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vendredi, 22 février 2019

Islam. En Iran, avoir un chien, c’est 60 coups de fouet

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2019

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En Iran, avoir un chien, c’est 60 coups de fouet

Les médias allemands, dont Stern et Die Welt, en parlent maintenant. En 2014, une loi a été édictée en Iran, qui pénalise la possession d’un chien. C’est ainsi que les propriétaires risquent non seulement une amende de 2500 Euros, mais 60 coups de fouet. Et le chien, bien sûr, sera tué. Les « gardiens de la révolution islamique » veillent au grain. Mais cette haine des chiens s’étend aussi au monde occidental, à la suite de l’immigration musulmane.

 

https://www.wochenblick.at/uebergrosse-ratten-das-harte-s... via lesobservateurs

 

Traduction (Claude Haenggli): Dans d’autres pays musulmans aussi, les chiens subissent un tel triste destin. Dans les pays européeens, à la suite de l’immigration musulmane de masse, des cas semblables se multiplient. C’est ainsi que des recherches approfondies du Wochenblick ont montré qu’à Londres et à Manchester, il a été crié dans la rue : « C’est ici une zone musulmane. Ne promenez pas vos chiens ici ! Les musulmans n’aiment pas les chiens! ». Aux Étas-Unis et au Canada, des conduteurs de bus et des chauffeurs de taxi musulmans refusent de prendre les chiens d’aveugles.

 

Claude Haenggli, 22.2.2019

mardi, 14 août 2018

Nos entreprises ont plié bagage en Iran. Quid de l' « Europe puissance » ?

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L'usine Peugeot de Khodro, près de Téhéran, en 2016. (Photo BEHROUZ MEHRI/AFP)

C'est un fait que, nonobstant les ventes perdues, parfois considérables, la quasi-totalité des entreprises européennes, notamment celles du secteur automobile, aéronautique, et de l'énergie, mais pas seulement, ont plié bagage en Iran.

Elles ont obtempéré sans broncher. La double menace de rétorsions sur le marché américain et de pénalités financières étatsuniennes pour les transactions avec l'Iran simplement parce qu'elles se traitent en dollars, ont amplement suffi à contraindre les entreprises européennes à se retirer sans délai du marché iranien. Peugeot-Citroën renonce à 300 000 véhicules annuels, Airbus à des intentions de commandes de l’ordre de 100 avions, et ainsi de suite.

http___o.aolcdn.com_hss_storage_midas_ea8f4497f5413b8041c682f899dcefc5_206359961_RTX2YHNJ.jpgQu'importe que la plupart des États signataires du traité sur le nucléaire iranien conclu sous Obama le proclament toujours en vigueur : après que Trump l'eut déchiré (mai 2018) et qu'il eut rétabli les sanctions qui frappaient l'Iran, ce traité s'est vidé de tout contenu. Les velléités de résistance européenne, un temps affirmées, parfois en termes bravaches, ont fait long feu. On a pensé à résister, on a envisagé de s'organiser pour cela. Puis, on a abandonné, calé, renoncé. Paroles verbales, volonté faible, réactivité nulle ! Résister était trop difficile, eût demandé trop d'efforts... Notamment des accords monétaires et financiers avec la Russie et sans-doute aussi avec la Chine. Les Européens n’en ont pas eu la volonté ni le courage. 

Il faut bien en tirer les conclusions. s'agissant de la prétendue « Europe puissance ».  

Qu'on le regrette ou non, et sans-doute faut-il le regretter, les faits sont là. Ceux qui ont dit, cru, professé que l'addition de 27 ou 28 économies nationales formant un marché unique de cinq cents millions de citoyens-consommateurs, constituaient ipso facto une puissance, et - pourquoi pas ? - la première du monde, ont été des naïfs, des incompétents ou des marchands d'illusions.  

Trump démontre qu'il n'y a de puissance économique et d'ailleurs aucune autre d'un type quelconque, notamment militaire, qu'adossée à une souveraineté. Trump incarne la nation américaine. Il décide souverainement en son nom. Mais il n'y a ni peuple, ni nation, ni État européens. En conséquence, il n'y a pas davantage d’ « Europe puissance ».

Il nous faut bien nous répéter : il n'est, même en matière économique, de réelle puissance que politique. 

 

Source : lafautearousseau

mardi, 08 mai 2018

LE "GRAIN DE SEL" DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

L’IRAN ET LA COREE, « CHAUD », « CHAUD » DEVANT ….


Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Le Président Macron semble-t-il, a le « devoir de mémoire » sélectif. A Washington, il y a deux semaines, à l’invitation de Donald Trump, notre fringuant Président a sacrifié, bien sûr, aux traditionnelles cérémonies protocolaires. Mais on a pu observer avec regrets que s’il avait consacré beaucoup de temps pour honorer la mémoire de Martin Luther King, le célèbre pasteur militant de la cause des Noirs au profil tout de même assez ambigu, il n’avait pas daigné se rendre au mur du Vietnam veterans mémorial où sont gravés les noms des 58 000 combattants US morts pour défendre la liberté en Asie du Sud-Est,  face à l’impérialisme des communistes vietnamiens. 

Des « papouilles » très démonstratives ! 
Mais, une fois terminé le temps des agapes, des tapes dans le dos, des mains sur la cuisse et des embrassades  à  n’en plus finir, que reste-t-il de concret de cette visite d’Etat de l’autre côté de l’Océan ? ( Trump aurait pu montrer à son ami « Emmanouwel » à Mount Vernon, les cases où vivaient les esclaves de ce bon Monsieur Georges Washington, lequel combattit, on l’oublie trop souvent, dans les rangs de la milice anglaise contre les Français du marquis de Montcalm au Québec ). Pas grand-chose en vérité, si ce n’est la confirmation que la France reste un zélé partenaire membre de l’Alliance Atlantique, alors que cette dernière n’a plus la même nécessité qu’à l’époque de la « Guerre froide ». Il reste des divergences sur au moins deux dossiers : 
-celui de la célèbre COP-21 et ses suites, la fameuse conférence  sur les dérèglements climatiques qui prétendait être, par ses attendus,  plus forte que la nature et redresser ses cycles immuables ; 
-le nucléaire iranien. A ce sujet il serait tout de même incongru qu’un seul signataire de l’accord passé avec Téhéran par cinq puissances majeures, fasse tout capoter. Rappelons que l’Iran s’est engagé  à cesser d’enrichir son uranium à des fins militaires en échange d’une progressive levée des sanctions. On n’a pas demandé  la même chose à l’Etat d’Israël qui dispose d’un arsenal nucléaire conséquent, lui assurant une domination géostratégique sur le Proche-Orient. Mais, tant que des pays lui contesteront le droit à l’existence,  quelque part , n’est pas justifié ? 
Qui détient « La » vérité ? 
Il serait d’ailleurs scandaleux que les partenaires de l’ex-Empire perse puissent tenir compte des dernières élucubrations de Benyamin Netanyahu brandissant les « preuves » que l’Iran, malgré les contrôles de l’AIEA de Vienne et les observations satellitaires, continuerait à travailler, secrètement, sur la bombe. Où est la vérité en ce domaine ? Un bref rappel. L’Iran du Shah qui entretenait de bonnes relations avec l’Etat juif, s’est mué en un farouche ennemi des Sionistes dès la prise de pouvoir par Khomeiny et sa clique d’Ayatollahs. Le Président Ahmadinejad, prédécesseur de Rohani, -plus modéré dans son expression-, par ses prises de paroles malheureuses sinon scandaleuses, annonçant qu’il voulait détruire l’Etat hébreu, a poussé ce dernier dans l’intransigeance et dans une surenchère anti-iranienne meurtrière : assassinats de savants, sur terre et dans les airs *, sabotages divers et variés, lobbying actif pour isoler commercialement l’Iran etc…. Légitime défense diront certains, simples mesures de précaution diront d’autres. Peut-être. Il n’en est pas moins vrai que les Israéliens ne plaisantent pas,  et qu’il faut aussi se rappeler que leur aviation bombarda, en Irak ,les installations  OSIRAK au grand dam d’un Saddam Hussein qui ne put, modestement, que riposter bien plus tard ,en lâchant quelques missiles SCUD sur la Terre Sainte pendant la première « Guerre du golfe ». 
La paix menacée ? 
Donald Trump aurait pris sa décision, encore qu’avec lui, il  faut attendre la contre-réaction à sa première prise de position, à savoir qu’il ne veut pas déplaire à ses alliés israéliens, - le tiendraient-ils par la barbichette ou serait-ce l’influence de son gendre ? -, et qu’il souhaite faire capoter l’accord en exigeant PLUS des Iraniens, ce que le régime de Téhéran  par la bouche même de son ministre des affaires étrangères, Mohamed Javad  Zarif,  a d’ores et déjà refusé : -« Si les Etats-Unis renoncent à l’accord de 2015, l’Iran reprendra plus vite  que jamais son programme nucléaire ». Les accusations d’Israël dans ce scénario-catastrophe, viennent à point nommé pour dramatiser la tension, sauf qu’apparemment, ni les Français, ni les Britanniques, ni les Allemands dont le Parlement vient de condamner le raid américano-français sur la Syrie, encore moins les Russes,  ne souhaitent cautionner ce schéma. L’Iran a besoin pour se développer d’une levée de l’embargo et il n’a pas d’autre choix, pour l’instant, que de s’exécuter et de respecter les clauses du traité, même s’il n’en pense pas moins. Nous, Français, nous avons besoin de retrouver notre place sur un marché de 80 millions d’âmes, notamment pour notre industrie automobile. 
Avec la Corée du Nord, le scénario iranien sera obsolète 
Si les USA se retiraient de l’accord,  ou si l’Iran refusait d’avantages de concessions, nous reviendrions à la case départ, avec tous les risques que ce panorama géopolitique bouleversé comporterait : une course effrénée au nucléaire militaire, Iran, Turquie, Arabie Saoudite, Egypte cherchant à « avoir la bombe ». Et, en face, un Etat d’Israël le doigt crispé  sur la queue de détente  au cas où….Dans cette région particulièrement explosive où toutes les haines et les rancœurs du passé se sont accumulées,  Juifs contre Arabes, Sunnites contre Chiites, Kurdes contre Arabes et Turcs, Sémites contre Indo-Aryens, tous les raisonnements rationnels qui ont accompagné la confrontation entre les deux blocs durant la « Guerre froide » ne résisteraient pas aux pulsions des uns ou des autres. C’est dire s’il est urgent de neutraliser les « allumettes » ! Tel ne sera pas la tournure prise, par analogie, avec le dossier coréen. Kim-Jung-Un a réussi son coup : il détient l’arme suprême, il n’y renoncera pas, même si le gel provisoire des essais nucléaires et l’abandon, tout aussi temporaire de ses recherches balistiques, sont mis sur la table des négociations en échange d’une levée de l’embargo et de l’insertion de la Corée du Nord dans le concert mondial. Il a gagné la course dans le « rapport du faible au fort » théorisé jadis en France, par le général Gallois. La réunification n’est pour l’héritier de la dynastie des Kim qu’un hypothétique objectif, contrairement aux vœux à long terme du pacifiste Président Sud-Coréen Moon-Jae-In.  Kim a vu ce qui est arrivé à Saddam Hussein et à Kadhafi. Il ne désarmera pas, même si sa panoplie ne s’enrichit plus, provisoirement. Aussi hermétique qu’inhumain soit son régime, il ne lâchera que l’accessoire pour conserver l’essentiel. A moins, à moins qu’une révolution de Palais ne l’emporte. Mais ça, c’est une autre histoire…. 
Jean-Claude ROLINAT 


* « L’avion, ce mystérieux tueur de célébrités », édité à l’Atelier Fol’Fer. 

mardi, 14 février 2017

Suède : Le « premier gouvernement féministe du monde » défile voilé en Iran

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2017

Par le 13/02/2017 
 La ministre du Commerce suédoise Ann Linde et plusieurs femmes du gouvernement suédois ont suscité l’indignation en défilant voilées devant le président Rohani. Le gouvernement suédois prétend pourtant pratiquer « une politique étrangère féministe ».

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La photo a ému les réseaux sociaux. On y voit la ministre du Commerce et des relations avec l’UE suédoise Ann Linde et d’autres femmes membres du gouvernement défiler en hijab à Téhéran devant le président iranien Rohani samedi. Il s’agissait d’une délégation emmenée par le premier ministre suédois, Stefan Löfven, qui avait pour objet des transactions commerciales avec l’Iran.

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Walk of shame: Women of Sweden's "first feminist government in the world" don hijab as they walk past Iran's Rouhani https://www.unwatch.org/walk-shame-swedens-first-feminist-government-don-hijabs-iran/ 

UN Watch, une ONG basée à Genève qui se donne pour mission de surveiller la protection des droits de l’homme mise en œuvre par l’ONU, a fait un communiqué dénonçant «une marche de la honte» et ce «en dépit de la promesse de Stockholm de promouvoir internationalement «l’égalité de genre» et d’adopter une politique étrangère féministe ».

D’ailleurs, la numéro 2 du gouvernement suédois, Isabella Lövin avait récemment «fait le buzz» en postant sur Twitter une photo d’elle et son équipe après l’élection de Trump, posant en train de signer un accord sur le climat. Une image qui n’était pas sans rappeler le cliché montrant Trump signant un décret contre l’IVG entourés d’hommes, ce qui avait suscité l’ire des féministes. De nombreux internautes ont moqué le deux-poids deux mesures du gouvernement et le décalage entre ces deux images.

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Just signed referral of Swedish law, binding all future governments to net zero emissions by 2045. For a safer and better future.

Le Figaro

Source : fdesouche

samedi, 15 octobre 2016

Vous ne le lirez pas dans les journaux : pourquoi l’Arabie saoudite et le Qatar ont déclenché la guerre civile en Syrie

Les fidèles lecteurs de Dreuz.info suivent depuis quelques années les différents conflits qui se déroulent sur ces théâtres d’opérations militaires.

Ils doivent comprendre que tout est lié, et savoir quelles sont les raisons et objectifs stratégiques, économiques et géopolitiques qui en sont à l’origine.

Il me paraît nécessaire de les expliquer plus clairement et en toute objectivité.

Cela débute en 1971. Dans le golfe persique, une immense poche de gaz est découverte qui couvre 20% des réserves naturelles du monde.

Répartie par moitié entre l’Iran et le Qatar, les premiers l’ont baptisée « South Pars » et les seconds « North Dome ».

Les premiers forages ont débuté en 1988, et dès 1996 sont passés en phase de production et leur capacité a augmenté au fil des années.

Frappé par un blocus économique, l’Iran n’a pas bénéficié immédiatement de cette manne, ce qui, on vient de le lire, ne fut pas le cas pour le Qatar.

D’un autre côté il y a l’Europe, énorme consommatrice de ce même gaz qu’elle ne produit pas et qu’elle doit acheter sur le marché international.

Or, les trois grandes sources de ce gaz nécessaire à l’alimentation de l’Europe sont l’Algérie, la Russie et les productions de la Mer du Nord, exploitées par la Norvège et la Grande-Bretagne.

La Russie a noué de fortes relations économiques avec l’Algérie, sur la commercialisation de ce gaz avec l’Europe, ainsi les pays européens sont toujours sous la possible menace d’une coupure d’approvisionnement de ce gaz russe, et donc également du gaz algérien, qui la plongerait dans une très grave crise énergétique.

Cette situation préoccupante et la conjonction de tous ces facteurs font que l’Europe, qui se trouve devant la nécessité de diversifier ses sources d’approvisionnements énergétiques, se tourne obligatoirement vers l’Iran et le Qatar.

Cela explique, mais vous l’aviez compris, le rapprochement notamment entre la France et le Qatar, mais également le relâchement récent du blocus iranien.

Dès 2007, le Qatar, a pour objectif de vendre son gaz à la France, mais surtout, celui plus lointain et plus important de construire un gazoduc direct qui relierait le Qatar à l’Europe, traversant l’Arabie saoudite, la Turquie puis les Balkans. Il a investi largement notre pays en s’offrant des palaces, des entreprises, des clubs de foot, etc., dans l’unique but de se rendre populaire.

Le problème majeur se situait près de chez eux, car entre l’Arabie saoudite et la Turquie, il lui était obligatoire de traverser l’Irak et la Syrie.

L’Irak étant en guerre, comme on le sait, les Qataris et les Saoudiens n’ont eu comme seule ressource que de proposer à Bachar El Assad de construire ce gazoduc en Syrie.

Allié des Russes, El Assad a refusé ce partenariat qui allait forcément priver la Russie de son énorme atout stratégique et énergétique contre l’Europe.

Le Qatar et l’Arabie saoudite décidèrent donc, par rétorsion, de consacrer quelques milliards à la création de milices terroristes en Syrie, dans l’objectif d’aboutir à la destitution de Bachar El Assad, et dans l’éventualité que son successeur, très probablement un islamiste, accepterait comme seule obligation de sa prise de pouvoir, la construction de ce gazoduc.

Ainsi ces deux pays arabes ont financé très largement Al Nosra, branche d’Al Qaïda en Syrie, et la guerre civile a éclaté.

Elle se poursuit depuis des années et se poursuivra encore longtemps.

Ce que n’avait pas prévu ni le Qatar ni l’Arabie saoudite, c’est que ce qui ne devait être qu’une guérilla qui, au début, a été très défavorable au régime de Bachar El Assad, allait faire naître une énormité : l’État Islamique, le califat.

Ce que n’ont pas compris immédiatement — dès septembre 2013 — les États-Unis, l’Angleterre et la France, c’est qu’il s’agissait là d’une menace mondiale et dans un premier temps, ils décidèrent d’intervenir militairement par une flotte de guerre, afin de soutenir les rebelles syriens et obtenir la chute du régime de Bachar El Assad.

C’était sans compter sur la Russie.

Elle s’est opposée à cette intervention, et plusieurs navires de guerre se sont interposés entre la côte syrienne et la flotte de la coalition, qui allait passer à l’attaque.

Deux premiers missiles Tomahawk ont été lancés, pour « essai », mais ils sont tombés à la mer, brouillés par les contre-mesures électroniques des Russes.

Alors que les médias nous disaient que l’attaque allait avoir lieu incessamment, que François Hollande l’annonçait publiquement, et bien la coalition rentrait à la maison les oreilles basses, et l’attaque fut déprogrammée.

On n’en parla plus… au moins durant quelques mois. Le temps que la vengeance… mûrisse.

© Manuel Gomez pour Dreuz.info.

http://www.dreuz.info/2016/10/05/ce-quon-ne-vous-dit-pas-...

http://www.dreuz.info/2016/10/06/vous-ne-le-lirez-pas-dan...