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mardi, 08 janvier 2019

Un nouveau cheval de Troie pour Soros

Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2019

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Depuis quelques semaines, ce qui domine l’actualité, hormis la révolte des gilets jaunes, est le sommet de Marrakech et plus précisément le Pacte sur les migrations sûres qui y fut ratifié. Cette rencontre, réunissant la plupart des chefs d’État du monde entier, éclipsa totalement celle qui se déroula en parallèle et qui réunissait de nombreux maires, dont celle de Montréal, Valérie Plante, qui joua lors de ce 5e Forum des maires sur la mobilité, la migration et le développement un rôle d’avant-plan.

Cette dernière, issue d’une gauche sociétale et multiculturaliste radicale, fait passer Anne Hidalgo pour une centriste. Lors de ce Forum, Plante a « présenté et fait adopter » par 62 grandes villes dont Paris et New York la Déclaration des maires sur les migrations. Cette déclaration, relativement semblable au fameux Pacte sur les migrations sûres décrié à travers la planète, force les maires à non seulement mettre en place les ressources nécessaires pour l’intégration des nouveaux venus, mais aussi à combattre toute discrimination ou « remise en question de la cohésion sociale » et d’exercer un rôle de leadership dans la promotion de l’immigration, mais aussi « dans la mise en œuvre des Pactes mondiaux des Nations Unies ».

On le comprend bien, cette déclaration où l’on revalorise une « approche globale de la gouvernance » est un autre coup dur pour la souveraineté des nations. Les villes deviennent des corps politiques pouvant agir au niveau international, un domaine d’action qui était réservé aux états, et doivent jouer un rôle dans l’élaboration des politiques relevant du niveau national, soit l’immigration. Facile de comprendre l’attrait de Valérie Plante pour une telle « approche », elle qui rêve que Montréal devienne une cité-état à part entière, et qui jusqu’à ce que le gouvernement lui force la main refusait en toute illégalité de faire flotter le drapeau national devant les institutions de sa ville.

Après les sociétés composées d’individus atomisés, émancipés de tout déterminisme, voici le rêve d’une planète composée de villes atomisées, émancipées de leur état propre.

Cette grande messe des maires qui souhaitent abolir le dernier rempart se dressant contre le mondialisme, l’état-nation, a aussi permis la création d’une nouvelle ONG dont Valérie Plante siégera au comité de direction, le Mayors Migration Council (MMC). Cet organisme souhaite d’abord et avant tout donner une voix aux maires au niveau international pour faire la promotion des migrations. Outre la mairesse de Montréal, on retrouve les maires de Los Angeles, Milan, Bristol, Athènes, Amman, Kampala et Free Town. Et le financement dépend… de l’Open Society Foundation de George Soros. Ceux qui doutaient des objectifs de cette nouvelle ONG sont désormais fixés.

George Soros dans sa lutte contre les états et toute régulation de l’immigration s’est donc trouvé un cheval de Troie : les maires. En fait, ceux qui par mégalomanie ou pour des raisons idéologiques adhèrent à sa vision du monde et se voient comme de petits chefs d’État. Avec cette nouvelle initiative, Soros étend ses tentacules encore davantage. Non seulement, il possède dans son écurie canadienne Justin Trudeau lui-même, mais il vient de repêcher Valérie Plante qui sera pour lui un fidèle soldat, tant pour des raisons idéologiques que pour satisfaire son ego démesuré.

 

Source : eurolibertes

samedi, 22 décembre 2018

Le Pacte mondial pour les migrations ratifié à l’ONU

Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2018

Auteur : Michel Janva

Le Pacte mondial pour les migrations ratifié à l’ONU

Lu dans Présent :

L’Assemblée générale des Nations unies a ratifié mercredi 19 décembre le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières. Selon la présidente de l’Assemblée générale de l’ONU, l’Equatorienne María Fernanda Espinosa Garcés, cette résolution est « une boussole » destinée à renforcer la coopération internationale, qui n’« affecte pas la souveraineté des Etats ».

Le document de 41 pages, élaboré dès juillet 2018, ne concerne pas les réfugiés, déjà protégés par une juridiction spécifique en droit international (renforcée par le Pacte mondial pour les réfugiés adopté lundi 17 décembre par 181 Etats). Prônant 23 objectifs communs et rappelant des responsabilités partagées, le pacte suscite depuis plusieurs semaines des controverses houleuses et souvent sur la base de quelques courts extraits contradictoires.

Le texte en effet, à portée symbolique et incitative, est un véritable exercice d’équilibriste. Rappelant à la fois la subsidiarité des Etats, il insiste en même temps sur la nécessité de guider l’opinion vers une vision plus positive des apports bénéfiques des migrations tout en reconnaissant les dysfonctionnements « parfois imprévisibles » qu’elles peuvent engendrer pour les migrants et les pays d’accueil.

[…] 152 pays ont voté en faveur de la résolution (dont la France), approuvée au départ par 165 membres des Nations unies. Douze se sont finalement abstenus et cinq ont voté contre : les Etats-Unis, la Hongrie, la République tchèque, la Pologne et Israël. […]

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 19 décembre 2018

Après le Pacte Mondial sur les migrations, voici le Pacte Mondial sur les réfugiés

Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2018 

Son adoption à l’ONU le 17 décembre dernier est quasiment passé inaperçue. Pourtant le Pacte Mondial sur les réfugiés est un autre cheval de Troie de la mondialisation : parmi les mesures édictées, il prévoit en effet le transfert des réfugiés en des pays pauvres vers les pays plus riches, c’est-à-dire l’Europe et les États-Unis.

L’Assemblée générale de l’ONU a donc adopté lundi à une très grande majorité, mais sans les États-Unis et la Hongrie, ce Pacte mondial sur les réfugiés visant à améliorer leur gestion internationale et à permettre “de renforcer l’assistance et la protection des 25 millions de réfugiés recensés dans le monde”.

Ce texte a quatre objectifs principaux : alléger les pressions exercées sur les pays d’accueil, accroître l’autonomie des réfugiés, élargir l’accès à des solutions faisant appel à des pays tiers et aider à créer dans les pays d’origine les conditions nécessaires au retour des réfugiés dans la sécurité et la dignité. Contrairement au document sur les migrants, les États-Unis ont participé aux négociations sur celui sur les réfugiés qui ont duré dix-huit mois.

Comme pour le Pacte Mondial sur les migrations, celui sur les réfugiés découle d’une Déclaration de New York, fortement voulue par le président des États-Unis de l’époque, Barack Obama. Votée le 19 septembre 2016 par les 193 membres de l’ONU, cette déclaration visait à améliorer leur aptitude à « avoir une attitude plus humaine et coordonnée envers les réfugiés et les migrants » dans le but de « sauver des vies, protéger des droits et partager la responsabilité au niveau mondial ». Depuis lors, les pays représentés à l’ONU se sont engagés à créer « une structure mondiale pour que l’émigration, comme les autre phénomènes internationaux, soit guidée par un système commun de principes et d’approches », l’aboutissement de ces réflexions étant donc le Pacte Mondial sur les migrations ; et à formuler un Pacte mondial sur les réfugiés pour consentir à arriver à « une répartition plus équitable du fardeau et de la responsabilité d’accueillir et de soutenir les réfugiés », 85 % de ces réfugiés vivant dans des pays pauvres. Pourtant depuis 1951 le statut et les droits des réfugiés sont bien réglés par la Convention internationale de Genève. Le but de la manœuvre paraît bien être la répartition des réfugiés dans les pays occidentaux.

Car ce que l’ONU et l’Unhcr (le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés), les artisans de ce nouveau pacte, semblent ignorer, peut-être occultent savamment, c’est la provenance des fonds grâce auxquels il est possible d’aider ces 20 millions de réfugiéseffectivement concentrés en des pays pauvres non parce que ces derniers sont plus généreux et charitables mais parce qu’ils sont frontaliers des États en crise. 86% des fonds dont disposent l’Unhcr, la majorité des agences onusiennes et de tant d’Ong, proviennent des États-Unis, de l’Union Européenne et d’États européens.

Ainsi ce Pacte Mondial sur les réfugiés entend alléger la pression sur les pays hôtes en augmentant les contributions financières qui leur sont allouées mais aussi et surtout en promouvant le transfert des réfugiés vers d’autres États sur laquelle la pression est mineure, entendons par là ceux européens et du nord de l’Amérique.

Tandis que le Pacte Mondial sur les Migrations affirme le droit absolu à émigrer, le Pacte Mondial sur les réfugiés, en falsifiant les faits, essaye de faire peser sur l’Occident la charge physique des réfugiés. Ces deux pactes sont les deux pinces de la tenaille du mondialisme qui s’efforce de pulvériser les nations, d’anéantir les identités et de détruire ce qui reste de la grande civilisation millénaire chrétienne et européenne.

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

mardi, 04 décembre 2018

Berlin (All.) : des milliers de citoyens manifestent contre le pacte de l’ONU sur les migrations, certains sont vêtus de gilets jaune

Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2018

Par  le 01/12/2018

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André Poggenburg
 
@PoggenburgAndre
 

Allemagne – Selon la police, environ 1000 personnes ont manifesté contre le pacte mondial de l’ONU pour les migrations devant la porte de Brandebourg.

L’association anti-islamisation Pegida avait appelé à participer à la manifestation « Contre le Pacte des migrations – Merkel doit partir ».

Parmi les participants se trouvaient de nombreuses personnes en gilets jaunes, imitant le mouvement de protestations en France.

(…) Morgenpost


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stefan lauer
 
@batepsycho
 
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Nina Hall@Ninawth
 
 

lundi, 29 octobre 2018

La France connaît la plus forte proportion d’immigrés de toute son histoire contemporaine

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2018

Par  le 28/10/2018

 

Sur la question migratoire, la France occupe une position singulière, souvent mal perçue dans les débats publics. Didier Leschi dans cette note pour la Fondapol intitulée :  » Migrations: la France singulière » revient sur la politique migratoire française de manière dépassionnée, s’attachant aux faits en les ancrant dans un cadre européen pour souligner la singularité de la politique française en la matière.

Notre pays connaît aujourd’hui la plus forte proportion d’immigrés de toute son histoire contemporaine : aux alentours de 11% de la population résidente est immigrée au sens de l’Insee, c’est-à-dire composée de personnes nées étrangères à l’étranger, ce qui donc inclut ceux qui obtiennent la nationalité française.

C’est un niveau que l’on retrouve dans beaucoup de pays européens et qui est même dépassé dans certains cas, comme en Suède, où la part de la population née à l’étranger est passée de 7% en 1975 à près de 20% aujourd’hui. Mais la spécificité de la France en Europe ne tient pas tant à la proportion actuelle d’immigrés au sein de la population française qu’aux effets du processus migratoire sur la longue durée.

En effet, nous sommes le pays d’Europe qui présente la proportion la plus élevée de personnes de « seconde génération » issues de l’immigration, c’est-à-dire résidant en France et dont au moins un parent est immigré.

Si l’on ajoute les enfants d’immigrés nés sur le territoire français, c’est près du quart de la population française qui a un lien direct avec l’immigration.

Ce niveau est comparable aux États-Unis (26%), souvent pris en exemple sur les questions d’immigration. Ces évolutions démographiques dues à l’immigration ont un autre effet concret : en 2017, plus de 17% des jeunes de moins de 24 ans en France métropolitaine étaient d’origine extra-européenne, contre moins de 3% en 1968. […]

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