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mercredi, 12 avril 2017

Trump et les missiles : les faucons sont de retour !

Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2017

Les frappes punitives américaines contre l’armée syrienne et le gouvernement de Bachar- al-Assad, outre qu’elles ont un but médiatique et d’être une démonstration de force tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, indiquent surtout un revirement soudain et total de Trump au Moyen-Orient qui implique un changement important au sein de l’entourage du nouveau président des États-Unis.

Steve Bannon, un des conseillers controversés de Trump, son ancien directeur de campagne, celui que l’on surnomme son « éminence grise », ancien patron du site d’informations Breitbart News qualifié « d’extrême-droite » par les médias du système, a été évincé ces derniers jours. Il a été démis, début avril, de ses fonctions de stratège en chef au sein du Conseil national de sécurité.

Or Steve Bannon défend une stratégie de non-intervention en Syrie, celle-ci étant considérée contraire à la doctrine de l’« America first », l‘Amérique en premier, alors que le gendre juif très écouté, et de plus en plus écouté, de Donald Trump, Jared Kushner, est partisan d’une offensive contre le régime syrien de Bachar al-Assad :

« La politique qu’il [Jared Kushner, ndlr] préconise est l’inverse de celle de Steve Bannon. Il est pour une politique assez traditionnelle aux Etats-Unis : intervenir à l’extérieur, aider les pays alliés et notamment Israël – dont il est très proche en tant que juif orthodoxe. Avec le groupe de gens influents autour de lui – comme Steven Mnuchin, le ministre du Trésor, David Friedman, l’ambassadeur américain en Israël ou même Steven Miller, qui est un autre conseiller très puissant auprès de Donald Trump – ils ont tous soutenu un changement d’attitude fort »

explique l’historien Jean-Eric Branaa dans un entretien à RT France.

Ivanka Trump, l’épouse de Jared, s’est d’ailleurs dite «être fière » de son père pour sa décision de bombarder la Syrie. Pourtant cette décision a été à l’encontre de toutes les déclarations précédentes de Trump durant sa campagne présidentielle : à plusieurs reprises il avait assuré qu’avec lui il n’y aurait pas d’intervention en Syrie ni de pressions pour faire partir Bachar al-Assad. Il s’était nettement démarqué des thèmes fondamentaux des néo-conservateurs américains, les fameux faucons, favorables à l’interventionnisme militaire destiné, en résumé, à organiser l’hégémonie américaine sur le monde et sur un nouvel ordre mondial fondé sur le consensus moral « plus jamais Auschwitz ».

«Le néo-conservatisme a réorienté la politique américaine dans le sens d’uninternationalisme et d’un messianisme démocratique. Le néo-conservatisme est né sur le principe de « plus jamais Auschwitz ». Les néo-conservateurs disent vouloir un nouvel ordre international qui soit celui de la liberté, selon les conceptions qui ne sont pas venues de Kant et de Wilson, auxquels ils reprochent l’impuissance, mais qui prennent leur source dans des écrits deMoïse Maïmonide. (…) Ils soutiennent Israël. Leur credo est l’interventionnisme. Les États-Unis doivent être reconnus comme la nation-phare des droits de l’homme et exporter la démocratie et la liberté partout dans le monde si besoin par la force. (…) Parmi les idées emblématiques des néo-conservateurs, on peut citer la théorie du « chaos créateur » » peut-on lire sur la fiche Wikipédia qui leur est consacrée.

Si l’élection de Donald Trump avait semblé marquer un reflux de l’emprise du néo-conservatisme sur la politique américaine, cette accalmie aura été de courte durée. Le courant globaliste et interventionniste domine à nouveau à la Maison Blanche. Et on a vu quels résultats il a obtenu en Irak : destruction, terrorisme international, création de l’organisation État islamique, mort et anarchie… « le chaos créateur » en somme !

Les faucons sont de retour !

Francesca de Villasmundo

 

Source :medias-presse.info

dimanche, 29 janvier 2017

Après les USA, la visite du FN en Israël tourne au désastre (condamnation du gouvernement)

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2017

 

BREIZATAO – ETREBROADEL (27/01/2017) Après le désastre du déplacement de Marine Le Pen au Canada (voir ici) et son humiliation à New York où Donald Trump a refusé de la rencontrer, le présidente du FN vient de recevoir un nouveau camouflet, cette fois-ci de la part d’Israël.

Dédiabolisation inopérante

Le Front National tente, de plus en plus désespérément, de prouver sa crédibilité internationale en multipliant les déplacements officiels hors de l’Hexagone. Après l’échec canadien et américain, c’est donc Israël qui a fermement récusé tout contact avec le FN. En cause, le voyage du n°3 du parti, Nicolas Bay, qui ne s’est pourtant pas ménagé lors de sa visite.

Le journal Le Monde a interrogé toutes les personnes rencontrées par Nicolas Bay. Elles ont déclaré ignorer que leur visiteur était un homme politique lié au FN (source) :

Le député européen a donné de l’écho à cette visite surprise grâce à Twitter, en publiant les photos de ses rencontres. Mais entre les légendes de ces clichés et la réalité, l’écart semble considérable. Les représentants officiels que M. Bay se félicite d’avoir vus affirment ne pas avoir su qui il était avant de se retrouver face à lui.

Un colonel de l’armée israélienne, Eyal Furman, a ainsi indiqué avoir quitté les lieux de la rencontre une fois l’identité du convive connue :

Sollicité par Le Monde, Peter Lerner, porte-parole des forces armées, s’est entretenu avec le colonel Furman. « Il est arrivé à ce dîner quand il avait déjà commencé et il n’était pas informé de la présence d’un politicien français. Il a ensuite quitté poliment les lieux quand il l’a appris et il a informé son commandement. »

Face aux interrogations soulevées, le gouvernement israélien a réagi, dénonçant en bloc le Front National, son « idéologie » ainsi que son « histoire ».

Le Monde Juif (source) :

Israël continue à refuser tout contact avec le Front national a réaffirmé vendredi un responsable israélien après la visite personnelle dans l’État juif du numéro trois du parti frontiste. « Le gouvernement israélien n’a pas de contact avec le Front national, étant donné l’idéologie et l’histoire de ce parti », a déclaré le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères Emmanuel Nahshon.« Cette politique n’a pas changé. Le gouvernement israélien n’a pas approuvé de rencontre officielle avec le représentant du Front national », a-t-il ajouté.

Les efforts de Marine Le Pen pour normaliser le FN n’ont donc servi à rien : les organisations communautaires juives hexagonales ainsi que l’État d’Israël demeurent résolument sourdes aux appels du pied de la dirigeante frontiste. Celle-ci avait pourtant été jusqu’à exclure son père de son parti (voir ici).

Inconsistance et opportunisme

Le mois passé, Louis Aliot, compagnon de Marine Le Pen, avait condamné l’état juif sur la question de l’occupation de la Cisjordanie.  « Israël sait très bien que ces colonisations sont condamnées par une grande partie des pays du monde. Je pense que ces colonies ne sont pas utiles à la recherche de la paix, c’est le moins que l’on puisse dire » avait-il déclaré.

Louis Aliot avait pourtant visité des colonies israéliennes en décembre 2011 (voir ici), là aussi à quelques mois des élections présidentielles.

Ces revirements répétés ont probablement convaincu le gouvernement israélien d’un manque de sincérité de la démarche de la direction du FN.

 

Source : breizatao

mercredi, 04 mai 2016

Le Congrès Juif Mondial somme le Guide Michelin de vanter Israël… sous peine d’être suspecté d’antisémitisme

Publié par Guy Jovelin le 4 mai 2016

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Ne jamais négliger les détails. Tel pourrait être le mot d’ordre du Congrès Juif Mondial qui s’occupe de tout, y compris de gastronomie. « Le Monde juif » nous apprend que le président du Congrès juif mondial, Ron Lauder, a appelé mardi la direction du Guide Michelin à vanter la gastronomie en Israël.

« Israël est aujourd’hui un bouillon unique et exceptionnel de saveurs culinaires », écrit le « puissant dirigeant communautaire » (sic) dans une lettre adressée à la direction du Guide Michelin.

Mais le Congrès Juif Mondial sait comment obtenir ce qu’il désire. Si le début de la lettre reste poli, la suite prend rapidement le ton menaçant.

« Pourquoi donc votre respectable institution ne prend pas enfin Israël en considération », demande le président du Congrès Juif Mondial. « Je suis certain que ce n’est pas votre intention, mais cette omission de votre part pourrait être interprétée pour des considérations politiques », laisse-t-il entendre. Le sous-entendu est clair : si le Guide Michelin n’obtempère pas, il sera suspecté d’antisionisme, voire d’antisémitisme.



Source : medias-presse

jeudi, 28 avril 2016

Pour rapprocher Marine Le Pen de l’électorat juif, Michel Thooris annonce le lancement de l’Union des patriotes français juifs

Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2016

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Michel Thooris, organisateur du voyage de Louis Aliot en Israël, a déclaré au site d’informations Le Lab qu’il dirigera la nouvelle Union des patriotes français juifs (UPFJ), organisme chargé de rapprocher Marine Le Pen de l’électorat juif.

Michel Thooris avait été candidat FN aux élections législatives de 2012.

Qui est Michel Thooris ? Animateur du syndicat « Action Police CFTC », ce policier sioniste travaille depuis 2008 au renforcement de la coopération policière entre la France et Israël. Connu pour ses prises de position favorables à la Ligue de Défense Juive et au Bétar, Michel Thooris avait été accusé en 2014 par Sihem Souid, chargé de mission au ministère de la Justice, d’être proche du cybercriminel franco-israélien Grégory Chelli, plus connu sous le pseudonyme d’Ulcan.

Ci-dessous, Michel Thooris avec son ami le franc-maçon Gilbert Collard.

image: http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2016/04/michel-thooris-gilbert-collard-premiermai.jpg

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Source  : medias-presse.info



vendredi, 08 avril 2016

Gilbert Collard se rendra en Israël « en vue d’une normalisation des relations entre Israël et le Front National »

Publié par Guy Jovelin le 8 avril 2016

collard,fn,israëlActualité Juive annonce que le député Gilbert Collard (Rassemblement Bleu Marine), franc-maçon notoire, se rendra au mois de juin en Israël, « en vue d’une normalisation des relations entre Israël et le Front National« . 

Selon Actualité Juive, il s’agit notamment de préparer « un éventuel voyage de Marine Le Pen à Jérusalem« .

Ci-dessous, l’intervention pro-israélienne du député Gilbert Collard à l’Assemblée Nationale sous les applaudissements du député UDI Habib Meyer, ancien vice-président du CRIF.

 

Source : http://www.medias-presse.info/