Mélenchon et les Insoumis comme première force d’opposition à En Marche. Macron en rêvait, les médias l’ont fait ! Entre ces deux forces politiques, il n’y aurait qu’un désert qui oblige à choisir sa voie : l’ultralibéralisme économique mâtiné d’une gauche sociétale infecte ou l’extrême gauche mélenchonienne secondée par quelques sectes d’obédience marxiste-léniniste. Le choix est fort peu sympathique et pour les brebis qui pourraient s’égarer, l’actualité se charge de lever une partie du voile sur ce qu’est vraiment l’extrême gauche.
Les cotisations sociales : c’est bien, mais seulement pour les autres
Sur le plan économico-sociale, elle prend la forme d’une contestation dure contre la réforme du Code du Travail. Les salariés n’ont, par exemple, pas besoin de voir les indemnités prud’homales être plafonnées en cas de harcèlement, mais ils n’ont pas non plus besoin d’être représentés par des porte-paroles auto-proclamés qui ne respectent même pas les règles les plus élémentaires de l’imposition et de la solidarité entre les générations. C’est ainsi que Raquel Garrido, porte-parole des Insoumis, égérie des plateaux de télévision où elle est devenue officiellement chroniqueuse sur C8 – une chaîne rappelons-le détenu par un « grand ami » de l’extrême gauche : Vincent Bolloré. Mais sa principale activité est censée être le métier d’avocat.
Il n’est pas sûr qu’être défendu par la franco-chilienne insoumise soit une bonne idée, car ses notions de droit sont plus que douteuses. La preuve en est que depuis six ans, elle a oublié de payer ses cotisations sociales à la caisse de retraite des avocats. L’information publiée dans le Canard Enchaîné n’a fait l’objet d’aucun démenti ou de déclaration de la part de celle qui squattait encore il y a peu les plateaux de télévision. Pour gueuler, il y a du monde, mais dès qu’il faut payer la note ou se justifier de ne pas l’avoir fait, le silence est d’or. Plus de 32 000 euros d’impayés, on comprend aisément que la première réaction soit mûrement réfléchie… Garrido n’a plus aucune crédibilité si tant est qu’elle en eut une.
Non ! Un terroriste n’est pas un « martyr »
Dans un autre registre, mais qui illustre lui aussi le dégoût que suscite l’extrême gauche, la palme revient à Sonia Nour, collaboratrice à la mairie de La Courneuve. Celle qui se définit comme militante communiste et décoloniale a posté sur les réseaux sociaux un message qui fait froid dans le dos à propos de l’attentat de Marseille : « Quand un martyr égorge une femme et poignarde une autre là ça fait du bruit. Terrorisme, du sang, civilisation bla bla bla… Par contre que le terrorisme patriarcal nous tue tous les deux jours on l’entend moins votre grande gueule ». Outre le langage ordurier qui vient conclure cette saillie, qualifier le terroriste de « martyr » est un outrage à la mémoire des victimes et à la nation française. En droit, cela s’appelle « apologie du terrorisme ». Le maire communiste de la charmante bourgade qu’est La Courneuve a été obligé de condamner ces propos et de suspendre sa collaboratrice. La Justice fera-t-elle son travail ? Comment peut-on avoir de tels individus dans nos mairies ?
Et pour bien faire comprendre dans quel camp elle se place, elle minimise l’horreur des crimes terroristes et conclut avec un superbe : « Suite au déferlement de haine des fachos, je viens de me faire suspendre de mon taf et je vais en conseil de discipline pour un statut Facebook ». Etre quelque peu réservé à l’endroit du terrorisme est synonyme d’esprit fascisant pour certains… Des propos incroyables qui montrent le degré de dépravation d’une certaine gauche coupable de s’allier avec tous les ennemis du genre humain pour espérer ne pas sombrer trop vite dans les oubliettes de l’Histoire. Rassurez-vous mesdames et messieurs les gauchistes, les crimes passés et présents dont vous êtes si fiers ne seront pas oubliés.
Source : 24heuresactu