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jeudi, 14 septembre 2017

Apocalypse en Grande-Bretagne : tous les chômeurs auront bientôt disparu

Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2017


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Encore un effet du Brexit ? Le taux de chômage du Royaume-Uni a atteint son plus bas niveau en se maintenant à 4,3% de la population active, à la fin du mois de juillet. Sur la période de mai à juillet, le pays comptait ainsi 1,46 million de chômeurs. Cela représente 75.000 personnes de moins que la période précédente et 175.000 de moins en un an. C'est le niveau le plus bas depuis 1975. Hasard ? Le Royaume-Uni avait intégré la CEE en 1973.

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 Posté le 13 septembre 2017 à 21h54 par Michel Janva 

Source : lesalonbeige

jeudi, 15 décembre 2016

L’entrée de la Grande-Bretagne refusée à trois archevêques syriens, autorisée aux Frères musulmans

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2016

Le 24 novembre dernier, a été consacrée la première cathédrale syrio-orthodoxe de Londres, dédiée à Saint Thomas, en la présence du Prince Charles. Pour faire honneur à la communauté chrétienne syrienne présente sur le sol du Royaume-Uni, l’héritier de la couronne britannique avait invité personnellement trois archevêques syrio-orthodoxes, deux d’Irak, Mgr Nicodème Sharaf de Mossoul et Mgr Timothius Shamani de la vallée de Ninive, et Mgr Selwanos Alnemeh de Homs et Hama en Syrie.

« Le ministre de l’Intérieur de la Grande-Bretagne, lit-on sous la plume du journaliste italien Giampaolo Rossi du Giornale, leur a refusé l’entrée du territoire britannique » au motif, saugrenu et offensant, que « les trois archevêques étant sans ressources et n’étant pas en mesure de subvenir à leurs propres besoins, ils auraient donc pu décider de rester sur le sol du Royaume-Uni ! »

En résumé, Londres a traité trois membres éminents des communautés chrétiennes persécutées en Orient pire que des clandestins reçus eux à bras ouverts dans toute l’Europe où ils vivent ensuite aux crochets des populations autochtones !

Ou peut-être que Londres a confondu ces augustes personnes avec des terroristes potentiels…

Et prend les terroristes plus que potentiels pour de gentils agneaux. Récemment, ce même gouvernement, si intraitable et légaliste quand il s’agit de chrétiens, a autorisé deux chefs religieux islamistes pakistanais qui prônent ouvertement la chasse aux chrétiens à entrer en Grande-Bretagne et à visiter les mosquées britanniques. Et il a publié également une directive préconisant l’accueil des membres des Frères musulmans chassés d’Égypte. Pour rappel, cette confrérie musulmane est considérée comme une organisation terroriste dans beaucoup de pays parce qu’elle prêche le djihad, le martyr et la persécution des mécréants, c’est-à-dire les non-croyants musulmans.

Londres a manifestement commis un acte anti-chrétien en refusant d’accueillir ces trois archevêques, acte qui s’insère dans sa politique, calquée sur celle du président des États-Unis Obama, de tolérance envers l’expansion du Califat islamiste, de consolidation des intérêts britanniques avec les monarchie saoudites, complices du terrorisme islamique et  théocraties tyranniques barbares, et d’aide aux groupes djihadistes anti-Assad dont le régime laïc est source de protection pour les chrétiens.

Mgr Atanasio Toma Dawod, archevêque de l’Église syrio-orthodoxe de Londres pose la question : « Pourquoi la Grande-Bretagne traite les chrétiens de cette façon ? » « Eh oui, pourquoi ? » se demande le journaliste d’Il Giornale.

Nous aussi nous nous posons la même question mais malheureusement nous avons peut-être la réponse à ce machiavélisme anglais : parce qu’il y a une volonté américano-anglo-israélienne de renverser, via l’État islamique, tous les pouvoirs forts et laïcs du Moyen-Orient (après l’Irak c’est donc au tour de la Syrie d’être sur la sellette) et de transformer les nations du Moyen-Orient en des faibles États ethniques et religieux, sans danger pour le voisin hébreux. Dans ce plan de remaniement ethnico-religieux qui sert aussi les intérêts financiers et pétroliers de l’oncle Sam et des groupes apatrides, et permet à certains d’assouvir leur haine du christianisme, la présence millénaire, sur ces terres orientales, des communautés chrétiennes, soutiens des régimes laïcs qui les protègent comme celui d’Assad en Syrie et de feu Saddam Hussein en Irak, est un obstacle à éliminer !

Si le gouvernement britannique et les politiciens qui le composent voulaient montrervers qui, malgré les exactions des islamistes de Daesh et des rebelles « modérés », leur « cœur » balance,  ils n’auraient pas agi autrement… Entre les Chrétiens et les terroristes islamistes, ils ont manifestement choisi les seconds, encore une fois, comme à Alep…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 29 septembre 2016

Le gouvernement britannique valide enfin le projet Hinkley Point !

Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2016

Rédigé par Notre équipe le 28 septembre 2016.

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Incertain depuis le Brexit et le changement de gouvernement qu’il a entraîné, le projet de construction de deux réacteurs nucléaires de type EPR à Hinkley Point, en Grande-Bretagne, a finalement été validé de manière définitive par Theresa May. Une bonne nouvelle pour la filière nucléaire française comme pour le Royaume-Uni, qui voit ici le moyen de garantir sur le long terme la stabilité de son approvisionnement électrique tout en respectant ses objectifs de réduction des émissions de CO2. 

Un feu vert sous conditions

Le gouvernement britannique est finalement revenu à la raison. Après avoir fait durer le suspense sur la réalisation du projet Hinkley Point, Theresa May, en poste depuis mi-juillet, a certes établi une liste de conditions, mais elle a surtout confirmé l’accord de principe donné auparavant par son prédécesseur, David Cameron. Le projet de centrale nucléaire, résultat d’un partenariat entre le gouvernement britannique et un consortium d’entreprises emmené par l’énergéticien français EDF, devrait donc se dérouler comme prévu et permettre l’installation, dans le sud-ouest de l’Angleterre, de deux réacteurs EPR d’une puissance cumulée de 1650 MW.

Selon l’accord signé au mois d’octobre 2015 par le groupe français et son homologue chinois – China General Nuclear Power Corporation (CGN) –, celui-ci participera à hauteur de 33,5 %, soit 6 milliards de livres sur les 18 milliards d’investissements que représenteront la construction des deux réacteurs (24,5 milliards d’euros). Le groupe EDF financera quant à lui 66,5 % du projet (12 milliards de livres) et devra rassurer le nouveau gouvernement, qui craignait ces derniers mois une prise de participation croissante de la compagnie chinoise.

La Première ministre a fixé à ce titre plusieurs conditions destinées à garantir la sécurité d’approvisionnement en électricité du pays et la mainmise de l’Etat sur des installations jugées stratégiques pour la sécurité nationale. La centrale d’Hinkley Point devra donc fournir 7 % du courant au Royaume-Uni à partir de 2025 et ne pourra être revendue, même en partie, sans l’aval du gouvernement. Le groupe EDF devra s’engager ici à conserver ses parts intactes durant toute la phase de construction des réacteurs, et ne pourra à terme jamais descendre en dessous des 51 % de participation. Le « nouveau cadre légal » prévoit aussi que le gouvernement puisse intervenir dans une éventuelle cession de la part d’EDF une fois la centrale en service.

Un choix économique et écologique

En validant officiellement ce projet, le Royaume-Uni a finalement choisi un camp. Celui de la raison, sans doute, que l’on opposera en Europe aux utopistes allemands, qui persistent encore à croire que les énergies renouvelables peuvent aujourd’hui à elles seules alimenter des sociétés de plus en plus énergivores. En choisissant l’énergie nucléaire pour l’avenir, le gouvernement britannique veut s’assurer d’une production énergétique à la fois stable, bon marché et décarbonée. Ce qui ne l’empêche pas d’accompagner le développement lent mais progressif des énergies renouvelables.

L’énergie nucléaire, n’en déplaise à certains, est en effet l’alternative énergétique la plus rationnelle à l’heure où l’urgence climatique nous oblige à verdir nos mix énergétiques et à substituer aux combustibles fossiles des sources d’énergie non émettrices de CO2. L’exemple de l’Allemagne, contrainte de rallumer ses vieilles centrales au charbon très polluantes suite au retrait précipité (pour ne pas dire irréfléchi) du nucléaire, suffit à nous en convaincre. Les énergies renouvelables, même développées à leur maximum, ne sont pas en capacité aujourd’hui de répondre à la demande énergétique nationale ou mondiale, et doivent donc être épaulées.

Les Britanniques l’ont bien compris et envisagent, via ce projet, de renouveler progressivement plus de 20 % de leur parc nucléaire. Les deux EPR constitueront la première construction de centrale nucléaire dans le pays depuis vingt ans. Ils permettront de répondre à 7 % des besoins en électricité de la Grande-Bretagne sur une période de 60 ans, d’alimenter plus de 6 millions de personnes en électricité et de créer 25 000 emplois directs et indirects. Pour la suite, d’autres projets sont déjà en discussion, et EDF pourrait entreprendre la construction de deux EPR à Sizewell et aider le groupe chinois CGN à obtenir la certification afin qu’il bâtisse son propre réacteur, le Hualong de 1 000 MW, à Bradwell dans l’est de l’Angleterre. Si l’on ajoute enfin les projets potentiels portés par d’autres compagnies comme l’Américain Westinghouse ou le Japonais Hitachi, l’énergie nucléaire semble avoir de beaux jours devant elle outre-Manche.

 

Source : 24heuresactu

jeudi, 14 mai 2015

La Grande-Bretagne refuse ses « quotas » de clandestins

 Publié par Guy Jovelin

 

Alors que le gouvernement français s’est non seulement aplati devant la demande des autorités européistes, mais a encore revendiqué la mise en place de « quotas » de prétendus « demandeurs d’asile » pour tous les pays d’Europe, le gouvernement britannique s’est opposé frontalement à cette idée.

« Le Royaume-Uni est fier d’avoir toujours accordé l’asile à ceux qui en ont le plus besoin, mais nous ne pensons pas qu’un système contraignant de relocalisation est la solution » déclarent les autorités dans un communiqué.

Les pays restants devront donc subir une plus lourde part de ces prétendus « quotas », véritable armée d’étrangers partis à l’assaut de l’Europe. Pour leur très grande majorité, ces gens n’ont rien de « réfugiés » mais refusent de travailler pour bâtir un avenir prospère chez eux afin de goûter aux derniers fruits de ce que le génie européen a pu produire avant que l’invasion ne déstabilise mortellement ses institutions. Leurs demandes sont majoritairement rejetées, ce qui leur importe peu puisqu’ils ne sont pas expulsés.

Source : http://www.jeune-nation.com/actualite/jdj/19666-journal-d...

samedi, 22 novembre 2014

Grande-Bretagne : une école est sanctionnée parce qu'elle a trop d'élèves blancs

 

Publié par Guy Jovelin

Et ce n’est pas « raciste », ça ?

Une école de la charmante petite ville rurale de Market Rasen, appelée Middle Rasen Primary School, a été sanctionnée par l’autorité de surveillance britannique des écoles publiques, OFSTED, parce qu’elle est trop… anglaise. Jusqu’ici qualifiée de « bonne », la note de l’école n’a pas été augmentée au grade« excellent » pour n’avoir pas assez d’élèves noirs ou asiatiques, et donc, trop de Blancs, a expliqué l’organe de contrôle.

Pensez : le « développement culturel » des élèves de cette école primaire est limité par « un manque d’expérience de première main de la diversité qui caractérise la société britannique moderne ». Comment enseigner à ces enfants – intellectuellement borgnes, forcément – qu’il faut respecter et tolérer toutes les croyances et toutes les couleurs de peau s’ils n’ont pas de quoi se faire la main sur place ?

« C’est du politiquement correct devenu fou », commente le membre du parlement conservateur de Gainsborough, Sir Edward Leigh (mais le politiquement correct peut-il prétendre à la sagesse) ? « L’école primaire Middle Rasen est une école excellente à n’importe quelle aune. Le multiculturalisme n’a pas de pertinence dans le Lincolnshire avec sa petite présence de minorités ethniques, qui sont déjà bien accueillies et bien intégrées dans nos communautés locales, comme elles doivent l’être. »

104 élèves, presque tous blancs

L’école primaire Middle Rasen compte exactement 104 élèves, âgés de 4 à 11 ans, c’est ce qui lui vaut d’être sanctionnée.

Dixit l’OFSTED : « La grande majorité des élèves sont des Britanniques blancs. Peu sont d’autres groupes ethniques, et à l’heure actuelle aucun élève ne parle l’anglais comme seconde langue. »

Que faire pour remédier à cet affreux handicap ? C’est simple : il faut « créer des occasions pour qu’ils puissent avoir une interaction de première main avec leurs homologues venant de contextes différents, au-delà du voisinage le plus immédiat », décrète l’organisme.

L’école sanctionnée envoie ses élèves à la mosquée

Message entendu par l’école. Elle cherche désormais à créer un partenariat avec une école de centre-ville pour remédier à la situation, et modifie sa pratique des voyages scolaires. La directrice, Melonie Brunton, a souligné que les sorties se font généralement à la campagne, pour visiter une ferme ou un zoo : les dernières ont conduit les enfants dans une mosquée et dans une usine.

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