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jeudi, 05 octobre 2017

Le gauchisme est éternel !

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2017

Rédigé par notre équipe le 04 octobre 2017

 
 
C’est bien connu, la gauche a le monopole du cœur et de la morale. Alors, plus on est à gauche, plus on peut s’ériger en parangon de vertu. Des modèles qui oublient pour certains de payer leurs cotisations sociales ou qui pleurent les terroristes qui assassinent les Français dans nos rues. Le gauchisme continue de se perdre et ne pourra jamais prendre le pouvoir, n’en déplaise à un Mélenchon qui croit l’arracher au banquier Macron.

Mélenchon et les Insoumis comme première force d’opposition à En Marche. Macron en rêvait, les médias l’ont fait ! Entre ces deux forces politiques, il n’y aurait qu’un désert qui oblige à choisir sa voie : l’ultralibéralisme économique mâtiné d’une gauche sociétale infecte ou l’extrême gauche mélenchonienne secondée par quelques sectes d’obédience marxiste-léniniste. Le choix est fort peu sympathique et pour les brebis qui pourraient s’égarer, l’actualité se charge de lever une partie du voile sur ce qu’est vraiment l’extrême gauche.

Les cotisations sociales : c’est bien, mais seulement pour les autres

Sur le plan économico-sociale, elle prend la forme d’une contestation dure contre la réforme du Code du Travail. Les salariés n’ont, par exemple, pas besoin de voir les indemnités prud’homales être plafonnées en cas de harcèlement, mais ils n’ont pas non plus besoin d’être représentés par des porte-paroles auto-proclamés qui ne respectent même pas les règles les plus élémentaires de l’imposition et de la solidarité entre les générations. C’est ainsi que Raquel Garrido, porte-parole des Insoumis, égérie des plateaux de télévision où elle est devenue officiellement chroniqueuse sur C8 – une chaîne rappelons-le détenu par un « grand ami » de l’extrême gauche : Vincent Bolloré. Mais sa principale activité est censée être le métier d’avocat.

Il n’est pas sûr qu’être défendu par la franco-chilienne insoumise soit une bonne idée, car ses notions de droit sont plus que douteuses. La preuve en est que depuis six ans, elle a oublié de payer ses cotisations sociales à la caisse de retraite des avocats. L’information publiée dans le Canard Enchaîné n’a fait l’objet d’aucun démenti ou de déclaration de la part de celle qui squattait encore il y a peu les plateaux de télévision. Pour gueuler, il y a du monde, mais dès qu’il faut payer la note ou se justifier de ne pas l’avoir fait, le silence est d’or. Plus de 32 000 euros d’impayés, on comprend aisément que la première réaction soit mûrement réfléchie… Garrido n’a plus aucune crédibilité si tant est qu’elle en eut une.

Non ! Un terroriste n’est pas un « martyr »

Dans un autre registre, mais qui illustre lui aussi le dégoût que suscite l’extrême gauche, la palme revient à Sonia Nour, collaboratrice à la mairie de La Courneuve. Celle qui se définit comme militante communiste et décoloniale a posté sur les réseaux sociaux un message qui fait froid dans le dos à propos de l’attentat de Marseille : « Quand un martyr égorge une femme et poignarde une autre là ça fait du bruit. Terrorisme, du sang, civilisation bla bla bla… Par contre que le terrorisme patriarcal nous tue tous les deux jours on l’entend moins votre grande gueule ». Outre le langage ordurier qui vient conclure cette saillie, qualifier le terroriste de « martyr » est un outrage à la mémoire des victimes et à la nation française. En droit, cela s’appelle « apologie du terrorisme ». Le maire communiste de la charmante bourgade qu’est La Courneuve a été obligé de condamner ces propos et de suspendre sa collaboratrice. La Justice fera-t-elle son travail ? Comment peut-on avoir de tels individus dans nos mairies ?

Et pour bien faire comprendre dans quel camp elle se place, elle minimise l’horreur des crimes terroristes et conclut avec un superbe : « Suite au déferlement de haine des fachos, je viens de me faire suspendre de mon taf et je vais en conseil de discipline pour un statut Facebook ». Etre quelque peu réservé à l’endroit du terrorisme est synonyme d’esprit fascisant pour certains… Des propos incroyables qui montrent le degré de dépravation d’une certaine gauche coupable de s’allier avec tous les ennemis du genre humain pour espérer ne pas sombrer trop vite dans les oubliettes de l’Histoire. Rassurez-vous mesdames et messieurs les gauchistes, les crimes passés et présents dont vous êtes si fiers ne seront pas oubliés.

 

Source : 24heuresactu

dimanche, 01 octobre 2017

Énorme bide pour la "journée des casserolades" de Mélenchon

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2017

 
 

Manif. La France insoumise avait appelé ses partisans à descendre dans la rue de plusieurs villes de France avec des casseroles pour protester contre la loi Travail, samedi 30 septembre.

L'appel aux "casserolades" lancé par la France insoumise n'a pas déplacé les foules, ce samedi 30 septembre. Des événements ont eu lieu dans toute la France mais ont peiné à rassembler plus d'une dizaine de personnes à chaque fois. Selon le décompte de l'AFP, seule la manifestation de Marseille a mobilisé plus d'une centaine de mécontents. Ailleurs, à Grenoble, Rennes, Lille, Bordeaux, Pau, Caen ou La Rochelle…, c'était morne plaine.

Les casseroles ou les pavés

À Paris, selon les images diffusées sur Twitter par la conseillère municipale Danièle Simonnet, quelques dizaines de militants seulement ont tambouriné sur leur casserole devant l'Assemblée nationale et dans le XIXe arrondissement. "Il faut continuer dans l'élan du 23 septembre pour montrer qu'on ne lâche pas le Code du travail, s'autopersuade Françoise, plaque de cuisson en métal à la main. "La casserole, c'était je trouve assez bon enfant, une façon de continuer le combat sans lancer des pavés."

Le 23 septembre dernier, Jean-Luc Mélenchon avait rassemblé environ 50 000 personnes place de la République, à Paris, pour protester contre les ordonnances voulues par Emmanuel Macron afin de réformer le Code du travail. Un chiffre considéré comme faible pour une manifestation parisienne effectuée un week-end sous le soleil.

 

Source : valeursactuelles

vendredi, 29 septembre 2017

Le vrai visage des apparatchiks mélenchonniens : Caroline Fiat attaquée aux prud’hommes

Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2017

apparatchiks,caroline fiat,mélenchon,prud'hommesIl faut voir le Méchencon, pardon, le Mélenchon, parader à la télévision et voulant incarner la morale républicaine. Mais généralement, à force de distribuer de la moraline, la gauche n’en a même plus pour elle.

Nouveau scandale, donc, impliquant le Front de Gauche et la France insoumise en plis…  Cette fois, il s’agit de Caroline Fiat, aide-soignante et par ailleurs députée de Pont-à-Mousson, dans la Meurthe-et-Moselle.

Alors que son chef braille sa volonté de défendre le « droit du travail », Fiat roule dessus avec allégresse : son ancien attaché parlementaire peut en témoigner, si on en croit cet article de Kevin Grethen, paru dans le Républicain Lorrain du 24 septembre :  « Elle le confesse :

« Je ne m’attendais pas à être députée. Et donc pas à être employeur… » Voilà que Caroline Fiat (La France insoumise) va découvrir le conseil de prud’hommes de Nancy, dans la peau du patron attaqué par un salarié. Gênant en cette période de grogne sociale Un ancien et éphémère attaché parlementaire a lancé cette semaine une procédure contre la députée de la 6e circonscription de Meurthe-et-Moselle (Pont-à-Mousson – Jarny). Il conteste l’arrêt brutal de son contrat à durée indéterminée au milieu de l’été. Et s’indigne de la façon de procéder de la nouvelle élue de La France insoumise. Choisi après les élections législatives pour gérer une partie de la communication de Caroline Fiat, ce jeune homme reçoit un contrat de travail type de l’Assemblée nationale. « Où il n’y a que des cases blanches. Rien n’était renseigné », s’étonne Me Thomas Hellenbrand, avocat du plaignant. « Il n’y avait aucune information sur la rémunération, le temps de travail, le statut du salarié, le lieu de travail… Rien. Cela démontre une certaine impréparation. » Son client livre des documents et signe le blanc-seing. Il dit aujourd’hui n’avoir jamais reçu son contrat en retour. Et ignore de quelle façon les cases ont été comblées. Mais comme tout se fait dans un climat de confiance, il commence son travail le 1erjuillet. « J’ai envoyé ces documents vierges en demandant à mon équipe de donner leurs informations personnelles, numéro de Sécu, etc., afin de gagner du temps », justifie la députée, quelques heures avant le rassemblement à Paris au côté de Jean-Luc Mélenchon pour la défense du Code du travail. « On s’est quand même assis autour d’une table pour discuter du contrat. » Le salarié reçoit son certificat d’adhésion à la complémentaire santé des attachés parlementaires. Fin juillet, il est payé. « Mais il ne reçoit pas de bulletin de salaire », assure Me Hellenbrand. Courant août, l’attaché parlementaire apprend qu’il va être remplacé. « Il ne bossait pas. Je n’étais pas du tout à l’aise avec ça, mais il fallait faire quelque chose », regrette Caroline Fiat, embêtée par cette affaire. « Avec mon suppléant, dont il est proche, on lui a parlé, souvent. Ça ne suffisait pas de tweeter mes commentaires Facebook. » « Ce n’est pas possible d’agir ainsi et de mépriser les règles du Code du travail », tacle l’avocat messin, alors que Caroline Fiat estime avoir mis fin au contrat durant la période d’essai. Le plaignant et son conseil considèrent, eux, que le contrat de travail n’étant pas valable, il doit être requalifié en CDI à temps plein sans période d’essai. Dès lors, son licenciement serait dépourvu de cause réelle et sérieuse. « Les gens qui me connaissent savent que je n’ai pas fait ça de gaieté de cœur », assure la députée. « Cela tombe à un moment où on cherche à fragiliser les contrats de travail. Il faut éviter les abus et éviter de mépriser le salarié, grince Me Hellenbrand. Ce dossier est un bon exemple de ce qu’il ne faut pas faire. » ».

On remarque encore toute la tartuferie d’une certaine gauche, qui prend ses aises avec les droits des travailleurs. Rappelons que la CGT a été condamnée aux prudhommes à plusieurs reprises (notamment en 2012), que Marc Blondel, feu le boss de FO, avait été épinglé pour les conditions de travail de ses chauffeurs, n’ayant pas percuté que l’esclavage était aboli… Après le piston népotique accordé à sa fille, digne de feue l’URSS, ses voyages en avion en première classe loin du peuple, ses élues qui soutiennent les grilleurs de poulets en compagnie de politiciennes racistes, Mélenchon montre son vrai visage, un révolutionnaire en carton-pâte, un guérillero en papier mâché…  Ce qui ne le rend pas, bien au contraire, moins dangereux… Car, et les mois qui vont suivre le prouveront, Mélenchon va devenir la dernière carte d’un régime républicain aux abois…

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 28 septembre 2017

Islamo-Gauchisme-Douce France : Mélenchon et la tentation de la violence

Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2017

PAR  LE 

Mélenchon et la tentation de la violence

By Eric Verhaegheeric-verhaeghe.entreprise.news septembre 24, 2017

 
 

On a bien tort de sous-estimer Mélenchon. Depuis des années, ses petits copains socialistes l’ont pris pour un vulgaire démagogue. Après des années de haine et d’incertitudes, il a fini par leur mettre des centaines de milliers de voix dans la vue. Il est comme ça le Chavez de l’Essonne: il tonitrue, il se fait moquer, mais les moqueries le renforcent, et à la fin ses oraisons tribuniciennes lui ouvrent la voix.

Les erreurs les plus fréquentes commises sur Mélenchon

Sur Mélenchon, on ne compte plus les lieux communs erronés qui circulent.

Le premier d’entre eux est de croire qu’il n’est pas révolutionnaire. Son recours répété à la rue le montre. Certes, Mélenchon n’appelle pas aux armes. Mais les siens ne manquent pas une occasion de faire l’éloge de la violence et ne cachent pas leurs intentions d’en finir avec une économie fondée sur l’entreprise privée.

Si on ne peut parler, avec Mélenchon, de bolchevisme ouvert, on peut en revanche voir en lui un marxiste-léniniste convaincu. C’est indécodable pour tous ceux qui ont oublié ce que voulait dire la dictature du prolétariat, mais Mélenchon cherche effectivement à réunir les conditions d’un basculement proche de celui de 1917.

Dans cet ordre d’idées, on arrêtera donc d’oublier la fascination de la France Insoumise pour la violence politique. Les pudeurs du mouvement dans la dénonciation de ce qui se passe au Vénézuéla le montre à tous ceux qui acceptent d’ouvrir les yeux.

On arrêtera aussi de répéter à l’envi que le charisme de Mélenchon ne se traduit jamais dans les urnes. Tôt ou tard, à force de ne pas être prise au sérieux par ses adversaires, la France Insoumise gagnera au moins une majorité relative qui lui permettra d’être incontournable, comme le NSDAP le fut en Allemagne, ou comme les communistes le furent en république tchèque en 1948.

Le retour de la dictature du prolétariat

Pour le reste, on a là aussi bien tort de ne pas prendre au sérieux les paroles et les programmes de Jean-Luc Mélenchon. L’intéressé ne cache pas sa fascination pour Lénine. Ses propositions convergent globalement pour fortement administrer l’économie française.

Tout le monde connaît les conséquences de ces mesures. Même sans une révolution brutale, une majorité insoumise à l’Assemblée nationale conduirait à des ruptures majeures dans notre organisation sociale au profit d’une collectivisation et d’une répression étatique liberticide.

Dans la pratique, ses appels répétés à la rue constituent déjà une ligne rouge que la démocratie ne devrait pas admettre. Reste à savoir quelle sera la capacité politique des adversaires de Mélenchon à réagir à cette stratégie dangereuse.

http://eric-verhaeghe.entreprise.news/2017/09/24/melencho...

 

Source : leblogalupus

Les aberrations historiques de Jean-Luc Mélenchon

Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2017

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La chronique de Philippe Randa

Jean-Luc Mélenchon aurait osé comparer l’actuel gouvernement Macron aux nazis en affirmant samedi lors de sa manifestation contre la réforme du Code du travail : « C’est la rue qui a abattu les nazis… »

Qui peut croire une telle contre-vérité ? Le régime hitlérien a été balayé par son écrasante défaite militaire et nullement par des causes intérieures au IIIe Reich ; défaite aidée, certes, par nombre de trahisons, mais nullement populaires !

L’historien Bernard Plouvier n’a pas manqué de le relever dans sa magistrale étude Traîtres et comploteurs dans l’Allemagne hitlérienne (1) : « En regard de la population allemande et autrichienne engagée dans l’expérience politique, économique, sociale et culturelle du nazisme, les traîtres n’ont été qu’une infime minorité, jouant toutefois un rôle fondamental lors de la guerre. […] Les agents recruteurs du Komintern et ceux du GRU ont trouvé, avant, puis durant la guerre, quantité de traîtres dans l’aristocratie et le milieu des artistes, mais aussi dans le corps des officiers d’états-majors et des hauts fonctionnaires ministériels (les diplomates préférant généralement trahir en faveur des Alliés occidentaux, jugés plus raffinés). Ils ont misérablement échoué, en revanche, à débaucher de façon significative savants, techniciens et ouvriers, qui se sont révélés farouchement patriotes jusqu’à la débâcle, pour la quasi-totalité d’entre eux. »

Pour le leader de la France insoumise, revisiter l’histoire par la provocation, la bêtise, l’ignorance et la manipulation a sans doute été le meilleur moyen de faire oublier une mobilisation populaire somme toute décevante…

 

Source : synthesenationale