Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 17 novembre 2015

Les salafistes toulousains sous pression

Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2015

Terrorisme

Le Toulousain Sabri Essid, symbole du salafisme fanatique, est réapparu, en mars dernier, sur la dernière exécution filmée de l'État islamique.
Le Toulousain Sabri Essid, symbole du salafisme fanatique, est réapparu, en mars dernier, sur la dernière exécution filmée de l'État islamique.

Les mosquées toulousaines qui font du prosélytisme sont bien identifiées par la police. Mais la radicalisation des jeunes passe maintenant par des réseaux salafistes mafieux.

Faut-il fermer les lieux de culte musulman où prêchent des imams radicaux comme le demandent déjà certains responsables politiques ? À Toulouse, où le salafisme a engendré les Mohammed Merah ou autre Sabri Essid et envoyé de gros contingents de jeunes des cités sur les routes du jihad, les mosquées qui posent problèmes sont bien connues des services de police. Et surveillées de près. Sur la trentaine de lieux de prières recensés comme associations dans l'agglomération, une demi-douzaine sont dans le collimateur des autorités. Ceux où les prêches dispensent un intégrisme pur et dur dans la logique de la Charia, la loi islamique. C'est le cas d'une mosquée installée dans le quartier de Bagatelle, rue du Nivernais, dans une maison rachetée pour 180 000 euros, il y a un peu plus de quatre ans, par une association présidée par un commerçant en poulets, Moulay Sro. Un imam marocain d'une trentaine d'années y a longtemps dispensé ses harangues derrière de hauts murs, montés à la hâte. Aujourd'hui, ce «religieux» a été remplacé, mais près de 800 fidèles se pressent chaque semaine à l'office du vendredi. La prière et ses quatre rendez-vous quotidiens y coûtent jusqu'à 25 € pour chaque croyant. De quoi financer l'école coranique qui doit accueillir les plus jeunes. La mosquée a son propre service d'ordre qui fait régner sa loi. Au grand dam des voisins, souvent musulmans, qui vivent mal cette proximité. «Tous les imams et tous les prêches ne sont pas en cause, souligne un policier, mais après les rassemblements de fidèles, le soir, il peut y avoir des discours plus radicaux. Ce sont aussi des lieux où des imams invités peuvent venir un ou deux mois et repartir sans que l'on sache très bien les idées qu'ils ont distillées». Toutes les cités sont concernées. Aux Izards, la mosquée de la rue des Cerisiers, la mosquée An Nour, à Empalot, ou encore au Mirail, les mosquées Es Salam, impasse de Londres ou Abou Bakr, cheminement Auriacombe… Mais le salafisme ne s'infiltre pas que dans les lieux de culte plus ou moins officiels. Le foyer Sonocotra de la place des Papyrus dans le quartier de la Vache, des locaux de la rue Gratien -Arnoult, à Arnaud-Bernard, aujourd'hui fermés, ou d'autres, rue de la Colombette ont pu accueillir des réunions suspectes. «Le prosélytisme terroriste d'un groupe comme Daesh ne passe plus seulement par les mosquées, confirme un observateur. Le salafisme est connecté au trafic de drogue, c'est une véritable secte associée à des bandes mafieuses. Des réseaux très organisés qui n'ont plus rien à voir avec les loups solitaires auxquels on veut encore nous faire croire». Et encore moins avec la religion. À Toulouse, comme ailleurs, la puissance de la propagande jihadiste sur internet n'a plus vraiment besoin des imams. Les chiffres qui circulent officieusement dans les services spécialisés font froids dans le dos. Ce serait plusieurs centaines de jeunes Toulousains qui auraient déjà rejoint la Syrie. Dont une vingtaine serait rentrée depuis quelques semaines. «Nous avons une guerre de retard», reconnaît un magistrat. Et des ennemis difficiles à identifier.

dimanche, 18 octobre 2015

Alain Minc propose de suspendre la loi de 1905 afin que les Français financent les mosquées

L’ancienne éminence grise de Nicolas Sarközy, le juif Alain Minc, vient de publier un livre dont le titre résume assez bien le contenu : « Un français de tant de souches ». Il propose, pour résoudre le problème d’intégration des musulmans en France, que la loi de séparation de l’Église et de l’État soit suspendue 5 ans afin de permettre à la République de financer (avec notre argent) des mosquées ! En échange, la gueuse s’occuperait de la formation des imams et s’assurerait ainsi que les sunnites de France ne se radicalisent pas…
Aucun homme politique républicain et laïcard ne se scandalise d’une telle proposition…

Une solution plus simple existe pour ne pas avoir de problème d’intégration des étrangers : fermeture immédiate des frontières, expulsion des clandestins et incitation financière au départ volontaire des immigrés extra-européens « naturalisés » par la République.

Source

samedi, 11 juillet 2015

PAIX, AMOUR ET TOLÉRANCE : DES FLINGUES DANS LES MOSQUÉES !

Publié par Guy Jovelin

Paix, amour et tolérance : des flingues dans les mosquées !

Lire la suite

mardi, 12 mai 2015

Algérie : un responsable salafiste veut transformer les églises en mosquées

 Publié par Guy Jovelin

Capture d’écran 2015-05-11 à 21.54.21

« Il faut fermer toutes les églises chrétiennes se trouvant sur le territoire algérien et les transformer en mosquées là où cela est possible »

Telle est la proposition lancée par le responsable algérien salafiste Abdel Fattah Zarawi, Président du Front libre salafiste d’Algérie, qui la fait passer comme une réaction légitime aux épisodes d’ »islamophobie » qui, à son avis, déferlent dans de nombreux pays d’Europe, à commencer par la France.

C’est ce qu’indiquent des sources algériennes consultées par l’Agence Fides.

Dans le cadre de cette campagne contre les églises, immédiatement reprise par les réseaux sociaux et les blogs liés aux groupes salafistes, les basiliques d’Algérie – telle que Notre-Dame d’Afrique à Alger et celle de Saint Augustin à Annaba – sont qualifiées de résidus de l’époque coloniale dont le pays doit être libéré.

Source : http://www.contre-info.com/

dimanche, 05 avril 2015

Quatre jeunes Français arrêtés pour avoir tenté de s’opposer à l’islamisation

 

 Publié par Guy Jovelin

Alors qu’elles laissent agir les corrompus dans les ministères et les assemblées, les pédocriminels dans les établissements de nos enfants, la justice et la police républicaines ont annoncé avoir arrêté quatre jeunes Français. Ils ont été placés en garde à vue et mis en examen pour association de malfaiteurs pour avoir préparé, selon le régime, une attaque contre un lieu de culte islamiste à Montélimar.

Pour s’assurer une publicité maximum, les agents de leur République ont arrêté les quatre jeunes hommes à l’École des pupilles de l’air de Montbonnot-Saint-Martin où ils étaient scolarisés. Ce sont des agents de la gendarmerie de l’air, responsables de l’enquête, qui ont mené la rafle des quatre adolescents, âgés de 16 et 17 ans mercredi.

Leurs accusateurs prétendent qu’ils avaient déjà commencé à réunir du matériel pour préparer un attentat, tout en soulignant qu’ils étaient loin de pouvoir passer à l’action. Ils auraient réalisé des repérages près du lieu de culte étranger.

Les mêmes autorités ont été contraintes de reconnaître qu’il s’agissait de jeunes hommes sans le moindre problème, inconnus des services de justice et de police, y compris de la police politique du régime. Ils ont donc été remis en liberté, subissant cependant un humiliant contrôle judiciaire.

Cette affaire rappelle l’attitude criminelle de leur République qui a imposé à la France des millions d’étrangers, dans une volonté de métissage et de multiculturalisme déjà vue à de nombreuses reprises dans l’Histoire et qui n’a offert comme conclusion que deux issues : la disparition des peuples colonisés ou leur réveil radical.

Source