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vendredi, 29 juillet 2016

Taire le nom des assassins musulmans : les médias obéissent à BHL !

Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2016

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BFMTV et Le Monde ont décidé de ne plus publier les photos des auteurs d’attentats «pour éviter d’éventuels effets de glorification posthume». La Croixet Europe 1 ont annoncé leur intention de ne pas rendre publique l’identité des terroristes.

Nous y voilà. Des journaux, des chaînes d’information en continu, des radios dont le métier est d’informer refusent donc maintenant d’informer le public sur ce qui se passe dans notre pays. Plus de portraits des salopards, plus d’identité avec ces prénoms tellement marqués outre-Méditerranée, plus de parcours (Syrie aller-retour, fiche S…)

Jusqu’où ira le déni de réalité?

Les manipulateurs de l’opinion publique veulent nous faire croire que leur stratégie de l’anonymat (rappelons-nous que Le Monde nommait ”Vladimir”, les artisans de la terreur quand ils portaient un prénom comme Souleymane) ralentira les vocations d’égorgeur, d’écraseur, de flingueurs. Ceux-ci ne pouvant plus s’identifier à des figures précises se contenteront certainement de partir à la chasse aux Pokémons dans les parcs et les rues de nos cités.

Comme le gouvernement refuse de lutter contre la terreur islamique au nom d’un Etat de droit flageolant –où est l’Etat de droit, quand je crains de me balader dans une rue, d’assister à un spectacle, de boire un café en terrasse parce que ma famille risque de passer au fil du couteau d’un Adel Kermiche, sous les roues d’un camion conduit par un Mohamed Lahouaiej Bouhlel, d’être balayée par les balles tirées par un Brahim Abdeslam?

Les médiacrates ont choisi de suivre le grand stratège Bernard-Henri Lévy.

 

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Ne plus parler de la maladie pour la faire disparaître.

Cette ligne Maginot médiatique est vouée, grâce à Internet, à tenir bien moins longtemps que celle bétonnée de la fin des années 30.

Et nos penseurs du silence médiatique pensent-ils que les massacreurs musulmans de l’ouest à l’est de l’Afrique, que les saigneurs islamiques qui font couler des fleuves de sang et d’entrailles au Proche et au Moyen Orient, recherchent la Une des médias?

Peuvent-ils citer les noms, montrer les portraits de ceux qui se bousillent pour Boko Haram au Cameroun, au Niger, au Tchad, au Nigeria? Sont-ils capables d’identifier ceux qui s’éclatent à Nairobi, à Kaboul, à Bagdad?

Les djihadistes présents et futurs ne lisent pas Le Monde ou La Croix, n’écoutent pas Europe 1, ne regardent pas BFMTV, ils adulent leurs héros au sein de la “djihadosphère”. «Elle compte déjà de nombreux héros que le grand public ne connaît pas», dit très justement David Thomson, journaliste à RFI.

Une autre excuse pour cette autocensure est la protection du lecteur, du téléspectateur. Trop con pour voter correctement à un référendum, le voici trop con pour avoir la capacité de regarder les “Allahou akbar” à l’œuvre. Il pourrait faire le lien entre les tueurs et l’islam.

J’adore voir les irresponsables qui croient encore nous gouverner crever de trouille sur les écrans. Ils en appellent au ban et à l’arrière ban de la caste pour le bourrage de crâne quotidien sur le “Padamalgame”, le “Cèpaçalislam”, les vertus de l’amour et de la tolérance pour résister à la stratégie de la haine.

A travers eux, l’amour est en train de devenir un gros mot et la haine, un sentiment noble.

Ils courent de glas en glas sans demander pour qui il sonne. Parce qu’ils devinent qu’il sonne pour eux.

L’histoire de ce concordat politico-médiatique ne disant pas encore si ceux qui publieront les informations sur l’identité des assassins musulmans, les portraits de tueurs islamiques seront poursuivis par les tribunaux et leurs juges “mur des cons”, voici donc les portraits et les noms des deux dernières vermines (à ce jour) qui ont ensanglanté notre pays au nom d’Allah.

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Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean

Marcus Graven

 

Source : ripostelaique

dimanche, 05 juin 2016

Pour les médias il n’y a aucun problème d’immigration en France

Publié par Guy Jovelin le 5 juin 2016

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Jean-Yves Le Gallou

Pour les médias, ni le Grand Remplacement de population, ni le Grand Remplacement civilisationnel n’existent. Et si les médias l’affirment les hommes politiques « convenables »… le répètent comme des perroquets. Juppé, Mélenchon ou Philippot vous le confirmeront. Le Grand Remplacement n’existe pas, foi d’autruche ! Le vice-président du Front national l’a redit sur BFM TV le 30 mai : « Je ne parle pas comme ça [c’est vrai que ce ne serait pas chic pour un petit marquis] parce que c’est flou, je ne sais pas ce qu’on y met derrière. »

C’est sûr, le Grand Remplacement, c’est « flou », c’est un fantasme et même un « fantasme complotiste » (le même Philippot au JDD en 2014).

Alors ne bêlons plus ! Ouvrons les yeux ! Sortons la tête du sable :

Il n’y a pas de Grand Remplacement en Angleterre mais le nouveau maire de Londres s’appelle Sadik Khan. Ce musulman pakistanais a été élu à la suite du départ en 10 ans de 600.000 Britanniques de souche, des cockneys, des quartiers de l’est.

Il n’y a pas de Grand Remplacement en Belgique : comme chacun sait, les Flamands et les Wallons se partagent toujours Molenbeek.

Il n’y a pas de Grand Remplacement Gare du Nord à Paris et il n’y a que Nadine Morano pour s’y croire en Afrique.

Il n’y a pas de Grand Remplacement en Seine-Saint-Denis mais on y voit de moins en moins de femmes ne portant pas le voile islamique.

Il n’y a pas de Grand Remplacement en France mais, en 2015, le président du CFCM, le Conseil français du culte musulman, a demandé de transformer des églises en mosquées.

Cela ne vous suffit pas ? Vous voulez des statistiques ?

En voici quelques-unes !

Oui, il y a Grand Remplacement dans les abattoirs où plus de 50% des animaux de boucherie sont tués dans d’atroces souffrances, sans étourdissement préalable.

Oui, il y a Grand Remplacement dans les prisons où plus de 50% des détenus sont musulmans et où les Français de souche représentent moins de 30% des effectifs.

Oui, il y a Grand Remplacement dans les maternités. Les statistiques médicales confirment ce qu’on y voit. Les médecins y dépistent la drépanocytose chez les nouveau-nés qui ne sont pas d’origine européenne. Voici les chiffres : 20% des nouveau-nés étaient dépistés en France en 2001, 37% en 2014. Les chiffres montent à 50% en Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur et 66% en Ile-de-France.

Quant à imaginer que cela serait sans conséquences c’est nier le réel : de même qu’il y a des pommes sous les pommiers, les Africains africanisent et les musulmans islamisent.

Les Français sont confrontés à une difficulté majeure : le déni de réalité de la classe médiatique et, à sa remorque, de la classe politique. Tous partis confondus ?

Via Les Villes contre l'islamisation cliquez là

 

Source : synthesenationale

jeudi, 03 septembre 2015

Immigration – Les médias veulent vous apitoyer, voici la réalité…

Publié par Guy Jovelin le 3 septembre 2015

Immigration – Les médias veulent vous apitoyer, voici la réalité…

Voici des images que vous ne verrez pas au journal télévisé ce soir… (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Voici des images que vous ne verrez...

 

 

 

Lire la suite : http://www.medias-presse.info/immigration-les-medias-veul...

mercredi, 24 décembre 2014

Le néo-nihilisme, nouveau mal français : quelles réponses ? (par Jean-Yves Le Gallou)

Publié par Guy Jovelin

Les Français sont abrutis par la propagande médiatique. Celle-ci véhicule un néo-nihilisme ahurissant.

Ce néo-nihilisme repose sur une négation des réalités. Négation des origines et de leur importance. Négation du Grand Remplacement de populations. Négation de l’existence même d’un peuple français historique. Négation de l’échec de tout processus d’assimilation des immigrés venus de loin. Négation de l’islamisation de la société et des mœurs. Négation de l’échec de la « conception citoyenne de la nation »devenue simple paravent du communautarisme.

Ce néo-nihilisme nie aussi les réalités anthropologiques. Il prétend déconstruire les différences de sexe. Tout en promouvant un « homosexualisme » militant, négateur du mariage et des liens de filiation. Sa vision est celle de l’immédiateté, du grand carnaval de l’Homo festivus et de la Gay Pride.

Promu par les médias de l’oligarchie, ce néo-nihilisme est devenu l’idéologie dominante de la classe politique. Par connivence d’abord : journalistes et politiques déjeunent ensemble, voyagent ensemble, dînent ensemble… et plus si affinités. Par désir mimétique aussi : pour un politique, la recette pour se faire inviter à la télévision, c’est de tenir un discours média-compatible. Résultat : ceux qui devraient donner du sens se rallient – peu ou prou – au néo-nihilisme de l’État-spectacle et de l’Homo festivus. D’où le discrédit des partis politiques : Front de gauche, écolos, PS, UMP. À force de rechercher la dédiabolisation/banalisation, c’est le Front national lui-même qui pourrait perdre le crédit de sa différence. Or, suivre le vent n’est rien d’autre qu’« une ambition de feuille morte ».

Face à cette verticale du pouvoir médias/politiques, les réactions viennent des profondeurs du peuple. D’où l’ampleur des manifestations sociétales : de la Manif pour tous, du Printemps français, des Bonnets rouges et peut-être demain d’un PEGIDA (les mouvements anti-islamisation en Allemagne) à la française.

Les réactions viennent aussi des intellectuels. D’hommes et de femmes qui savent qu’ils ont le « devoir de vérité ». D’hommes et de femmes qui osent penser la radicalité : des essayistes comme Éric Zemmour ou Hervé Juvin, des écrivains comme Renaud Camus ou Richard Millet, des artistes ou critiques d’art comme Aude de Kerros, des esprits indépendants comme Robert Ménard ou Béatrice Bourges.

À eux de donner du sens. À eux de rappeler que la patrie (la terre des pères) n’a de sens que si elle porte une identité charnelle et civilisationnelle. À eux de rappeler qu’il n’y a pas de communauté nationale sans réalité substantielle, croyances communes, valeurs morales et sociales partagées et leur hiérarchie. À eux de rappeler qu’il y a des permanences anthropologiques et culturelles à respecter. À eux de rappeler que la souveraineté n’a de sens que si elle est enracinée.

Le renouveau ne passera pas par les structures anciennes tributaires des conformismes. Il viendra de la mise en forme par les intellectuels dissidents des aspirations profondes du peuple. Il sera possible grâce au contournement des médias par Internet et les réseaux sociaux.

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