Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 20 juillet 2018

Prestations CAF : hausses les plus importantes dans les DOM et la banlieue parisienne

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2018

Par  le 20/07/2018 

En 2017, les CAF ont distribué 73,2 milliards d’euros de prestations à 12,6 millions de foyers.

Près d’un Français sur deux touche au moins une allocation de la CAF. En 2017, leur nombre a augmenté de 0,9%, tiré notamment par le succès de la prime d’activité.

● 12,6 millions de foyers allocataires: en 2017, les Caisses d’Allocations familiales ont versé au moins une prestation légale à plus de 12,6 millions foyers d’allocataires. Chaque foyer pouvant compter plusieurs personnes, les CAF couvrent au total 31,6 millions de personnes (dont 13,8 millions d’enfants), soit près de la moitié de la population française.

● En hausse de 0,9%: Le nombre de foyers allocataires augmente ainsi de 0,9% sur un an. Cette hausse s’explique notamment par une progression de 7,5% du nombre de bénéficiaires de la prime d’activité versée aux travailleurs modestes, soit 185.800 foyers supplémentaires. Toutefois, l’évolution du nombre de foyers allocataires varie selon les territoires: les hausses les plus importantes sont enregistrées dans les Dom (Guyane +3,8%, Martinique +2,2% et la Réunion +2,4%), en Île-de-France (Val-de-Marne +2,9 %, Val d’Oise +2,6%, Yvelines +2,3% et Seine-Saint-Denis +1,8%) et en Haute-Garonne (+ 2,3%). En revanche, Mayotte est le département qui perd le plus d’allocataires (-2,1%). […]

 

Le Figaro via fdesouche

mardi, 05 juin 2018

Ramadan : La Ville de Bergerac accusée par la CAF d’entorse à la laïcité

Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2018

Par  le 04/06/2018

Le courrier est signé par Michel Beylot, directeur de la Caisse d’allocations familiales (CAF) de la Dordogne. Rédigé le 28 mai, il a été enregistré à la mairie de Bergerac samedi. Michel Beylot y annonce être « dans l’obligation de suspendre l’agrément […] et les financements qui en découlent » des centres sociaux de la Brunetière et Germaine-Tillon, situés respectivement à La Catte et Naillac, deux quartiers prioritaires avec une importante population musulmane.

Motif : leurs locaux sont « mis à disposition » entre « 22 heures et 1 heure du matin sur la période du ramadan 2018 », avec « réquisition du personnel ». Inadmissible pour le directeur de la CAF, qui y voit un « lien direct avec un contexte purement confessionnel. Les centres sociaux sont soumis au respect des principes de laïcité, de neutralité et de mixité sociale ». Et de conclure : ils « n’ont pas à assurer tout ou partie de la gestion des périodes religieuses ».

« Complètement débile »

« C’est complètement débile de dire cela, réagit Daniel Garrigue. Il n’y a aucun caractère religieux là-dedans. C’est comme si on disait ‘‘à Noël il ne doit rien se passer car c’est contraire au principe de laïcité”. »

Pour le maire, le problème « est plus d’ordre public ». Il explique : « En cette période de ramadan, la nuit tombe tard et donc la rupture du jeûne aussi. Si bien que les gens se retrouvent dehors tard, au risque d’engendrer du bruit, de gêner les voisins, de provoquer des conflits, d’obliger à appeler la police… En leur permettant de se retrouver ailleurs que dans la rue, l’ouverture des centres sociaux absorbe cette vie de nuit. Mais si le ramadan tombe en décembre ou en janvier, nous n’avons pas à faire cela, car la nuit tombe tôt. »

Cette ouverture tardive s’accompagne aussi de « réquisition du personnel » des deux centres sociaux, indique le courrier de la CAF. « Normalement, nous nous appuyons sur des associations, répond Daniel Garrigue. Mais il n’y en a plus beaucoup dans ces quartiers. Des fonctionnaires de la Ville qui y sont impliqués se sont donc portés volontaires à ce titre. Mais comme on ne peut pas les mobiliser tous les soirs, nous avons demandé aux agents, sur la base du volontariat, s’ils étaient prêts. »

jeudi, 22 février 2018

Pour verser des aides la CAF prend en compte le droit islamique (MàJ)

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2018

Par  le 14/02/2018

caf,droit islamique,kafalaEn France, les cas de kafala concernent principalement les enfants algériens ou marocains. À la lecture de la définition du ministère de l’Intérieur, on comprend que le droit musulman ne reconnaît pas l’adoption avec filiation, telle qu’elle est prévue par le droit français; sauf dans les cas de «la Turquie, l’Indonésie et la Tunisie» qui la permettent selon la circulaire du 22 octobre 2014 relative aux effets juridiques du recueil légal en France.

Selon cette circulaire, le droit français ne reconnaît pas la kafala comme une adoption «afin de respecter la souveraineté des Etats prohibant l’adoption», mais la considère comme un «recueil légal». Le texte précise que le «recueil légal» est «inconnu dans l’ordre juridique français» mais qu’il est «assimilé à une délégation d’autorité parentale ou une tutelle», qui permet la protection des mineurs. Enfin, la circulaire d’octobre 2014 s’appuie sur plusieurs conventions pour légitimer la reconnaissance de la kafala par le droit français: la Convention internationale des droits de l’enfant du 20 novembre 1989; la Convention de la Haye du 19 octobre 1996 concernant la compétence, la loi applicable à la reconnaissance, l’exécution et la coopération en matière de responsabilité parentale et de mesure de protection des enfants; la Convention franco-algérienne relative à l’exequatur et à l’extradition du 27 août 1964 et la Convention franco-marocaine d’aide mutuelle judiciaire, d’exequatur des jugements et d’extradition entre la France et le Maroc du 5 octobre 1957.

En résumé: le droit français reconnaît la kafala, issue des législations de certains États du Maghreb (notamment celles de l’Algérie et du Maroc) et inspirée du droit musulman. Ce «recueil légal» est également considéré par la caisse d’allocations familiales, qui donne droit à l’allocation de soutien familial, dont le montant s’élève à 146,09 euros par enfant à charge. La laïcité ne joue ici aucun rôle puisqu’il s’agit de la reconnaissance par convention du droit de pays étrangers.

 

Libé Check News via fdesouche

jeudi, 02 novembre 2017

Pour la Caf, les fraudeurs sont forcément des Français blancs…

Publié par Guy Jovelin le 02 novembre 2017

Auteur : Manuel Gomez

Quand j’ai reçu une photo de cette affiche, produite par les « Allocations familiales » et qui date de 2011, je ne voulais pas y croire et j’ai demandé s’il ne s’agissait pas d’un « Hoax ».

Eh bien non ! Elle est bien réelle et j’estime qu’elle est honteuse et discriminatoire.

**Une femme française, blanche et blonde, soupçonnée de mentir aux allocations familiales pour frauder et voler l’argent des contribuables.

« Haro » sur cette fraudeuse, cette menteuse, il faut l’arrêter, la clouer au pilori et, pourquoi pas, la lapider (Heureusement la « charia » n’est pas encore appliquée chez nous).

Voyons, Jennifer, l’état civil a dit à l’administration des allocations familiales que vous êtes « mariée et sans enfant », alors que vous avez déclaré « vivre seule avec quatre enfants ».

Vous savez, n’est-ce pas, que les « Allocations Familiales », tout comme la « Sécurité Sociale », est équipée pour déceler toutes les fraudes, d’où qu’elles viennent.

N’en avons-nous pas la preuve tous les jours ?

La fraude va vous coûter cher, Jennifer, jusqu’à 11.000 euros d’amende et la prison.

11.000 euros d’amende ce n’est pas cher payé quand on fraude des centaines de milliers d’euros, comme cela est annoncé très souvent. (276 millions de fraudés en 2016).

Mais voyons, qui fraude ? Les françaises blondes et blanches ?

Supposons que sur cette affiche, à la place de notre jeune femme blanche et blonde on aurait mis une jeune femme de couleur ou une jeune maghrébine voilée ! Vous imaginez les hurlements des CRAN, MRAP, etc. : Racisme anti-noir, racisme anti-arabe, racisme anti tout sauf anti blanc ! Et pourtant ?

Je ne voudrais pas me montrer raciste mais tout de même qui fraude en général les « Allocs » et la « Sécu » ? Je vous laisse répondre à ma place.

Quand on apprend que des « allocations » de toutes sortes sont versées (2 millions d’euros), et envoyées, à des terroristes djihadistes qui tuent en Syrie, en Irak et en Libye et reviendront chez nous pour continuer à tuer, on peut s’étonner que ces fraudes n’aient pas été détectées !

Quand on apprend qu’untel perçoit des « allocs » pour son épouse et ses six enfants et que, par ailleurs, il a trois autres « épouses », déclarées d’une autre manière, (justement comme femmes seules avec enfants) et qui perçoivent également des « allocs » pour une vingtaine de « bambins », on peut se montrer étonnés que ces fraudes n’aient pas été détectées également… et je pourrais poursuivre sur des pages cette longue liste de fraudes, non commises par de jeunes femmes françaises blanches et blondes !

Puisque l’administration des allocations familiales et de la sécurité sociale possèdent des logiciels suffisamment performants pour détecter aussi rapidement ce genre de fraudes, peut-être que leurs services de communications pourraient nous informer sur le pourcentage de millions d’euros fraudé sur les 276 millions par des jeunes femmes blanches et blondes ? Et, par la même occasion, nous fournir un chiffre sur les millions d’euros que nous coûtent chaque année les pensions versées aux centaines de retraités « centenaires » qui refusent de mourir en Afrique du Nord ?

Allons ! Soyons un peu sérieux, à l’heure de l’informatique, du numérique, ces fraudes ne devraient pas exister. Des mesures existent pour les éviter. Encore faudrait-il que ce ne soit pas volontairement que les yeux restent fermés !

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

mardi, 23 mai 2017

La CAF prend en charge des camps islamiques de vacances pour les jeunes

Publié par Guy Jovelin le 23 mai 2017

En bas à gauche, la précision sur l’acceptation des chèques vacances , subventionnés par l’ANCV, agence publique qui est déficitaire, et du remboursement par la CAF.

Source : Page Facebook de l’Association La Oumma de Brétigny-sur-Orge

 

 

Source : islamisation