'assises. Écroués à Osny, en région parisienne où deux surveillants ont été attaqués dernièrement par un détenu radicalisé, ces deux hommes sont mis en examen pour «association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes.» Ils ont été renvoyés, en avril 2016, devant le tribunal correctionnel mais le parquet de Paris a fait appel demandant la criminalisation du dossier, allant même jusqu'à se pourvoir en cassation. Une extrême détermination qui fait écho aux récentes déclarations du procureur de Paris, François Molins, annonçant «le durcissement de la politique pénale en criminalisant les dossiers correctionnels en matière de terrorisme». De mai à août 2013, ces deux hommes se sont rendus en Syrie pour, selon eux, «soutenir les populations civiles mais pas pour combattre avec les troupes de l'État islamique.» Non loin des zones de guerre, l'un de ces jeunes toulousains, tout juste 18 ans à l'époque, se fait photographier en brandissant des têtes décapitées. Les deux hommes font des rondes, armes à la main, mais disent s'être fait manipuler par les jihadistes de Daech qui voulaient les utiliser pour diffuser leur propagande en exhibant le drapeau de l'État islamique et leur passeport français. Des images d'une extrême violence destinées à alimenter la propagande terroriste par l'horreur. En s'opposant au renvoi de ces deux Toulousains devant une cour criminelle, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris a estimé que le jeune homme n'était pas l'auteur des crimes et qu'aucun élément objectif pouvait le désigner comme ayant pris part à des combats. «Ce jeune garçon n'est pas le moteur de ce qui s'est passé et n'a commis aucun acte criminel même s'il se tenait à proximité des zones de guerre», précise son avocat toulousain, Me Nicolas Raynaud de Lage. Revenus en France en août 2013, ces deux Toulousains sont impliqués dans une série de braquages et de tentatives de vols à main armée dans des supérettes, à Toulouse, avant et après le séjour en Syrie. L'instruction de ce dossier n'a pas permis de faire un rapprochement entre l'argent issu de ces braquages et les voyages et Syrie alimentant à une éventuelle caisse noire du terrorisme.

Frédéric Abéla

 

Source : ladepeche

Des migrants de la jungle de Calais attendus à Bruniquel dans le Tarn et Garonne

Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2016

Par Juliette Meurin Publié le

24 réfugiés vont être hébergés temporairement dans les locaux de l'ancienne gendarmerie de Bruniquel dans le Tarn et Garonne. Ils font partie des migrants installés à Calais. Ils ne devraient pas rester plus de 3 mois, le temps d'étudier et éventuellement de régler leur situation administrative.

Des migrants évacués de la jungle de Calais © AFP

© AFP Des migrants évacués de la jungle de Calais

24 réfugiés qui sont installés dans la jungle de Calais devraient être hébergés provisoirement à Bruniquel. 
La préfecture avait repéré dans le petit village du Tarn et Garonne des bâtiments inutilisés, en l'occurrence les anciens locaux de la gendarmerie. Les services de l'Etat ont ensuite contacté le maire et le propriétaire des bâtiments (le département du Tarn et Garonne).

Le maire et le conseil municipal ne se sont pas opposés à l'accueil de ces migrants sur la commune mais ils auraient obtenu des garanties de la préfecture sur la bonne organisation de ce centre.
Les 4 appartements de l'ancienne caserne devront donc permettre d'héberger des migrants pour une durée maximale de 3 mois, le temps d'examiner et éventuellement de régler leur demande de régularisation. Ce centre d'accueil et d'orientation devrait être prêt au début du mois d'Octobre. Deux associations sont partenaires et permettront d'aider à la gestion de la vie quotidienne de ces migrants en demande d'exil.

Une réunion d'information est prévue lundi 12 Septembre à 19 heures à la salle des fêtes de Bruniquel afin d'informer la population.