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dimanche, 07 mai 2017

Suède : un ministre du Qatar inaugure la plus grande mosquée de Scandinavie

Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2017

Par le 06/05/2017

Le ministre des Awqaf et des Affaires islamiques [du Qatar] a inauguré à Malmö (Suède) la mosquée Umm Al-Mu’minin Khadijah. Cette mosquée, construite par l’État du Qatar pour un coût de plus de 3 millions d’euros, est la plus grande de Scandinavie.

[…]

La mosquée est équipée d’installations pour les personnes ayant des besoins particuliers pour faire leurs prières, et d’autres pour les femmes et les enfants.

La cérémonie d’ouverture a réuni des représentants des autorités locales suédoises, des représentants des institutions islamiques de Suède et du Danemark, ainsi qu’un certain nombre d’hommes d’affaires. Malmö est la capitale et la plus grande ville de la Scanie, province suédoise. C’est également la troisième plus grande ville de Suède, des milliers de musulmans y vivent.

(Traduction Fdesouche)

Source : fdesouche via  Qatar News Agency

samedi, 22 octobre 2016

Selon le Qatar, les politiciens Français sont les plus faciles à acheter

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2016

By Dreuz Info, www.dreuz.info 20 octobre 2016

Dans un livre au titre provocateur, Nos très chers émirs*, les journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot décryptent les liens vénéneux entre les responsables politiques français et leurs homologues des monarchies du Golfe.

«Vendre à tout prix aux émirs, propulsés au rang de « partenaires stratégiques », semble être devenu l’alpha et l’oméga de notre diplomatie au Moyen-Orient»écrivent les auteurs, qui répondent aux questions de Ismaël Halissat, dans Libération.

  • Pourquoi la France a-t-elle noué des liens étroits avec les monarchies du Golfe ?

Le deal de départ est de leur faire signer des contrats en échange de notre appui politique et diplomatique. La France avait aussi besoin de sécuriser ses approvisionnements pétroliers au vu de l’instabilité au Moyen-Orient. Mais cette relation est déséquilibrée. Pour l’Arabie Saoudite, le véritable partenaire stratégique reste les Etats-Unis, alors que nous sommes considérés comme un partenaire de compensation.

  • François Hollande a-t-il changé quelque chose lors de son arrivée au pouvoir ?

Hollande a décidé de rééquilibrer les relations par réalisme politique. Nicolas Sarkozy avait tout misé sur le Qatar, qui est un Etat lilliputien. Mais le mastodonte du Golfe, c’est l’Arabie Saoudite. D’autant qu’en 2012 les autorités saoudiennes laissent entendre qu’elles sont prêtes à investir 50 milliards d’euros dans les années à venir. Le problème est que la France est toujours dans cette posture d’en faire trop, il faut absolument faire plaisir à l’Arabie Saoudite. Comme dans le dossier du nucléaire iranien, l’ennemi historique de Riyad.

  • Vous écrivez que, dans ces relations, des personnalités politiques se sont laissées aller à des pratiques relevant du trafic d’influence ?

Nous avons observé ces dérives notamment avec l’ambassade du Qatar. De 2003 à 2013, Mohamed Jaham Al-Kuwari, l’ambassadeur à Paris, a copieusement arrosé nos responsables politiques. Sans tenir un fichier, il savait très bien qui se laissait corrompre. «Les Français sont les plus faciles à acheter», nous avait dit un proche de Al-Thani, l’émir qui régnait à l’époque. Puis lui a succédé son fils Tamim qui a souhaité nettoyer les écuries. Mais les habitudes ne se perdent pas facilement et, dans un premier temps, les politiques français ont continué à demander des cadeaux. Des membres de la nouvelle équipe étaient stupéfaits et en avaient marre d’être pris pour des «distributeurs de billets de 500 euros».Alors même que le discours est désormais au «Qatar bashing», accusé d’injecter de l’argent dans les banlieues et de financer le terrorisme. On a sorti une dizaine de noms révélateurs de ces pratiques, mais il y en a certainement beaucoup plus qui sont concernés.

http://www.dreuz.info/2016/10/20/selon-le-qatar-les-polit...

 

Source : leblogalupus

samedi, 15 octobre 2016

Vous ne le lirez pas dans les journaux : pourquoi l’Arabie saoudite et le Qatar ont déclenché la guerre civile en Syrie

Les fidèles lecteurs de Dreuz.info suivent depuis quelques années les différents conflits qui se déroulent sur ces théâtres d’opérations militaires.

Ils doivent comprendre que tout est lié, et savoir quelles sont les raisons et objectifs stratégiques, économiques et géopolitiques qui en sont à l’origine.

Il me paraît nécessaire de les expliquer plus clairement et en toute objectivité.

Cela débute en 1971. Dans le golfe persique, une immense poche de gaz est découverte qui couvre 20% des réserves naturelles du monde.

Répartie par moitié entre l’Iran et le Qatar, les premiers l’ont baptisée « South Pars » et les seconds « North Dome ».

Les premiers forages ont débuté en 1988, et dès 1996 sont passés en phase de production et leur capacité a augmenté au fil des années.

Frappé par un blocus économique, l’Iran n’a pas bénéficié immédiatement de cette manne, ce qui, on vient de le lire, ne fut pas le cas pour le Qatar.

D’un autre côté il y a l’Europe, énorme consommatrice de ce même gaz qu’elle ne produit pas et qu’elle doit acheter sur le marché international.

Or, les trois grandes sources de ce gaz nécessaire à l’alimentation de l’Europe sont l’Algérie, la Russie et les productions de la Mer du Nord, exploitées par la Norvège et la Grande-Bretagne.

La Russie a noué de fortes relations économiques avec l’Algérie, sur la commercialisation de ce gaz avec l’Europe, ainsi les pays européens sont toujours sous la possible menace d’une coupure d’approvisionnement de ce gaz russe, et donc également du gaz algérien, qui la plongerait dans une très grave crise énergétique.

Cette situation préoccupante et la conjonction de tous ces facteurs font que l’Europe, qui se trouve devant la nécessité de diversifier ses sources d’approvisionnements énergétiques, se tourne obligatoirement vers l’Iran et le Qatar.

Cela explique, mais vous l’aviez compris, le rapprochement notamment entre la France et le Qatar, mais également le relâchement récent du blocus iranien.

Dès 2007, le Qatar, a pour objectif de vendre son gaz à la France, mais surtout, celui plus lointain et plus important de construire un gazoduc direct qui relierait le Qatar à l’Europe, traversant l’Arabie saoudite, la Turquie puis les Balkans. Il a investi largement notre pays en s’offrant des palaces, des entreprises, des clubs de foot, etc., dans l’unique but de se rendre populaire.

Le problème majeur se situait près de chez eux, car entre l’Arabie saoudite et la Turquie, il lui était obligatoire de traverser l’Irak et la Syrie.

L’Irak étant en guerre, comme on le sait, les Qataris et les Saoudiens n’ont eu comme seule ressource que de proposer à Bachar El Assad de construire ce gazoduc en Syrie.

Allié des Russes, El Assad a refusé ce partenariat qui allait forcément priver la Russie de son énorme atout stratégique et énergétique contre l’Europe.

Le Qatar et l’Arabie saoudite décidèrent donc, par rétorsion, de consacrer quelques milliards à la création de milices terroristes en Syrie, dans l’objectif d’aboutir à la destitution de Bachar El Assad, et dans l’éventualité que son successeur, très probablement un islamiste, accepterait comme seule obligation de sa prise de pouvoir, la construction de ce gazoduc.

Ainsi ces deux pays arabes ont financé très largement Al Nosra, branche d’Al Qaïda en Syrie, et la guerre civile a éclaté.

Elle se poursuit depuis des années et se poursuivra encore longtemps.

Ce que n’avait pas prévu ni le Qatar ni l’Arabie saoudite, c’est que ce qui ne devait être qu’une guérilla qui, au début, a été très défavorable au régime de Bachar El Assad, allait faire naître une énormité : l’État Islamique, le califat.

Ce que n’ont pas compris immédiatement — dès septembre 2013 — les États-Unis, l’Angleterre et la France, c’est qu’il s’agissait là d’une menace mondiale et dans un premier temps, ils décidèrent d’intervenir militairement par une flotte de guerre, afin de soutenir les rebelles syriens et obtenir la chute du régime de Bachar El Assad.

C’était sans compter sur la Russie.

Elle s’est opposée à cette intervention, et plusieurs navires de guerre se sont interposés entre la côte syrienne et la flotte de la coalition, qui allait passer à l’attaque.

Deux premiers missiles Tomahawk ont été lancés, pour « essai », mais ils sont tombés à la mer, brouillés par les contre-mesures électroniques des Russes.

Alors que les médias nous disaient que l’attaque allait avoir lieu incessamment, que François Hollande l’annonçait publiquement, et bien la coalition rentrait à la maison les oreilles basses, et l’attaque fut déprogrammée.

On n’en parla plus… au moins durant quelques mois. Le temps que la vengeance… mûrisse.

© Manuel Gomez pour Dreuz.info.

http://www.dreuz.info/2016/10/05/ce-quon-ne-vous-dit-pas-...

http://www.dreuz.info/2016/10/06/vous-ne-le-lirez-pas-dan...

vendredi, 04 septembre 2015

Combien de réfugiés au Qatar ? 0 En Arabie Saoudite ? 0

Publié par Guy Jovelin le 4 septembre 2015

Combien de réfugiés au Qatar ? 0 En Arabie Saoudite ? 0

Les médias internationaux diffusent en boucle ce matin les images tragiques du corps d’un enfant mort après...

 

 

 

Lire la suite : http://www.medias-presse.info/combien-de-refugies-au-qata...

 

 

mercredi, 06 mai 2015

CES POLITIQUES FRANÇAIS APPRIVOISÉS PAR LE QATAR POUR 10 000 EUROS

 Publié par Guy Jovelin

Ces politiques français apprivoisés par le Qatar pour 10 000 euros

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