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mercredi, 02 mai 2018

NOUS VIVONS DANS UN GIGANTESQUE ASILE PSYCHIATRIQUE...

Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2018

synthesenationale

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 Arnaud Malnuit

Les derniers blocages dans certaines facultés, ajoutés à une pléthore de publications hystériques sur les différents sociaux, montrent que désormais nous sommes en plein cœur de la nef des fous. Une nef des fous qui souhaite tout simplement notre disparition.

Entre les AG gauchistes interdites aux blancs, aux gauchistes européens proclamant qu’il n’y a pas de racisme anti-blancs (cf. la « célèbre » Juliette l’affirmant sans hésitation sur le plateau de LCI, une Juliette issue comme par hasard des Scouts de France…), une presse du système relayant sans honte des appels au meurtre contre les militants de Génération Identitaire ou en fantasmant sur un inepte terrorisme d’extrême droite pour masquer la violence des antifas ou des Zadistes, on pouvait que l’on avait déjà atteint le fond de la pire des logorrhées gauchistes, celle qui proclame que les Blancs sont par principe des oppresseurs. A tel point que le délire actuel est la folie autour de ce qu’ils appellent « l’appropriation culturelle », à savoir la reprise par les Blancs de codes culturels non-Blancs. Et pour ces obsédés de la soi-disant oppression par les Blancs, ce serait une forme du colonialisme. Rétorquons-leur qu’ils devraient alors cesser d’utiliser Internet, les téléphones, d’avoir recours aux greffes, aux vaccins et toutes autres créations des Blancs… 

Mais pour les gauchistes, déconstructeurs du genre et autres monomaniaques des minorités, ce pas assez. Désormais, y compris au sein de la mairie de Paris – une sacrée nefs des fous – l’on se doit de lutter contre la grossophobie. Si, si, vous avez bien lu, lutter contre l’obésité, faire comprendre, à l’instar de très nombreux médecins, que l’obésité morbide est une nécessité de santé publiqueserait tout aussi néfaste que le racisme… Et l’on assiste à une sorte de festival nous expliquant que les gros doivent leur place au sein de nos sociétés et toute leur place sans aucune forme de critique. Idem pour un autre concept tout aussi délirant : le validisme. Pour résumer, faire étalage par exemple de performances sportives en pleine possession de ses moyens physiques serait porter atteinte à la dignité des handicapés et des invalides…

Comme l’écrit Virgile, Jupiter a-t-il donc décidé de rendre fous ceux qu’il veut perdre ? 

En tout cas, voilà où nous ont menés cinquante ans de délire soixanthuitard : la civilisation du droit contre celle du devoir, celle du droit de toutes les minorités autoproclamées contre les peuples autochtones européens, peuples qui sont sommés de disparaître sans laisser de traces…

Il est amusant, pour finir, de noter que dans deux bastions du gauchisme étudiant rêvant de refaire Mai-68, les gauchistes européens ont été pris à leur propre piège. Ainsi à Nanterre s’est tenue une conférence contre « l’impérialismegay »… Et à Renens des féministes ont brûlé un livre de Wolinsky

Il est temps de retrouver la grande santé de notre esprit. Aucune complaisance pour ces délires !

Site du Parti de la France cliquez ici

mercredi, 11 avril 2018

Zadistes

Publié par Guy Jovelin le 11 avril 2018

 
 
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mardi, 10 avril 2018

Entre faiblesse et autoritarisme

Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2018

POSTÉ LE 10 AVRIL , 2018, 3:27

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Cinquante ans après, les atermoiements du gouvernement vont-ils produire les mêmes effets catastrophiques qu’en 1968 ?

On est en droit de se poser la question quand on constate à quel point l’actuel gouvernement oscille entre fermeté et laxisme.

Prenons l’exemple de Notre-Dame des Landes.

À l’heure où j’écris, le gouvernement a décidé de faire enfin respecter la loi et d’évacuer la trop fameuse « ZAD » (zone à défendre dans le jargon de l’extrême gauche).

Passons sur le fait que pas moins de 2 500 gendarmes sont impliqués dans l’opération, face à une centaine d’extrémistes, alors que nous avons un cruel besoin de ces troupes sur tout le territoire national.

Évidemment, je me réjouis de voir enfin appliquer une politique de fermeté pour faire respecter le droit.

Mais il est trop tard. Le gouvernement a déjà manifesté sa faiblesse et sa disposition à se soumettre à la violence et au fait établi, puisque, malgré toutes les décisions de justice et le référendum local, il a donné raison aux occupants illégaux de la « ZAD ».

Il y a donc fort à craindre que le gouvernement cumule les effets négatifs. Non seulement il aura montré sa faiblesse, mais les extrémistes sont tout à fait capables de monter en épingle des « bavures » policières et de le mettre une nouvelle fois en difficulté.

Autre exemple : la réforme de la SNCF.

Dans ce dossier, le gouvernement donne toutes les apparences de la fermeté.

Mais il semble tellement tétanisé par les réactions des syndicats si peu représentatifs qu’il a annoncé des centaines d’heures de concertation (nous en sommes déjà à 40 réunions avec la ministre des Transports, Élisabeth Borne).

Outre qu’il est étrange d’organiser ces réunions de « concertation » après avoir présenté la réforme, tout le monde comprend que, si les syndicats parlent assez fort, font une grève assez « musclée », le gouvernement « calera ».

Tout porte à croire que la SNCF coûtera ainsi plus cher aux contribuables (pour un service encore plus mauvais) après qu’avant la réforme.

Dernier exemple : les occupations de facultés.

Là, nous atteignons des sommets. La fermeté du gouvernement ne s’exerce pas contre les occupations illégales, contre ces pseudo « étudiants » qui empêchent les vrais de travailler. Elle s’exerce contre ceux qui protestent.

Le message est, là aussi, catastrophique : il dit, une nouvelle fois, qu’en France, si vous êtes « suffisamment » violent, le gouvernement vous donnera toujours raison et, au contraire, si vous êtes respectueux de la loi, le gouvernement vous donnera systématiquement tort.

Quand je dis « pseudo » étudiants, je ne veux pas dire que tous les occupants des facs sont de faux étudiants.
Mais, enfin, quand on lit la prose des syndicalistes de l’UNEF, il n’est pas raisonnable de croire que ces rédacteurs illettrés soient réellement étudiants. A fortiori quand ils ont une trentaine d’années, comme on le voit trop souvent sur les images et les vidéos.

En tout cas, si ces analphabètes sont étudiants il est urgent d’établir une sélection à l’entrée de l’université. Ces gauchistes vont réussir à prouver le bien-fondé des réformes contre lesquelles ils luttent !

Toujours est-il que ce gouvernement est si peu assuré d’agir dans l’intérêt national qu’il tergiverse et aggrave encore le calamiteux niveau d’autorité de l’État. À quand un gouvernement à la fois légitime et ferme pour défendre la France et les Français ?

 

Source : les4verites

samedi, 20 janvier 2018

Notre-Dame-Des-Landes : Courage, fuyons !

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2018

 

« Le courage, la fermeté, l’autorité de l’Etat, le respect des lois de la République… » le concert de louanges adressées à Edouard Philippe par le choeur médiatique, qui a repris très fidèlement, comme à son habitude, l’autosatisfaction gouvernementale, laisse pantois. La dictature molle qui s’est installée en France s’appuie sur la saturation de l’information par une pensée unique qui tend à déresponsabiliser les citoyens en leur promettant une évacuation en douceur des problèmes afin de maintenir la quiétude dans les esprits et la passivité dans la politique de l’Etat. Celui qui résiste à cette anesthésie ressemble au personnage de la pièce de Ionesco qui est le seul à ne pas devenir Rhinocéros. Il continue à voir les choses comme elles sont. Il y a encore, Dieu merci, de nombreux Français qui en ont la capacité.

Il n’y a aucun courage, mais au contraire, une très grande lâcheté à renoncer à un projet uniquement pour éviter l’affrontement avec des groupes de gauchistes qui occupent illégalement un territoire de la République au nom d’une prétendue ZAD. Le courage consiste à accomplir son devoir, à faire respecter une décision démocratique dans le cadre de la continuité de l’Etat. Celui-ci a une fois de plus démissionné, dans la logique du « syndrome Malik Oussekine » qui a paralysé le faux dur Chirac de Décembre 1986 jusqu’à 2007. Le malheureux accident de Sivens, puisque tel est la qualification qu’il faut retenir après la décision judiciaire de non-lieu, a réanimé la peur panique des autorités de devoir répondre de la mort d’un homme pour avoir voulu faire respecter la loi. C’est hélas une attitude qui renverse la hiérarchie de l’Etat de droit, dont on nous rebat les oreilles. Il n’y a pas d’Etat de droit lorsque des territoires de la République échappent à l’autorité de la Loi, lorsque le rapport de forces permet à une minorité violente de s’imposer face à une majorité de citoyens qui, directement ou au travers de leurs élus, ont exprimé la volonté générale.

On voit bien dans ce triste dossier de Notre-Dame -Des-Landes que les mots employés cherchent à masquer une réalité dont le sens est le contraire de ce qu’ils prétendent affirmer. Cette fois, on pense à 1984, et à la « novlangue » du génial Orwell. Il n’a plus d’autorité de l’Etat, lorsque celui donne raison à ceux qui ne respectent pas la démocratie. L’un des « zadistes » au milieu de la fête de la victoire de son camp, c’est-à-dire de l’illégalité, le proclamait sans vergogne : « nous avons fait plier l’Etat ». Le spectacle des commentaires était d’ailleurs déprimant : face à la joie des gauchistes et de la « France Insoumise », il y avait les malheureux citoyens, les oubliés de la majorité silencieuse, qui s’étaient donné la peine de participer à un référendum et qui croyaient avoir décidé de la réalisation de l’aéroport. Non, ce que les élus attachés à ce territoire, ce que la majorité de la population avaient voté, est effacé d’un revers de manche au nom de l’habileté politique. 51% des électeurs de Loire Atlantique s’étaient déplacés et avaient choisi le « oui » à 55, 7 %. 20 communes soutenaient le projet, conforté par 180 décisions judiciaires. Et l’on voudrait nous faire croire que la France est une démocratie ? Se moquer des électeurs est le meilleur moyen de les convaincre du contraire. La France est plus près d’une République bananière que de la Suisse.

La fermeté brandie par le Premier Ministre ressemble aux communiqués de guerre qui annoncent une retraite impeccablement exécutée, promesse des victoires à venir, quand elle n’est que l’aveu d’une bataille perdue. Palsembleu ! les drôles vont déguerpir, mais après les grands froids, des zones dont ils se sont emparées. Evidemment, puisqu’ils ont eu gain de cause. Et pourtant non ! L’autorité de l’Etat, le respect de la loi sont tombés à un tel niveau en France que cet espace soustrait à la République va sans doute lui être disputé au nom d’une prétendue supériorité « morale » du gauchisme archi-minoritaire sur les décisions d’une démocratie qui ne croit plus en elle-même. « Nuit debout » a fait école ! Mais comment faire respecter des gouvernants qui n’ont aucune parole ? M. Macron, le matamore qui clame faire ce qu’il dit, s’était engagé, comme Edouard Philippe d’ailleurs, à respecter le choix des électeurs. On voit qu’il n’en est rien.

Il restera la facture que paieront comme d’habitude les Français, y compris ceux qui seront les victimes directes de l’agrandissement de l’aéroport de Nantes, les habitants de Saint-Aignan, dont on se soucie comme d’une guigne. Il faudra indemniser Vinci, peut-être à hauteur de 350 Millions, traiter la délicate question des ventes de terrains et d’immeubles déjà réalisées, la compensation des dépenses des communes impliquées dans le projet, négocier en position de faiblesse avec l’opérateur, en lui abandonnant « Aéroport de Paris » par exemple. Sans doute le projet de Notre-Dame-Des-Landes était-il contestable à l’origine. Etait-il vraiment nécessaire, compte tenu des chiffres actuels de la fréquentation de celui de Nantes ? Il s’agissait d’un pari sur le développement du Grand-Ouest. Mais ce qui est sûr, c’est que la France devient incapable de mettre en oeuvre les grands équipements qui ont marqué l’épopée de la DATAR. On peut s’en réjouir en y voyant un recul de l’Etat. On peut au contraire y voir l’inefficacité grandissante d’un Etat obèse gorgé d’élus et de fonctionnaires et incapable d’éviter les débâcles qu’entraîne sa gestion calamiteuse : après la gabegie du retrait des portiques de l’écotaxe, au grand dam de Ségolène Royal, qui sort de son igloo pour savourer sa revanche, voici la grandiose faillite de Notre-Dame-Des-Landes !

 

Source : ndf

lundi, 18 décembre 2017

Actes antisémites en Suède : 51% sont commis par des Musulmans, 25% par des gauchistes, 5% par des extrémistes de droite

Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2017

Par  le 17/12/2017 
 

51% des actes antisémites antisémites en Suède ont été attribués à des extrémistes musulmans. Seulement 5% ont été réalisés par des extrémistes de droite; 25% ont été perpétrés par des extrémistes de gauche.

(…)

Les trois hommes arrêtés lors de l’attaque du cocktail Molotov contre une synagogue de Gotebord étaient des immigrants nouvellement arrivés, deux Syriens et un Palestinien.

 

 

NY Times via fdesouche