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mercredi, 07 septembre 2016

A quand le jugement des juges ?

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2016

Salle de l'Assemblée générale du Conseil d'État 

Une très grande majorité des gens ignorent qui sont Thierry Tuot, Bernard Stirn, Jacques-Henri Stahl. Il s'agit des trois Conseillers d'Etat qui ont rendu l'ordonnance du 26 août dernier, annulant l'arrêté pris par le maire de Villeneuve-Loubet pour interdire le port du Burkini sur les plages de sa commune.

Bien sûr, nous ne remettons pas en cause la Justice, dans son ensemble. Nous constatons simplement que beaucoup de juges politisés (à gauche, évidemment...) prennent leur décision pour des raisons plus souvent idéologiques que « de Droit ». Tout comme tant de journalistes, dont l'immense majorité confond « carte de presse » et « carte de parti » : parti immigrationniste, parti du politiquement correct...

Un exemple ? En voici même quatre ! Le juge Tuot a parlé (en 2013) du «prétendu communautarisme », la question musulmane étant  « une pure invention ». « Non, l'Islam ne génère pas le terrorisme », disait-il; et aussi  « nous ne sommes pas à la veille d'une guérilla urbaine menée par les territoires en sécession ravagés par l'intégrisme terroriste ». (Cité sur le blog d'Yvan Rioufol)

Jusques à quand ce scandale des juges va-t-il durer ?

 

Source : lafautearousseau

Attentat islamique dans la prison d’Osny, suivi d’un rituel religieux avec le sang de la victime, comme s’il s’agissait d’un mouton

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2016

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Bilal Taghi, un détenu islamique de la maison d’arrêt d’Osny (Val-d’Oise), condamné pour avoir tenté de rejoindre la Syrie, a poignardé pour les tuer, deux gardiens dimanche 4 septembre 2016. 

« Les éléments que l’on a aujourd’hui rassemblés constituent pour nous toutes les preuves nécessaires pour que l’on puisse parler d’un acte terroriste ».  Après avoir agressé un surveillant avec une lame très effilée d’une quinzaine de centimètres, l’agresseur une fois maîtrisé et enfermé  « a pris le sang du surveillant pour dessiner un cœur sur la porte d’une cellule, avant de lever un doigt au ciel puis de s’agenouiller pour prier », comme s’il offrait ce sacrifice à Allah. Sur BFMTV, Jean-François Forget, secrétaire général du syndicat pénitentiaire UFAP-UNSA qui témoigne, donne des précisions sur le rituel religieux que cet ennemi de la France a suivi avec le sang du surveillant qui évoque le sacrifice rituel d’un mouton.

Le prisonnier a reconnu lors de sa garde-à-vue avoir prémédité son acte, indique le délégué régional FO, Jérôme Nobécourt, de plus, précise-t-il, il connaissait Larossi Abballa, l’islamiste qui a tué les deux policiers à Magnanville et qui a appelé, dans une vidéo, au meurtre de surveillants de prison. Très fier d’avoir accompli sa tentative de massacre et non assouvi, Jérôme Nobécourt ajoute que lorsque les membres d’une équipe d’intervention viennent déloger l’islamiste, celui-ci leur fait face « avec son arme à la main et souriant », avant d’être maîtrisé d’une balle de caoutchouc en pleine poitrine.

Né à Trappes dans les Yvelines, Bilal Taghi avait été condamné en mars à cinq ans d’emprisonnement pour avoir tenté de rejoindre les combattants islamistes en Syrie. Placé de nouveau dans l’unité de prévention de radicalisation de la maison d’arrêt du Val-d’Oise, le terroriste islamique Bilal Taghi fait l’objet d’une enquête pour« tentative d’assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste »

Le déroulement des faits

Les faits se sont produits dimanche, vers 15 heures, au moment de la promenade. Les détenus radicalisés, qui occupent les deux étages d’une aile dédiée de la Mavo, rejoignent leur cour. Le surveillant chargé du 1er étage découvre qu’un des détenus se présente avec une grande serviette. Il lui demande de la remettre dans sa cellule. Mais le linge dissimule une arme artisanale : un poinçon long d’une quinzaine de centimètres.

Bilal T. [les gros médias ne mentionnent que l’initiale de son nom, ndMPI] se retourne alors brutalement vers le surveillant et le frappe dans le dos. Le gardien tente de s’échapper, poursuivi par son agresseur qui le rattrape et lui inflige un second coup dans le cou. Le poinçon lui transperce la gorge, « de part en part », précise encore Jérôme Nobécourt. Un second surveillant intervient pour le secourir, et reçoit un coup de poinçon au biceps puis au visage. Les deux gardiens parviennent néanmoins à isoler le détenu, avant de l’enfermer dans le bâtiment en compagnie de cinq autres prisonniers. (Le Parisien)

Le premier gardien a eu la gorge et le thorax transpercé par la lame très effilée qui est passée à 2 millimètres de la carotide et à 3 mm du poumon. Son collègue qui est alors venu lui porter secours a été blessé à son tour, mais avec un autre surveillant ils ont réussi à maîtrisé l’homme. Malgré la brutalité de l’attaque le poinçon n’a touché aucun organe vital. « C’est miraculeux », confie un surveillant. La victime est toujours hospitalisée. Son collègue, moins gravement touché, a quitté l’hôpital.

Le parcours de candidats au djihad

Cet ennemi de la France, né, instruit et nourri en France, dont deux des frères ont rejoint les rangs de l’Etat islamique (EI), avait quitté la France avec sa compagne et deux amis, dix jours après l’attentat contre « Charlie Hebdo » revendiqué par Al Qaïda (et non par l’Etat islamique).

Munis d’un faux carton d’invitation pour un mariage en Turquie, ils comptaient passer sans encombre les frontières en voiture jusqu’à Istanbul. Alors qu’ils touchaient presque à leur but, un banal accident de la circulation a mis fin à leur rêve de djihad… 

Au moment de son procès, Bilal T. [les gros médias ne mentionnent que l’initiale de son nom, ndMPI], à l’attitude désinvolte clairement affichée, avait tenté de convaincre la cour que son départ en Syrie était motivé par la « volonté d’aller y chercher un de ses frères ». L’autre ayant été déclaré mort au combat par l’EI. (Le Parisien)

Des détenus « cocoonés » dans leur prison: cours d’escrime et de kynésithérapie 

mardi, 06 septembre 2016

Terrorisme : des agents armés dans les trains à partir de début octobre

Publié par Guy Jovelin le 06 août 2016

INFO RTL - Cette mesure, prise après l'attaque du 21 août 2015 dans un train Thalys, prévoit que des agents de sûreté puissent assurer la sécurité des passagers.

Terrorisme : des agents armés dans les trains à partir de début octobreCrédit Image : JACQUES DEMARTHON / AFPCrédit Média : Jean-Alphonse Richard / RTL


Ces hommes et ces femmes, appartenant exclusivement aux polices de la SNCF et de la RATP, la Surveillance générale (SUGE) et le Groupe de protection et de sécurisation des réseaux (GPSR), seront présents dans les voitures de manière discrète. Ces agents, en civil au milieu des usagers, auront pour mission de sécuriser les convois, notamment lors de l'embarquement des passagers. Ils pourront donc être capables d'intervenir très rapidement en cas de problème à bord d'un train.

Rassurer les usagers

La loi encadre strictement leur mission. Ces agents, qui patrouilleront deux par deux, pourront par exemple maintenir un individu qui refuse un contrôle d'identité, ou qui a une attitude menaçante. Ils devront cependant le remettre au plus vite à un officier de police judiciaire, policier ou gendarme. Quant à l'utilisation de leur arme de poing, elle est strictement réservée aux situations d'urgence ou d'attentat. D'une manière générale, leur présence sert avant tout à rassurer les usagers.

Le nombre exact de ces marshalls ferroviaires, formés spécifiquement à ces missions, restera secret. Idem pour leurs affectations, en priorité les trains régionaux et les TGV. Ils seront également présents sur les trains de banlieue.

 

Source : rtl

Le gouvernement au complet, fier de son bilan, tous prêts a en découdre !

Publié par Guy Jovelin le 06 août 2016

Meeting de Colomiers, le 29 août 2016

Près de Toulouse, se sont réunis quelques ministres « satisfaits de l'action du président Hollande » et prêts à  « défendre son bilan». Les journalistes ne savaient évidemment pas - et les ministres non plus, d'ailleurs - qu'outre le ridicule de la chose le coup de pied de l'âne viendrait un jour après avec le départ « surprise » d'Emmanuel Macron du gouvernement.

Voilà donc une bande de défenseurs de l'indéfendable encore plus affaiblis qu'avant, et le pédalo encore plus dans la pagaille, pourtant toujours sanspagayeur...

On aurait presque eu pitié d'eux, et pas envie de tirer sur l'ambulance, s'ils n'avaient eu l'air si renfrognés et si agressifs.

Finalement, c'est à Audiard qu'on pensait : « Les c... ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît »...  

 

Source : lafautearousseau

Mel Gibson confirme préparer un film sur la Résurrection du Christ

Publié par Guy Joveolin le 06 août 2016

par 4 septembre 2016

Mel Gibson a confirmé qu’il préparait un film sur la résurrection du Christ.

Lors du SoCal Harvest, un festival culturel chrétien, Mel Gibson a répondu à quelques questions de l’animateur devant un public conquis. « C’est un très gros sujet et il doit être examiné parce que nous ne voulons pas simplement le représenter. Je veux dire, nous pouvons tous lire ce qui s’est passé. »

Mel Gibson a remercié le public pour son soutien lors de la sortie du film « La Passion ».  « Quand j’ai fait ce film, j’ai été littéralement couvert de goudron », a-t-il rappelé. On se souvient en effet que Mel Gibson avait dû affronter une gigantesque campagne de dénigrement orchestrée par des associations juives qui ont tout tenté pour empêcher l’arrivée de ce film dans les salles de cinéma.

Mel Gibson avait mobilisé tous les réseaux chrétiens à travers l’Amérique et l’Europe pour contourner les innombrables pièges tendus par des milieux qui haïssent Jésus-Christ.

Le film avait été un énorme succès et un véritable outil d’apostolat entraînant de nombreuses conversions.

Et comme à l’époque du tournage de « La Passion », la simple annonce des préparatifs de ce film sur la Résurrection du Christ suscite déjà des articles hostiles dans divers médias juifs.