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samedi, 12 janvier 2019

Après la Libération, il faudra procéder à une Épuration

Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2019

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 Bernard Plouvier

... et cela aura un petit air de « déjà vu » !

Non seulement, il faudra punir les traîtres à la patrie qui auront favorisé l’essai de destruction de notre Nation par une immigration-invasion d’une ampleur incommensurablement plus grande que les tentatives perpétrées par les hordes de Huns ou de mahométans, jusqu’à ce que ces derniers reçoivent deux déculottées, près de Bordeaux et de Poitiers.

Mais aussi, il faudra se souvenir du traitement honteux infligé au peuple de France par Grand Président Macron, son joueur de poker favori, le sieur Castaner, et leurs hordes de flics déchaînés.

Dans l’article de Claude Janvier – excellent comme toujours, avec ce rédacteur enthousiasmant –, paru in Eurolibertés du 11 janvier 2019 cliquez ici, on lit une déclaration issue d’un syndiqué de France Police, exprimée fin décembre, où le zélé fonctionnaire se retranche derrière « les ordres des ministre, préfets et commissaires », pour justifier les yeux et les membres perdus de manifestants dits « Gilets jaunes », les centaines de personnes tabassées ou intoxiquées par les gaz projetés.

Il est bon de rappeler à nos pandores que, si certains d’entre eux sont de redoutables carriéristes sans conscience, ils ne sont pas des robots et que la Loi est faite pour eux comme pour tout autre citoyen.

L’article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (ONU) et l’art. 9 de la Convention Européenne des susdits ont reconnu une Liberté de Conscience (encore faut-il en avoir une !), soit – entre autres choses – le droit pour un militaire ou un policier de s’opposer à certains ordres, notamment ceux dont l’exécution est une flagrante violation de la Loi, comme le fait de tirer avec une arme potentiellement léthale (ou tueuse, comme on voudra) sur des individus désarmés. 

Comme le Bon Peuple ne doit pas trop espérer de ses « forces de l’ordre », censées le protéger, puisque ses membres sont soldés par le produit des impôts et des taxes, le Bon Peuple doit, pour l’heure, faire un effort de mémoire et se préparer à l’apurement des comptes... qui suivra l’inévitable période de Libération.

Nous avons connu Philippe Le Bel (Homme) et le Grand Charles (le Général de TSF bien connu). De nos jours, il faut compter avec Emmanuel Le Pétochard et ses sbires. C’est assez dire notre déchéance. Toutefois, même chez une Nation en déclin, le réveil des pauvres – forcément plus nombreux que les riches – est toujours dangereux. Macron and Co., manifestement ignares en matière d’histoire, risquent de l’apprendre à leurs dépens.

 

Source : synthesenationale

jeudi, 03 janvier 2019

Églises transformées en restaurants pour les pauvres, une mode à la Judas

Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2019

Signes de temps déchristianisés et apostats : les églises se vident du mystère eucharistique et de fidèles adorant leur Dieu dans l’humble hostie pour se remplir de bruits et d’agitation mondaine lors de déjeuners solidaires !

Le pape François a mis à la mode les repas pour les pauvres à l’intérieur des églises. Partout dans le monde, de New-York à Manille en passant par Rome et Ouagadougou,des édifices religieux sont transformés en grands restaurants où s’agite la jet-set ecclésiastique reconvertie en serveur de café sous les flashs des journalistes.

Dernièrement, c’est le cardinal Barbarin, archevêque de Lyon, qui, en calotte et tablier rouge, officiait en l’église Saint-Bonaventure de son diocèse lyonnais, lors d’un repas offert un dimanche midi à 700 convives dont 300 accompagnants sociaux. Pour un coût de 25 000 euros !

Pour la fête prochaine de l’Épiphanie, nombreuses seront les églises en Italie et ailleurs qui se consacreront, avec l’excuse d’aider l’humanité souffrante, à des repas festifs qui se croient sacrés quand ils ne sont qu’inappropriés, insultants et condamnables à tout point de vue.

Uniquement une nécessité extrême, telle une guerre ou une catastrophe naturelle, peut justifier l’utilisation de l’église comme refuge pour les populations. D’ailleurs les édifices publics et culturels, maisons des jeunes et autres salles polyvalentes, ne manquent pas pour ce genre de festivités sans qu’il soit nécessaire de transformer les églises en restaurants.

L’église est un édifice sacré, construite souvent avec l’apport et les sacrifices des riches comme des pauvres, qui témoigne de la présence de Dieu parmi les hommes. Abaisser cet édifice religieux à un usage profane est bien une profanation, une dégradation d’un lieu de culte, mais aussi une trahison du peuple chrétien et de ses pauvres : ces derniers ne sont plus des fidèles, riches ou pauvres qu’importe, venus cherchés l’amitié et la miséricorde du Seigneur mais sont ravalés au rang de simples hôtes occasionnels d’un curé, d’un évêque ou d‘un pape en recherche d’applaudissements mondains, nouveaux Judas de Nos Temps modernes.

Leur façon de mettre en avant les pauvres est tellement analogue à l’attitude de l’Iscariote : lui-aussi mettait en avant les pauvres pour s’approprier le parfum que Marie-Madeleine répandait sur les pieds du Seigneur, et ce afin de le vendre pour trois cent deniers. Et puis il vendit le Christ pour à peine un dixième !

Cette désacralisation des édifices religieux qui se revêt d’une fausse idée de la vertu de charité d’où la notion de culte et de révérence voués à Dieu en tout premier a totalement disparu n’est somme toute qu’un autre fruit funeste de la désacralisation de la liturgie accomplie par l’Église conciliaire : de l’autel tourné vers Dieu, on est passé lors de la révolution liturgique de Paul VI à la table eucharistique anthropocentrée. Aujourd’hui il ne reste plus que la simple table en plastique des repas solidairesLogique d’une déchéance annoncée par une apostasie qui n’est guère silencieuse…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 13 avril 2018

La science prouve que le communisme rend les nations plus pauvres et moins saines

Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2018

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Vivre sous le communisme rend les pays plus pauvres et moins sains pendant des décennies, selon une nouvelle étude historique.

Les chercheurs qui ont testé les relations historiques entre les cultures ont constaté que le fait qu'un pays ait été sous le communisme était le facteur le plus important pour ceux dont les niveaux de santé, de revenu et d'éducation étaient plus bas.

Dans un article publié dans la revue Royal Society Open Science, ils ont comparé ces facteurs à l'indice de développement humain des Nations Unies, qui mesure le revenu par habitant, l'espérance de vie à la naissance et le nombre d'années que les citoyens consacrent à l'éducation.

La plupart des points qu'ils ont examinés semblaient avoir peu ou pas d'effet sur les disparités entre les pays, à l'exception des pays islamiques qui ont un peu moins progressé en matière d'éducation.

Au lieu de cela, l'indicateur le plus fort pour la santé d'un pays, et le deuxième plus fort pour sa richesse, s'est révélé être si ses dirigeants avaient embrassé le communisme.

L'étude indique qu'après la Seconde Guerre mondiale, la croissance économique dans l'Europe de l'Est communiste a été plus lente qu'en Occident, mais malgré l'effondrement de l'Union soviétique il y a près de 30 ans, les effets se font toujours sentir.

L'étude indique que le communisme était également à l'origine de la stagnation de l'espérance de vie derrière le rideau de fer durant les années 1970 et 1980, ce qui fait prendre du recul à ces pays encore aujourd'hui.

Les chercheurs déclarent: "Les causes immédiates de cette faible espérance de vie sont complexes, mais une consommation élevée d'alcool, le tabagisme et une mauvaise sécurité au travail, ainsi qu'un régime alimentaire et des conditions de vie de faible qualité sont impliqués."

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

samedi, 17 février 2018

Indépendants : les limites du non salariat

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2018 

Rédigé par notre équipe le 16 février 2018.

Le salariat est une aliénation de l’être humain qui peut se révéler très malsaine. L’individu n’est plus qu’un subordonné qui accepte toutes les tâches qu’on lui donne dans l’espoir de toucher un salaire souvent faible et d’éviter le chômage par tous les moyens. Le salariat est une soumission plus ou moins volontaire à laquelle certains préfèrent le travail indépendant. Ce dernier est de plus en plus présenté comme la panacée, mais à y regarder de plus près indépendance ne rime pas souvent avec richesse.  

La sortie du salariat est souvent vécue comme une renaissance. Après des années à devoir s’écraser sous le poids d’un chef ou d’une direction méprisante, travailler pour soi donne un parfum de liberté. Maître de son emploi du temps, libre de mettre en pratique ses idées, le terme d’indépendant n’est pas usurpé même si des contraintes existent et pèsent parfois lourdement. Côté politique, l’indépendance est plus perçue (et vendue) comme un moyen de s’enrichir beaucoup et vite. Vous avez l’âme d’un entrepreneur ? Vous avez une idée géniale ? Lancez-vous, créez votre boîte et devenez le nouveau Bill Gates ! Macron pense que le rêve de tous les enfants est de devenir milliardaire alors allons-y gaiement !

Indépendants et pauvres

Pourtant une étude de l’INSEE parue cette semaine montre que les travailleurs indépendants sont loin d’être tous logés à l’enseigne de la réussite et des millions. Selon les chiffres officiels, ils sont 2,7 millions (hors secteur agricole – pas besoin de plomber des chiffres déjà mauvais) de non salariés à travailler. Pour 89 % d’entre eux, il s’agit de leur activité principale. A l’intérieur, les disparités sont énormes. Pour sortir gagnant de cette affaire, il faut avoir fait de longues études et endosser les habits de médecin, dentiste, pharmacien, comptable ou juriste. Généralement, ces professionnels émargent à plus de 4 000 euros par mois.

Le reste est beaucoup moins attrayant, un indépendant sur deux gagne moins de 2 290 euros par mois, un quart gagne moins de 1 100 euros par mois et un sur dix gagne moins de 480 euros mensuels. On est plus proche du cauchemar que du rêve jupitérien. Mais dire qu’on est auto-entrepreneur, c’est plutôt tendance. Le vent de l’entrepreneuriat souffle fort depuis mai 2017 et tant pis si les chauffeurs de VTC ont juste de quoi se payer un sandwich et le plein d’essence. Ils ne sont pas employés ! Ils sont libres ! Sauf que dans notre société, la misère impose des chaînes dont il est impossible de se délivrer. Il faut soit subir jusqu’à la fin de sa vie soit sortir du système.

L’image du self-made man, de l’entrepreneur parti de rien et qui a bâti un empire doit rapidement sortir de l’esprit des gens. Hollywood et la poudre de perlimpinpin sont là pour faire rêver. La réalité sonnante et trébuchante est bien moins attrayante. Mais au moins, les indépendants ont une qualité précieuse pour le politique comme Macron. Avec les trois clopinettes qu’ils parviennent péniblement à gagner et leur statut qui sonne bien, ils sont directement hors des statistiques du chômage. Et quand les statistiques sont bonnes, c’est une réélection d’assurée !

Riches (pas beaucoup), pauvres (beaucoup), voire très pauvres (beaucoup trop), peu importe pour nos politiques. Vive le travail non salarié !

 

Source : 24heuresactu

dimanche, 31 décembre 2017

La réalité française : plus de pauvres, plus de migrants

Publié par Guy Jovelin le 31 décembre 2017

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En cette fin d'année 2017, le nombre d'allocataires Français percevant le RSA (les plus pauvres qui n'ont aucune revenu) a considérablement augmenté selon les chiffres de la Caisse Nationale d'Allocations Familiales . En effet, près de 2,58 millions de foyers reçoivent le revenu de solidarité active (RSA), un chiffre en progression de 7% sur un an. Une progression constante depuis le début de l'année 2012, «à relier à la situation défavorable du marché de l'emploi, le chômage connaissant une croissance continue sur cette période», commente la Caisse nationale d'allocations familiales (Cnaf).

Sur ces 2,58 millions de foyers, plus de 2,4 millions résident en France métropolitaine, les autres habitant dans les départements d'outre-mer.

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Cette paupérisation croissante de la France est en réalité plus forte. Les plus pauvres des plus pauvres Français ne perçoivent rien du tout, et meurent en silence dans le froid et dans la rue, alors que les migrants et les musulmans intégristes bénéficient de confortables appartements chauffés, ou de châteaux réquisitionnés. notre confrère Riposte Laïque a enquêté sur ces SDF Français qui "crèvent" en silence, et dans l'indifférence générale sur les trottoirs des grandes villes, ou dans des tentes en toile dans les forêts aux abords des villes.

https://ripostelaique.com/sandra-44-ans-meurt-de-froid-dans-la-rue-les-clandestins-dorment-au-chaud.html

Selon une enquête du Figaro, "Fin 2015, le nombre de foyers allocataires du RSA avait dépassé pour la première fois la barre des 2,5 millions en France. Au 31 décembre 2015, d'après les dernières données publiées par la CAF, il y avait en effet 2,53 millions de foyers allocataires du Revenu de solidarité active. C'est 71% de plus que lors de sa création, en juin 2009.....". Tous ces chiffres fournis par les caisses d'allocations familiales masquent une réalité frappante : d'après une enquête de la Dares reprise par le comité d'évaluation du RSA, il n'y a en fait que la moitié des Français (51%) qui sont éligibles au RSA qui le réclament effectivement. Pour le RSA socle seul, c'est environ 35% tandis que pour le RSA activité seul, le «taux de non-recours» grimpe à près de 70%. La principale explication du non-recours? La plupart des éligibles croient qu'ils ne le sont pas. Il y a aussi une fierté des Français les plus pauvres, notamment dans les zones rurales. Pauvre France. Quand va s'arrêter cette descente aux enfers ?

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Francis GRUZELLE / Carte de Presse 55411

 

Source : lesobservateurs