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mercredi, 18 mai 2016

Les policiers, ulcérés, manifestent dans toute la France

Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2016

Le 3 mai 2016 à Toulouse lors d'une manifestation contre la loi travail. 

VIDÉO - Cible des casseurs lors des manifestations contre la loi travail, les forces de l'ordre attendent des consignes claires. La grogne gagne dans le pays. Ce mercredi, de 12h à 14h, la profession s'apprête à battre le pavé.

Avis de tempête dans la police. Selon un dernier bilan, 343 policiers et gendarmes ont été blessés en deux mois et demi de débordements émaillés de slogans radicaux tels que «tout le monde déteste la police» ou encore «un policier, une balle». La coupe est pleine.

Ce mercredi 18 mai, de 12 à 14 heures, la profession s'apprête à battre le pavé à travers le pays pour exprimer son ras-le-bol. Ce mouvement de grogne, rarissime, devrait mobiliser dans une quarantaine de grandes villes des milliers de gardiens et de gradés ulcérés, mais aussi des bataillons d'officiers et des commissaires de police.

À Paris, le rassemblement est prévu sur la place de la République, précisément là où se réunit le mouvement Nuit debout depuis le 31 mars. Les gendarmes, sollicités pour assurer le maintien de l'ordre quand les policiers manifestent, ont prévu un «gros dispositif» pour éviter les incidents.

 

«Mettre un terme à une campagne de stigmatisation et de lynchage»

«La place appartient à tout le monde, et pas seulement à ceux qui ont choisi le totalitarisme de la rue, prévient d'emblée Patrice Ribeiro, patron de Synergie Officiers. Il est grand temps de dire stop à la haine anti-flic. Nous voulons mettre un terme à une campagne de stigmatisation et de lynchage qui était jusqu'alors l'apanage de l'extrême gauche et qui trouve désormais un écho jusqu'à la CGT et chez Mélenchon.» Ce responsable est sans détour: ses collègues envoyés en première ligne pour disperser les irréductibles sont aujourd'hui la cible de «casseurs professionnels et entraînés pour blesser, mutiler ou tuer».

Persuadé que l'«esprit Charlie» dont ont bénéficié les forces de l'ordre au lendemain des attentats de janvier 2015 ne peut être écorné par une «minorité agissante de voyous politisés», le syndicat Alliance a appelé tous les citoyens à rejoindre les rassemblements de mercredi et signer une pétition nationale de soutien. Tandis que des voix continuent à s'élever du tissu associatif pour dénoncer les «coups de tonfas» des unités mobiles, les CRS, quant à eux, devraient déposer symboliquement casques et boucliers. Comme pour conjurer une spirale de violence dont plus personne ne voit la fin.

 

Source : lefigaro

mardi, 17 mai 2016

SOS RACISME: TOUCHE PAS A MES AIDES! par Fabrice Durtal

Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2016  

Par Fabrice Durtal.

sos racisme credits sos racisme concert (licence creative commons)

Une bérézina : à peine une vingtaine de personnes s’étaient réunies, en novembre dernier, sur le campus de Poitiers pour assister à l’assemblée générale constitutive d’un comité local de SOS Racisme. Il est loin le temps où les « potes » défilaient par milliers dans les rues de Paris pour créer un «cordon sanitaire» autour du FN. Aujourd’hui, à Poitiers comme ailleurs, l’association ne fait plus recette.

SOS Racisme ne fait plus recette mais a besoin d’argent et même de beaucoup d’argent si on se réfère aux demandes de subventions que l’association a adressées il y a un an à l’ACSÉ (Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances, sur cette agence lire notre article « L’ACSÉ, un guichet à subventions »).

CC

Dans ce document, que Les Enquêtes du contribuable est parvenue à se procurer en exclusivité, l’association qui table sur un budget prévisionnel de près de 1,4 million d’euros en 2013, ouvre grande sa sébile. Après avoir encaissé 177 500 euros en 2011, puis 235 800 euros en 2012, elle réclame à nouveau, le 19 mars 2013, 160 000 euros au titre des aides qu’elle dispense aux victimes de racisme ou de discrimination ; 100 000 euros pour ses actions d’éducation populaire au nom du «vivre ensemble» et 75 000 euros pour une «mobilisation citoyenne par l’action militante».

sos racisme rené le honzec

Selon une note interne, il semble que Naïma Charaï, présidente de l’ACSÉ et conseillère régionale PS d’Aquitaine ait décidé de bien beurrer la tartine des potes en leur accordant immédiatement 150 000 euros d’aides. L’histoire ne dit pas si d’autres rallonges ont été accordées après le 19 mars 2013, l’association de Dominique Sopo quémandant aussi des subsides à travers un satellite comme la Fédération nationale des maisons des potes (FNDMP).

L’ACSÉ n’est pas la seule instance gratifiant cette association qui est progressivement passée de la défense des immigrés à la stigmatisation des autochtones. Si on se fie au budget prévisionnel que l’association a présenté à l’agence lors de sa demande de subventions, elle est aussi perfusée par le ministère de l’Éducation nationale, le ministère de la Jeunesse et des Sports, la Ville de Paris, le Conseil régional d’Ile-de-France, sans qu’il soit possible d’évaluer ce qu’elle perçoit aux échelons locaux puisque le total de ces aides n’est pas comptabilisé.

À côté de ces monceaux d’argent public, SOS Racisme a estimé que les cotisations, dons et legs représenteraient une somme nulle lors de l’élaboration du budget prévisionnel 2013, ce qui en dit long sur son assise populaire.

 

Source : http://www.temoignagefiscal.com/

Eurovision : grossière manipulation anti-Poutine

 

EurovisionJe n’ai jamais été fan de cette manifestation de la société du spectacle (mon dernier souvenir personnel remonte à 1977) et cela ne risque pas de changer car je constate amèrement (mais sans surprise) que ce concours est devenu aujourd’hui la tribune propagandiste d’une bien pensance suicidaire…

Il nous avait déjà sorti une femme à barbe, voilà qu’il nous impose cette année une incendiaire. ..

L’Ukraine vient donc de remporter cette édition avec une chanteuse tatare originaire de Crimée qui a interprété « 1944 », une chanson rappelant les déportations des tatars réalisées sous le régime de Staline….

Le thème choisi de cette chanson et son élection dans un contexte de crise ukrainienne, ne trompe personne…

C’est un message russophobe.

Pourtant le règlement de l’Eurovision interdit toute chanson à caractère politique. Mais pour imposer l’inacceptable, soit on prend les gens pour des cons, soit on joue au con comme les organisateurs du concours qui ont jugé que « la proposition ukrainienne ne contenait pas de message politique » !

Or cette chanson est bien une nouvelle provocation anti-russe et surtout un soutien provocateur au pouvoir de Kiev, celui qui nie la décision du peuple de Crimée de choisir son destin, mène une politique de répression vis à vis des russophones et bombarde la population du Donbass depuis 2 ans…

Réactiver ainsi les plaies du passé pour dénaturer celles du présent relève d’une grossière tentative de manipulation des consciences…

Cette chanson n’est ni plus ni moins que de l’huile jetée sur le feu….

Il est bien fini le temps où l’eurovision offrait aux peuples d’Europe les rêves de paix partagés entre « un enfant aux yeux de lumière et un oiseau bleu survolant la terre » (Marie Myriam 1977, l’enfant et l’oiseau)

Aujourd’hui l’Eurovision se fait l’apologie de l’obscénité ou de la haine et cherche à conditionner les mentalités pour un nouveau carnage européen.

Erwan Castel

 

Source : ripostelaique

Fric en Suisse et froc en berne : tout le monde savait !

Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2016

Rédigé par Louis Blase le 16 mai 2016

M. Denis BAUPIN Dans l'Hémicycle
Paris
Photo souvenir prise au début de la 14ème législature

M. Denis BAUPIN Dans l'Hémicycle Paris Photo souvenir prise au début de la 14ème législature

Strauss-Kahn, «tout le monde savait», Cahuzac, «tout le monde savait», Thévenou, «tout le monde savait», Baupin, «tout le monde savait», Sapin, «tout le monde savait». En France, une femme sur cinq est victime de harcèlement sexuel, notamment dans les couloirs libidineux de l’Assemblée Nationale. Cécile Duflot s’épanche et inaugure un nouvel idiotisme politique : «j’ai envie de te faire une baupin».

Pour lamentable que soit les voyoucraties de la gôche morale et de la droâte amorale réunies, pour des affaires d’argent planqué ou de mains libérées au mauvais endroit, les tribunaux médiatiques qui jugent avec autant de rapidité qu’ils condamnent le sont tout autant, lamentables ! Que voulez vous, la société française s’est américanisée, avec toutes les basses manœuvres visant à gagner les parts du marché électoral, et toutes les manipulations d’opinion visant à évacuer les compétiteurs. Pauvre France, aspirée dans les égouts de la politique la plus vile, qui fera la ménage ?

Où est l’intérêt pour la politique française d’assister à l’épanchement de la pin-up Emmanuelle Cosse, du vain Noël Mamère, de l’insignifiante Cécile Duflot, et j’en passe, sur le cas d’un Dom Juan de plus ? Assistons nous à un assassinat politique ? L’acharnement dérisoire d’EELV ressemble tout à fait à un règlement de compte. Quand bien même, où est la dignité de la classe politique pour s’émouvoir sur le cas d’un voyou (un de plus), quand il suffit de le désigner au juge dont le métier est précisément de juger, dans le respect de la présomption d’innocence ?

Les Français rejettent autant les mœurs dissolues d’une certaine classe politique, que la manière médiatique de traiter le mal, qui se révèle un mal encore plus grand.

 

Source : 24heuresactu

lundi, 16 mai 2016

Silence médiatique : Le rappeur patriote Goldofaf agressé à Paris

Publié par Guy Jovelin le 16 mai 2016

Goldofaf

Alors que tous les médias nous bassinaient avec « Black M », que les politiciens de gauche (Taubira, Cambadélis, Lang…) et le pseudo-philosophe mais vrai cosmopolite Bernard-Henri-Lévy pleurnichaient sur l’annulation du concert prévu à Verdun dans le cadre des commémorations du centenaire de la guerre de 14-18 et criaient au retour d’un « fascisme » fantasmé, un rappeur se faisant appeler « Goldofaf » (mélange de Goldorak et de faf) a été brutalement agressé le 13 mai au soir à la terrasse d’un café du XVème arrondissement de Paris par des individus armés de marteaux et de matraques qui l’ont abandonné couvert de sang.

http://www.contre-info.com/le-chanteur-goldofaf-agresse-a...

Quelle différence y a –t- il entre « Black M » et « Goldofaf » ?

Il existe une opposition fondamentale entre ces deux individus, l’un crache sur la France et les « kouffars », a été adoubé et largement promu par le système médiatique. Moins populaire, le second se pose en défenseur inconditionnel de la France et de la tradition catholique. Tandis que « Black M » est accueilli à bras ouverts partout et peut donner des concerts où il le souhaite (après l’épisode de Verdun, peut-être que les choses vont légèrement changer mais j’en doute), les rappeurs patriotes tels « Goldofaf » ou « Kroc Blanc » ne peuvent pas se produire sur scène, excepté dans des événements privés dont l’adresse sera bien entendu divulguée au dernier moment afin d’éviter que des nervis d’ultra-gauche viennent jouer les trouble-fêtes aux cris de « No pàsaran », « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ».

On a parfaitement le droit de ne pas aimer du tout le rap, de ne pas être de foi catholique et contre-révolutionnaire comme « Goldofaf ». Cependant ce rappeur, et il en va de même pour les autres chanteurs de la mouvance, dérange l’oligarchie. L’agression dont il a été la cible est inacceptable (si « Black M » avait été passé à tabac, j’aurais également condamné l’acte mais toutes les chaînes de télévision en auraient parlé accusant certainement au passage l’intolérance des « fachos ». Là, c’est le silence médiatique. Et comme dit le dicton, qui ne dit mot consent.) C’en est assez de l’impunité de l’ultra-gauche, de ces groupuscules sectaires qui se comportent en véritables milices et manipulent des jeunes désœuvrés qu’ils poussent ensuite à lutter contre une menace imaginaire. Un embrigadement qui se fait en ce moment, y compris dans les lycées, sur fond de lutte contre la loi El Khomri. Bien que je ne me fasse guère d’illusions, je prie les autorités de réagir pour retrouver les responsables au plus vite et souhaite bon rétablissement à cet artiste engagé à contre-courant de l’idéologie dominante.

Voici la reprise devenue célèbre de « Gravé dans la roche » du groupe anti-français Sniper, que Goldofaf avait réalisée il y a quelques années et qui lui a permis de gagner en notoriété.

Kevin Morvan

 

Source : ripostelaique