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mercredi, 07 novembre 2018

La violence à l'école

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2018

 Le billet de Patrick Parment

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Le désarroi du gouvernement – celui-ci et tous les autres auparavant -  est tel que ne sachant plus par quel bout prendre le problème, il a décidé de la présence des forces de l’ordre dans les établissements scolaires. Ce qui est proprement une mauvaise pioche. Certes, les pandores limiteront peut-être les dégâts, mais ce n’est pas une solution viable. Le fond du problème tient à ce que l’école ne forme plus ses enfants à être des citoyens français respectueux des normes qui régissent nos sociétés civilisées – c’est-à-dire très éloignées des règles islamiques pour être plus précis - et mieux encore de fervents patriotes fiers d’être les héritiers d’une longue histoire.

A l’heure où l’on fête les glorieux « Poilus » de la Première Guerre mondiale, on semble oublier que c’est grâce à l’enseignement de ces « hussards noirs » de la République qu’étaient les instituteurs de l’époque que nos soldats sont partis au casse-pipe. Ils étaient patriotes  et défendaient leur terre vu que la plupart d’entre eux étaient des paysans. De cette saignée humaine de 14/18 la France ne se remettra jamais.

Or, aujourd’hui qu’en est-il de l’école ? Les maîtres ne sont plus respectés – sont-ce encore des maîtres ? – l’histoire de France est évacuée et l’école n’est le plus souvent qu’une garderie où s’exprime tous les communautarismes. Cette fragmentation de l’école débouche sur un champ de bataille. Nos pédagogues distingués peuvent remuer le problème dans tous les sens, il ne semble pas qu’il y ait de solutions. Car c’est la nature même de l’enseignement et l’autorité du professeur qui sont en cause.

Les mesures qui s’imposeraient sont incompatibles avec le laxisme moral et intellectuel qui sévit aujourd’hui. C’est malheureusement par l’école que la nation française disparaîtra car le pseudo « vive ensemble » est une vaste fumisterie.

 

Source : synthesenationale

jeudi, 12 octobre 2017

La guerre civile a déjà commencé!

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

 
POSTÉ LE 10 OCTOBRE , 2017

belles consciences,chaos,guerre civile,laxisme,terroristes

Voici quelques années, le courageux écrivain Laurent Obertone publia un essai intitulé « La France Orange mécanique ».

Il s’agissait de brosser un tableau de la réalité de l’insécurité dans notre pays.

Certes, ce tableau était noir et effrayant, mais il était surtout réaliste.

Naturellement, les politiciens qui, à la suite de Lionel Jospin, continuaient à croire qu’il n’y avait pas d’insécurité, seulement un « sentiment d’insécurité », étaient incapables de tenir compte de cette réalité.

Faute de prise en compte de la réalité, notre pays s’enfonce dans le chaos. En 2016, 3,7 millions de crimes et délits ont été enregistrés par les forces de l’ordre. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg.

D’après les estimations de l’Observatoire national de la délinquance et de la réponse pénale, il faut multiplier par 5 les chiffres officiels pour avoir une idée de l’insécurité. En d’autres termes, au moins 15 millions de crimes et délits ont été perpétrés en France en 2016.

Les politiciens peuvent, bien sûr, continuer à se voiler la face, en se disant que, dans leurs quartiers bien protégés, ils sont à l’abri.

Mais la seule légitimation de leur rémunération réside dans leur service de la population. S’ils ne servent pas, voire s’ils aggravent la situation du peuple en refusant de condamner les auteurs d’exactions, non seulement ils ne méritent pas leur salaire, mais ils méritent bel et bien de passer en Cour de Justice !

Or, si l’on observe, même d’un œil distrait, l’actualité récente, on ne peut manquer d’être frappé par la responsabilité des « belles consciences ».

Je les tiens déjà pour responsables des innombrables morts par noyade de candidats à l’immigration clandestine en Méditerranée.

C’est, en effet, parce que nous envoyons le message parfaitement clair que les immigrés clandestins sont les bienvenus chez nous – qu’ils y sont nourris et soignés, bien mieux que nos paysans qui ont trimé toute leur vie – que ces malheureux tentent la traversée sur des coquilles de noix, entraînés par des passeurs esclavagistes.

Mais les politiciens, les intellectuels et les juges laxistes sont aussi complices des terroristes.

Songez que l’assassin des deux jeunes Marseillaises était un clandestin présent sur notre sol depuis une dizaine d’années. Et, surtout, que, tout clandestin qu’il fût, il avait été interpellé une dizaine de fois, sans jamais être expulsé.

On ne peut pas prétendre faire la guerre au terrorisme – en limitant drastiquement, au passage, les libertés des Français honnêtes –, si on n’applique même pas les lois.

La réalité, c’est que l’appareil d’État est le principal responsable de ces morts – avec le salafisme qu’il laisse complaisamment se répandre dans plus de cent mosquées identifiées.

Il est vrai que l’État est tellement occupé à emm… les braves gens qu’il n’a plus de moyens à consacrer à la lutte anti-terroriste.

Il préfère augmenter le budget de l’Aide médicale d’État, destiné à soigner ceux qui sont illégalement présents chez nous, que celui de l’armée.

Il préfère dorloter les délinquants et persécuter ceux qui se défendent, comme Daniel Malgouyres qui a tué l’un de ses agresseurs, entré par effraction chez lui, et qui risque pour cela la prison.

L’État ne protège plus les Français, collabore avec les assassins par son laxisme et son idéologie prétendument « progressiste », mais lutte avec acharnement contre la légitime défense.

Ces politiciens « collabos » vont être rejetés.

La question est de savoir qui les remplacera. Et il est à craindre que ce soit la charia, si les Français ne se réveillent pas rapidement.

 

Source : les4verites

mardi, 22 août 2017

Les téléphones portables bientôt autorisés en prison ?

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2017

Image d'illustration. Photo © Christophe Ena/AP/SIPA

Laxisme. En visite au centre pénitentiaire de La Farlède (Var), la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, s’est montrée plutôt favorable à l’idée d’autoriser les téléphones portables en prison, rapporte Corse-Matin ce lundi.

Les détenus des prisons françaises pourront-ils bientôt jouir librement et en toute légalité de leur téléphone portable ? Cela en prend en tout cas le chemin, alors que, de passage au centre pénitentiaire varois de La Farlède, la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, ne s’est pas opposée à ce projet, indique Corse-Matin ce lundi.

Des téléphones “bridés et contrôlés”

L’idée, proposée par la contrôleuse générale des privations des libertés, Adeline Hazan, “n’a rien d’absurde”, a tranché la ministre, “d’autant qu’il s’agirait de portables bridés et contrôlés”. Et d’ajouter : “Tout ce qu'elle dit sur la surpopulation carcérale et ses conséquences sont censées. Il faut donner aux détenus des moyens de communiquer”. Serait également étudiée la possibilité d’installer des téléphones fixes dans les cellules, comme c’est actuellement le cas dans une prison de la Meuse, précise le quotidien corse.

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Une mesure censée endiguer le flux de téléphones portables “illégaux” dans les prisons, alors que quelque 33.000 d’entre eux ont été saisis dans les centres pénitentiaires de l’Hexagone. Ceux-ci pourraient notamment servir à organiser des crimes, voire des évasions. Toutefois, il semble que les détenus n’aient pas attendu le feu vert de Nicole Belloubet pour se servir allègrement de leurs mobiles. Le 7 août dernier, un clip de rap tourné dans la prison d’Aiton (Savoie) et mettant en scène plusieurs détenus en train de manger, fumer, jouer aux jeux vidéos ou encore danser, avait été partagé à de nombreuses reprises sur les réseaux sociaux et visionné plus de 300.000 fois.

 

Source : valeursactuelles

samedi, 16 juillet 2016

L’attentat de Nice est l’œuvre de l’immigration, du laxisme judiciaire et de l’ambiance anti-France

Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2016

15 juillet 2016 par Lionel

Pour comprendre l’attentat de Nice, il faut s’interroger sur son auteur, un certain Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, et il en ressort 24 heures après les faits qu’il y a trois responsables : L’immigration, le laxisme judiciaire et la haine entretenue par les migrants contre le pays hôte.

L’immigration : Mohamed Lahouaiej-Bouhlel est né le 3 janvier 1985 à M’Saken (Tunisie), est donc un immigré, sa présence en France n’est que la conséquence de la politique pro-immigration mise en œuvre depuis 40 ans. Tous les hommes politiques successifs qui l’ont encouragée ont donc une part de responsabilité dans le carnage niçois, puisque si une autre politique migratoire avait été menée, ce personnage n’aurait pas été sur le sol français. De plus, sa carte de séjour avait été obtenue le 15 janvier 2009 et n’avait pas été révoquée suite à ses démêlés judiciaires. Car, on en arrive au deuxième point, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel avait eu maille à partir avec la justice, ce qui ne l’a nullement inquiété pour rester en France.

Le laxisme judiciaire. Mohamed Lahouaiej-Bouhlel avait été condamné pour violences conjugales, menaces, vol et dégradations et, en mars dernier, pour violence avec armes contre Jean-Baptiste Xiemenes, en l’agressant à coups de batte de baseball. Selon ce dernier, qui est dépité, il devait faire 6 mois de prison, qu’il n’a évidemment pas faits. Donc si Mohamed Lahouaiej-Bouhlel avait été là où il aurait dû être -en prison-, cet attentat n’aurait pas eu lieu. Le terroriste peut dire merci au juge d’application des peines qui lui a permis de réaliser sa tache, tout comme à M. Sarkozy qui a abrogé l’expulsion des étrangers condamnés car paraît-il, cela était une double peine, et était donc discriminatoire par rapport aux Français de souche.

La haine entretenue par les allogènes -et nullement combattue voire encouragée- contre le pays hôte. Vingt-quatre heures après les faits, il semble qu’il n’y ait pas de motivation religieuse à cet attentat : L’auteur était un piètre musulman : (Selon son cousin, il ne faisait pas ses prières, ne respectait pas le ramadan, n’allait pas à la mosquée, buvait de l’alcool et, -impensable pour un musulman- mangeait du porc). Quoiqu’il en soit, Daesh n’a, à cette heure, pas revendiqué l’attentat (l’auteur ne semble pas avoir enregistré de vidéo de mise en scène avant de commettre son forfait), il n’était pas fiché S par les services du renseignement et n’était donc pas considéré comme radicalisé. Certes, pour agir, il s’est servi des conseils de Daesh, mais, semble-t-il, uniquement comme modus operandi, nullement à des fins religieuses. Se pose alors la question du pourquoi ?
En réalité, nombre d’immigrés s’estiment discriminés en France, encouragés en cela par le gouvernement qui ne cesse de répéter qu’il existe des discriminations voire du racisme dont ils seraient victimes, évidemment sans en apporter la moindre once de preuve. Cela crée un ressentiment chez ces allogènes qui expliquent leurs échecs non à cause des décisions qu’eux-mêmes prennent, mais à cause des supposées discriminations ou du supposé racisme. Par ailleurs, certains partis, tel le PIR (parti des indigènes de la république) utilisent ces discours officiels pour entretenir un discours raciste anti-Blanc et haineux à l’égard de la France. L’hypothèse selon laquelle Mohamed Lahouaiej Bouhlel, dont la vie n’était pas épanouie, ait pu nourrir une haine du pays hôte paraît crédible, son acte s’apparentant comme une vengeance vis à vis du pays qui l’a accueilli, mais pas rendu heureux.

 

Source : contre-info

jeudi, 15 janvier 2015

Taubira profite des attentats islamistes pour accroître le laxisme envers les multirécidivistes

 

 Publié par Guy Jovelin

Depuis vendredi dernier, les 40 procureurs généraux et aux 160 procureurs de France de la très indépendante justice française sont soumis à de nouvelles règles. Ces dernières visent à accroître la dangerosité des criminels récidivistes.

Dans une circulaire, l’ignoble africaine Christiane Taubira rappelle aux procureurs de traiter de manière identique les primodélinquants et les criminels multirécidivistes. De fait, le texte efface toute distinction dans la réponse pénale entre un multirécidiviste irrécupérable et un homme condamné une fois. Voilà ce qui devrait « renforcer l’efficacité des sanctions pénales » selon Christiane Taubira.

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