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vendredi, 23 novembre 2018

« Nous sommes arabisés ! » : un seul germanophone parmi les 103 CP d’une école de Berlin

Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2018

Par  le 22/11/2018

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Jetons un œil dans la salle de classe d’un cours préparatoire de Berlin. Sur les petites chaises en bois, il n’y a pas un enfant chez lequel on parle allemand à la maison.

Pour 15, c’est l’arabe, pour deux le turc, pour les trois autres c’est l’espagnol, le croate et le thailandais.

Est-ce une exception ?

Pas dans l’arrondissement berlinois de Neukölln (un peu moins de 330 000 habitants). Astrid-Sabine Busse, 61 ans, directrice d’école y tire la sonnette d’alarme : « Nous sommes arabisés ! »

À l’été dernier, 103 CP sont arrivés dans son école « An der Köllnischen Heide »; un seul d’entre eux avait des parents allemands. Dans deux autres écoles du quartier on trouve parmi les 109 écoliers débutants en tout et pour tout deux enfants pour lesquels l’allemand est la langue maternelle parlée à la maison.

[…]

La structure sociale du quartier fait également en sorte que l’intégration dans les écoles de Neukölln reste lettre morte. Malgré les nombreux logements sociaux, on avait une population mélangée. Mais à cause de ce que l’on appelle la taxe pour utilisation abusive, des locataires ont dû payer des pénalités lorsque leurs revenus ont atteint le seuil qui ne leur permettait plus d’avoir droit à un logement social.

Conséquence : ceux qui gagnaient mieux leur vie sont partis, ne sont restées que des familles d’origine étrangère, familles où souvent plus personne du tout ne travaille.

[…]

(Traduction Fdesouche)

Bild via fdesouche

mercredi, 07 novembre 2018

La violence à l'école

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2018

 Le billet de Patrick Parment

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Le désarroi du gouvernement – celui-ci et tous les autres auparavant -  est tel que ne sachant plus par quel bout prendre le problème, il a décidé de la présence des forces de l’ordre dans les établissements scolaires. Ce qui est proprement une mauvaise pioche. Certes, les pandores limiteront peut-être les dégâts, mais ce n’est pas une solution viable. Le fond du problème tient à ce que l’école ne forme plus ses enfants à être des citoyens français respectueux des normes qui régissent nos sociétés civilisées – c’est-à-dire très éloignées des règles islamiques pour être plus précis - et mieux encore de fervents patriotes fiers d’être les héritiers d’une longue histoire.

A l’heure où l’on fête les glorieux « Poilus » de la Première Guerre mondiale, on semble oublier que c’est grâce à l’enseignement de ces « hussards noirs » de la République qu’étaient les instituteurs de l’époque que nos soldats sont partis au casse-pipe. Ils étaient patriotes  et défendaient leur terre vu que la plupart d’entre eux étaient des paysans. De cette saignée humaine de 14/18 la France ne se remettra jamais.

Or, aujourd’hui qu’en est-il de l’école ? Les maîtres ne sont plus respectés – sont-ce encore des maîtres ? – l’histoire de France est évacuée et l’école n’est le plus souvent qu’une garderie où s’exprime tous les communautarismes. Cette fragmentation de l’école débouche sur un champ de bataille. Nos pédagogues distingués peuvent remuer le problème dans tous les sens, il ne semble pas qu’il y ait de solutions. Car c’est la nature même de l’enseignement et l’autorité du professeur qui sont en cause.

Les mesures qui s’imposeraient sont incompatibles avec le laxisme moral et intellectuel qui sévit aujourd’hui. C’est malheureusement par l’école que la nation française disparaîtra car le pseudo « vive ensemble » est une vaste fumisterie.

 

Source : synthesenationale

mardi, 09 octobre 2018

France : les conséquences de l’islamisation de l’école pointées par une note des services de renseignement

Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2018

Auteur : Pierrot


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« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes » disait Bossuet. La France est, avec la complaisance des politiques, colonisée un peu plus chaque jour par différents peuples musulmans. En augmentation croissante, la oumma commence progressivement à mettre la pression pour imposer aux Français ses interdits religieux. Les enfants des élites cosmopolites ne se mélangent pas au peuple, et sont scolarisés dans des établissements épargnés par la volonté farouche des musulmans de nous voir les servir. Le point de non retour est proche.

Europe 1 a pu consulter en exclusivité une note ultra-confidentielle des services de renseignement, reçue par le cabinet du président de la République, du Premier ministre et de Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Education nationale, sur les signalements de cas de communautarisme musulman dans les établissements scolaires.

Des cas parfois extrêmes. Si le nombre des faits rapportés est stable, les motifs sont de plus en plus inquiétants. Certaines choses ne sont tout simplement plus faisables dans toutes les écoles, pour des motifs religieux. L’exemple le plus frappant, le plus nouveau, signalé dans cette note, est celui d’élèves qui refusent d’avoir cours dans des classes comportant du mobilier rouge, jugé « haram », c’est-à-dire interdit par le Coran. Cet exemple remonte d’un établissement du Nord de la France.

La note mélange différents types de cas, plus ou moins préoccupants. Selon elle, certains enfants refusent de dessiner des représentations humaines (un interdit religieux formel pour de nombreux musulmans). D’autres se bouchent les oreilles quand on passe de la musique en classe, et de jeunes garçons refusent de donner la main à une petite fille. Par ailleurs, les enfants pratiquent le ramadan de plus en plus jeunes, et cela peut poser des problèmes dans l’organisation des cours. À Troyes, des élèves de 6ème ont refusé d’aller à la piscine avec leur classe de peur de « boire la tasse et de casser leur jeûne ».

Les repas, moment de crispation. De nombreux incidents sont d’ailleurs liés à la question des repas. Dans les Bouches-du-Rhône, certains élèves refusent de déjeuner à côté de ceux qui mangent du porc. Dans un collège de Saint-Denis, lors d’un voyage scolaire où on s’apprêtait à servir du poulet et des frites au repas, un incident est survenu. « Sur une cinquantaine d’élèves, 35 d’entre eux ont refusé de manger la cuisse de poulet qui leur était proposée au dîner, parce que ce n’était pas halal. Nous n’avions pas été prévenus, donc nous avons jeté ces 35 cuisses de poulet et ils n’ont mangé que des frites », raconte Yannis Roeder, leur professeur d’histoire.

Plus préoccupant, en Seine-et-Marne, des élèves musulmans sont aussi stigmatisés par d’autres élèves parce qu’ils mangent de la nourriture ordinaire (non halal) à la cantine. De même, dans le Nord des élèves musulmans sont insultés par d’autres élèves musulmans quand ils mangent des produits qui ne sont pas halal.

De nombreux signalements. Pour certaines familles, il est inconcevable que leur enfant ne mange pas halal, même l’espace d’une semaine. De fait, en Haute-Savoie par exemple, certaines écoles n’organisent plus de séjours en classes de neige, parce que c’est devenu « ingérable », selon elles.

Il y a quelques mois, l’Education nationale a mis en place une plateforme permettant à un enseignant qui se trouve face à une question touchant à la religion de recevoir une réponse, un soutien dans les 24 heures. Elle enregistre environ 30 signalements par jour.  


Source : contre-info

mercredi, 26 septembre 2018

Quand les thèses « indigénistes » s’invitent à l’école

Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2018

Par  le 25/09/2018

 

Le « Front de mère »s, un syndicat de parents d’inspiration indigéniste, a organisé le 15 septembre sa journée de rentrée à Montreuil. Une quarantaine de personnes étaient présentes dans la salle financée par le ministère de la Culture, la région, le département et la mairie.

La recherche de thèmes passerelles, capables de satisfaire d’un côté les revendications religieuses d’une population musulmane pieuse et de l’autre les attentes politiques d’une gauche altermondialiste, structure la stratégie du Front de mères.

Le sentier qui sépare la colère légitime de la haine farouche est parfois bien étroit. Le Front de mères, jeune syndicat de parents de Seine Saint-Denis, oscille entre les deux versants. Cette organisation cofondée par Fatima Ouassak, militante antiraciste un temps proche du Parti des indigènes de la République (PIR), et la blogueuse Diariatou Kebe, a tenu samedi 15 septembre sa première journée de rentrée à Montreuil.

Présenté comme un syndicat de parents d’élèves des quartiers populaires, le Front de mères travaille l’imaginaire d’une bataille identitaire autour de l’école. Le programme de la journée est sans équivoque : ateliers pour « expérimenter la transmission des luttes à travers un cours d’histoire d’un point de vue anticolonial », cours de « critique des médias », ou encore conférence sur «l’alternative végétarienne».

Dans l’ensemble, les interventions que nous avons pu entendre demeurent mesurées, rien à voir avec la rhétorique du manifeste publié l’année dernière par les deux fondatrices du Front de mères. Extraits : « La société française est hiérarchisée racialement, les Blancs font en sorte d’être privilégiés dans l’accès à la propriété, au pouvoir, aux soins, à la reconnaissance ou au confort, au détriment des Non-Blancs qui voient leur accès à ces ressources constamment entravé.» […]

La création de ce syndicat local rencontre peu d’opposition politique en Seine-Saint-Denis, même si son discours entend dépasser les frontières du département. […]

Le Point via fdesouche

mercredi, 30 mai 2018

Marlène Schiappa veut interdire la messe à la télé et autoriser le voile à l’école.

Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2018

 

Marlène Schiappa veut interdire la messe à la télé et autoriser le voile à l’école.

Marlène Schiappa est Secrétaire d'État auprès du Premier ministre, chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes.

 

Source : lesobservateurs.