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mardi, 23 octobre 2018

Braquage du professeur : un ministre troublé par la « nonchalance » de la victime !

Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2018

Auteur : Pierrot

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La déconnexion des élites avec la réalité est consommée… Alors que la vidéo choquante d’un élève africain braquant son professeur en réclamant qu’il le note « présent » fait le tour de la toile, la ministre de la Santé Agnès Buzyn ne trouve rien de mieux que de se déclarer « troublée » par « la nonchalance de la professeure, comme si c’était banal ».

Qu’était censé faire ce professeur ? S’entrainer à reconnaitre les armes factices ? Hausser le ton ? Risquer sa vie et un procès, se lever et mettre une tarte à la racaille ?

Les effets de l’immigration de masse sont chaque jour plus intenses. A moins d’une inversion rapide et brutale des flux migratoires, l’avenir nous réserve de terribles « surprises »…

Source : contre-info

Vous avez dit racaille scolaire ?

Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2018

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 Bernard Plouvier

Tout le monde savait depuis les années 1980 qu’il existait d’énormes problèmes de discipline dans les écoles publiques - celle de la République laïque, tellement pure et dure qu’un nombre effarant de jeunes mahométanes y exhibent un voile islamique, fort peu usité au Maroc pour prendre un contre-exemple simple.

Il a fallu que deux mineurs d’âge, issus de l’immigration noire africaine, menacent une enseignante, l’un étant armé d’un pistolet (à plomb ou à amorce : les informations sont volontairement imprécises du côté du ministère de l’Intérieur), pour que l’on porte à la connaissance du public l’énorme scandale de l’insécurité à l’école, reflet de la pourriture du régime.

Dès la fin des années 1980, diverses publications d’auteurs réputés de « droite extrême » dénonçaient les violences physiques (entre élèves ou par agression d’enseignants), le racket, le trafic de drogues... et certains parents de rejetons pourris n’hésitaient pas à en « remettre une couche », en insultant, voire en frappant les enseignants. On rappelle que chaque année quelques élèves se font poignarder dans les écoles de la Ripoublique ou sur le chemin menant au domicile parental.

L’on a admiré que dans l’immigration exotique – d’origine africaine ou moyen-orientale –, l’on n’hésitait pas, quand on était un grand et gros homme, à frapper une femme, pourvu qu’elle ne soit pas mahométane (Oumma oblige). La condition féminine n’a pas été améliorée, en France, par l’importation des « chances pour la France », qui généra, d’abord et avant tout, un surcroît de violence, dans les rues et les immeubles d’habitation, mais aussi dans les écoles, dans les hôpitaux et dans les transports en commun.

Or, les bonnes questions ne sont jamais posées.

Pourquoi s’acharner à scolariser des sous-doués violents, éléments perturbateurs des élèves calmes et souhaitant apprendre ? Pourquoi continuer à distribuer des allocations diverses à des familles de voyous ?

Pourquoi ne pas appliquer les lois déjà existantes ? Ses parents sont responsables des crimes et délits commis par un mineur d’âge. Frapper la famille d’amendes ou la menacer d’expulsion si elle n’est pas titulaire de la nationalité française sont des mesures conformes à la loi.

Pourquoi ne pas créer des lois adaptées à l’actuelle situation explosive ? Le délinquant récidiviste doit être exclu de l’école, interné en centre de détention-rééducation (illusoire, en fait), ou mieux, réexpédié dans son pays originel, l’expulsion devant toucher l’ensemble de la famille si plusieurs de ses rejetons s’avèrent criminels ou délinquants inassimilables.

Car, c’est une évidence : la canaille violente, racketteuse, trafiquante, incendiaire, rebelle à l’autorité légitime (à ses authentiques dépositaires, soit autre chose qu’un Benalla !), la crapule violeuse, l’adolescent porteur d’une arme, sont les fruits pourris d’une éducation ratée. Les parents portent l’écrasante responsabilité de cette situation, de ce ratage, de cette moisissure sociale, hautement contagieuse.

L’État a pour rôle majeur d’assurer la protection des honnêtes citoyens, dans leur intégrité physique et morale et dans leurs biens. Que nos ministres prennent enfin conscience du problème, trente-cinq ans après sa survenue, c’est une bonne chose : « Mieux vaut tard que jamais » !

En aucun cas, cette prise (très tardive) de conscience ne doit déboucher sur des mesures à l’eau de rose ni sur de nouveaux milliards d’euros gâchés inutilement dans les cités de non-droit.

Il faut impérativement ramener l’ordre et commencer une politique d’expulsion des sujets inutilement arrivés et inassimilables : délinquants récidivistes, criminels, apologistes du terrorisme djihadiste.

Mais aussi, les enseignants doivent quelque peu balayer devant leur porte. Ils ont, durant trente-cinq ans, beuglé sur tous les tons que les lanceurs d’alerte étaient des « fâââchistes ». Il est grand temps de comprendre que le Barbare n’est pas « devant notre porte », mais qu’il est déjà très largement implanté dans notre pays et que des mesures draconiennes s’imposent.

La plus urgente est d’organiser un référendum sur l’opportunité de fermer définitivement les frontières à l’immigration extra-européenne (ou de n’admettre que des migrants sélectionnés au cas par cas) et sur celle d’instaurer un retour à l’envoyeur des sujets inutilement importés.

Après tout, l’unique souverain de l’État français n’est ni son Président de la République ni les roitelets de la Communauté européenne, mais la Nation française.

 

Source : synthesenationale

lundi, 22 octobre 2018

HOMMAGE À JEAN-PIERRE STIRBOIS

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2018

Il y a trente ans déjà, le 5 novembre 1988, disparaissait notre ami et camarade Jean-Pierre Stirbois, Secrétaire général du Front National, ancien député et militant de toujours de la Cause nationale.


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Nombreux sont les cadres et adhérents du PDF qui ont travaillé avec lui. Nous n'oublions ni la place éminente qui fut la sienne dans notre combat politique, ni le rôle qu'il joua à Dreux dans l’émergence du FN, ni l’énergie qui l'habitait. Comme nous n'oublions pas non plus son épouse Marie-France qui repose à ses côtés. Comme nous n'oublions pas enfin cet engagement pris par lui peu avant sa mort : « Jamais, non, jamais nous ne laisserons notre pays s’arabiser » !
Le Parti de la France, derrière son Président Carl Lang et autour de son Bureau politique rendra hommage à Jean Pierre Stirbois à l'occasion du trentième anniversaire de sa mort. 

Inondations de l'Aude : mensonges, incurie et cupidité.

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2018

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14 morts et des milliers de foyers touchés, ravagés, parfois détruits.
Les inondations survenues dans l'Aude la semaine dernière au cours d'un épisode « méditerranéen » particulièrement rude, ont été l’occasion pour les chaînes infos de surréagir comme à leur habitude, pour les pouvoirs publics et locaux de se promouvoir en se vautrant dans une coopération de façade, pour les spécialistes autoproclamés de parader, et pour les sectateurs du réchauffement climatique de vendre leurs mensonges.
On se souvient que l'Aude et l’Hérault avaient déjà été durement frappées en novembre 1999 avec 35 morts noyés dont 26 pour le seul département de l'Aude. Un rapport de l’inspection générale de l'environnement indiquait alors que « ces pluies diluviennes constituent un événement fréquent en automne ». On se souvient aussi des 29 morts de la Faute-sur-Mer en 2010 après le passage de la tempête Xinthia. On se souvient des mises en garde, des « plus jamais ça ! » et des inévitables bonnes résolutions en matière de prévention, d'alerte, de contrôle accru des autorisations de construction, de zonage des terrains inondables, de remembrement, de bétonnage, de retour aux espaces naturels de rétention des eaux afin de maîtriser les ruissellements, et d’aménagement du territoire. Est-il besoin de préciser que rien de tout cela ne connut le moindre début de commencement de concrétisation. On en voit le résultat.
La réalité est que la nature est dangereuse. Que le monde est dangereux. Que la vie est dangereuse. Des catastrophes accidentelles, sismiques ou climatiques, il y en a eu depuis toujours. Si le devoir d'un État n’est pas de les nier, il n'est pas non plus de détourner les regards des vrais responsables, non pas des catastrophes elles-mêmes, mais de leurs effets. Le devoir d'un État est de tenter de prévoir la tourmente pour essayer d’en éviter ou d'en atténuer les conséquences.
Les 14 morts de l'Aude ne relèvent en rien du réchauffement climatique. Elles sont, pour partie le fruit du hasard ou de la destinée qui font que la foudre tombe où elle veut, mais pour grande partie de l'incurie des pouvoirs publics et de l’avidité des promoteurs avec la complicité de certains élus.
Ce qui a tué ces pauvres gens, c'est la faiblesse d’un État décomposé, la corruption des pratiques urbanistes et la cupidité.
 
En un mot : le Système.
 
Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaire

Immigration: la Thaïlande assume ses contrôles au faciès

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2018

Par  le 21/10/2018

 

En Thaïlande, la police multiplie les raids contre les immigrés illégaux dans les bars et lieux publics, dans le but affiché de faire le tri parmi les « personnes à la peau foncée », suscitant les critiques des ONG et des craintes pour les demandeurs d’asile

« Notre travail, c’est de séparer parmi les personnes à la peau foncée les bons de ceux qui ont de fortes chances de commettre des délits », a récemment indiqué dans un entretien à l’AFP le nouveau chef de l’immigration, Surachate Hakparn, pour expliquer l’opération « X-Ray Outlaw Foreigner » (« Radiographie des étrangers illégaux ») lancée depuis quelques semaines.

« On se doit d’expulser les méchants afin de préserver la stabilité du pays », argumente-t-il. Il fait allusion, entre autres, aux escroqueries d’Ougandais ou de Nigérians qui séduisent en ligne des hommes et femmes thaïlandais avant de vider leur compte en banque (…).

Selon le chef de l’immigration se trouvent en Thaïlande plus de 6.000 personnes en situation irrégulière.

« Les cibles suspectes sont les personnes à la peau foncée », lance un officier aux 75 policiers mobilisés pour un raid, auquel l’AFP a été autorisée à assister à Bangkok. « D’abord on les fouille, ensuite on cherche leurs passeports ».

(…)

Des dizaines de millions de touristes se rendent chaque année au royaume du sourire (…). Mais on trouve aussi des immigrés venus de divers pays d’Afrique, du Pakistan ou d’Afghanistan, dans l’espoir de pouvoir transiter vers l’Occident depuis la Thaïlande, une fois obtenu le précieux statut de demandeur d’asile auprès du Haut Commissariat aux réfugiés (HCR) de l’ONU.
(…)

AFP/La-croix.com via fdesouche