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mardi, 07 juin 2016

Poutine a banni les Rothschild de la Russie

Publié par Guy Jovelin le 7 juin 2016

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Poutine a banni les Rothschild de la Russie

Le très courageux Vladimir Poutine a banni Jacob Rothschild et son cartel financier familial du Nouvel Ordre Mondial de mettre les pieds sur le sol russe « en toutes circonstances ».

Poutine a récemment rappelé à son cabinet qu’il a payé la dette des Rothschild et « que je l’ai attrapé par la peau du cou [Jacob Rothschild] et qu’il est sorti par la porte arrière d’un coup de pied au cul ».

Cette réunion comprenait le Président battant son poing sur la table et promettant de détruire le Nouvel Ordre Mondial, et selon une source du Kremlin Poutine a fait de grands progrès pour cet objectif.

« Ils ne possèdent pas le monde, et ils n’ont pas carte blanche pour faire tout et n’importe quoi. Si nous ne les confrontons pas il n’y aura pas de solutions. Nous ne les laissons pas nous ridiculiser. »

Les raquettes des banksters associés aux Rothschild étaient tel un nœud coulant attaché autour du cou de l’économie russe. Une fois que le nœud est serré, l’économie va mal et elle s’étouffe.

Au début de sa présidence, la priorité de Poutine était d’unir la Russie socialement, spirituellement et économiquement. Il a ordonné l’arrestation de l’oligarque Rothschild soutenu par Mikhaïl Khodorkovski qui avait fait des Rothschild, d’Henry Kissinger et d’Arthur Hartman des directeurs de la Open Russia foundation.

Il était si énervé par tous les banksters qui pullulaient en Russie, qu’il a donné un coup sur la table et s’en est débarrassé d’un geste de la main.

En tant qu’étudiant féru d’histoire, bien versé dans le monde des affaires, le président russe a étudié l’histoire de l’organisation la plus insaisissable du monde et comprend le rôle central que leurs collaborateurs financiers ont joué à fomenter les conflits internationaux majeurs du 20ème siècle.

Maintenant, ils veulent nous plonger dans la troisième guerre mondiale.

Les racines et branches envahissantes du Nouvel Ordre Mondial continuent à se répandre dans le monde entier, mais le président Poutine les a taillées dans son pays. Ceci est un coup majeur porté contre leurs plans de domination du monde et maintenant, ils le considèrent comme une menace réelle. Il les terrorise et leur fait peur, voici pourquoi les médias occidentaux ne ratent jamais une occasion pour « l’enfoncer. »

La réalité est que Poutine nous mène vers un monde multipolaire, à des années lumières du concept d’un seul gouvernement mondial, d’une seule religion mondiale etc… Quand il a envoyé ses forces en Syrie pour protéger un Etat souverain, il encore renforcé sa réputation en tant que leader puissant.

Les gens du monde entier commencent à le remarquer. La Russie est le dernier obstacle du Nouvel Ordre Mondial et Poutine mérite notre respect et soutien.

Your News Wire



Source : cybercomnet

vendredi, 06 mai 2016

Palmyre fête sa libération en musique avec l’orchestre symphonique de Saint-Petersbourg

Publié par Guy Jovelin le 6 mai 2016

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L’orchestre de Saint-Petersbourg dirigé par le célèbre chef d’orchestre russe Valéri Guerguiev a donné un concert symphonique dans l’amphithéâtre de la ville antique de Palmyre, reprise en mars aux barbares islamistes par la coalition syro-russe. Le concert est accompagné de belles images de la ville aux vestiges vieux de plus de 2000 ans, ville classée comme patrimoine mondiale. La date du concert coïncide avec celle de la remise de la dépouille à la Russie de l’officier russe, Alexandre Prokhorenko, mort en héro à Palmyre.

Le concert est intitulé « Prière pour Palmyre: La musique redonne la vie aux anciens murs ». 400 spectateurs, dont de nombreux militaires, y ont assisté.

Vladimir Poutine a salué le concert comme un « extraordinaire acte d’humanité ». « Je le considère, a-t-il déclaré en outre, comme un signe de reconnaissance, d’hommage et d’espoir. La reconnaissance à tous ceux qui luttent contre le terrorisme sans ménager leur vie même, l’hommage à toutes les victimes du terrorisme et, bien sûr, l’espoir non seulement pour la renaissance de Palmyre, mais aussi pour la libération de la civilisation moderne de ce mal terrible, le terrorisme international », a notamment déclaré le président russe.
Ce concert intervient aussi, alors que l’armée russe a complètement terminé le déminage du site. Le président russe s’est engagé, par ailleurs, en coopération avec le pouvoir syrien, à restaurer les ruines antiques dans l’état où elles se trouvaient avant que l’Etat islamique en ait fait sauté une partie et vendu une autre partie.

Version courte du concert:

Version longue:

emiliedefresne@medias-presse.info

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 06 avril 2016

Les nouveaux « Collabos » et le Héros

Publié par Guy Jovelin le 6 avril 2016

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Dr Bernard Plouvier

En ce printemps de l’An 2016, les Européens de l’Ouest et ceux de l’Est s’opposent de façon caricaturale dans leurs rapports à l’islam conquérant et aux djihadistes.

À l’Ouest, rien de nouveau ! En Allemagne, une ex-violée de la Saint-Sylvestre déclare comprendre la frustration sexuelle des immigrés maghrébins et regrette d’avoir porté plainte. Le pape François hurle ses imprécations contre les Européens égoïstes qui refusent d’accueillir davantage d’Africains, noirs et maghrébins, de Proche et de Moyen-Orientaux… en majorité musulmans !

En France, on dépense quelques millions d’euros dans une grande campagne de lutte contre le racisme : Tous unis contre la haine, qui a pour but de faire croire aux crétins décérébrés que la France est peuplée de millions de vilains Blancs racistes, agressant, par simple joie de nuire, du gentil Noir, de l’adorable Maghrébin, du vertueux Turc (variantes : Proche- ou Moyen-Oriental). Cette coûteuse absurdité va jusqu’à nier l’existence même du racisme anti-Blancs.

Un ou une carriériste d’Air France veut faire porter le voile islamique aux hôtesses de l’air d’origine européenne pour les vols à destination de l’Iran ou qui en proviennent… et par la suite, on imagine que cette mesure de prostitution commerciale sera étendue aux lignes desservant les autres États islamiques.

On ne compte plus les mosquées, en Belgique, en France, en Scandinavie, où imams et oulémas gueulent tous les vendredis soirs leur haine de l’infidèle. Et pendant ce temps, d’honnêtes politiciens, à la recherche des voix d’immigrés, bradent terrains et bâtiments municipaux pour permettre l’édification de nouvelles mosquées (qui servent parfois aussi de salles de sport de combat).

En France, le porc est interdit dans les cantines scolaires et, bientôt, il sera difficile de trouver une viande qui ne soit pas halal.

En Belgique, à Molenbeek, des rejetons de l’immigration arabo-musulmane et congolaise se sont violemment affrontés à la police anti-émeute le 1er avril, ce qui a occasionné les habituelles scènes de pillage et de vandalisme, en plus de l’écrasement d’une Belge par un gentil chauffard maghrébin… les contribuables et les assurés belges paieront la note. Une élue locale, probablement hautement intellectualisée, a incriminé, non les émeutiers immigrés, mais des « fascistes ». Renseignements pris, des militants de Génération Identitairevoulaient manifester, mais ne l’ont pas fait : ils ont respecté l’interdiction qui leur avait été signifiée par le chef de la police du Grand Bruxelles. Mais les extra-Européens ont trouvé bonne l’occasion de démontrer ce dont ils sont capables à tout moment : rébellion, émeute raciale et destructions. Cela, c’est la façade Ouest de l’Europe.

À l’Est, une lueur d’espoir naît. Il existe, là-bas, un homme d’État qui a pris conscience du péril. Là-bas, il existe des héros prêts à mourir pour combattre l’islam conquérant. Pendant que les politiciens français, belges, allemands etc. donnent des milliards d’euros à la Turquie (où l’on tente de devenir une puissance nucléaire), des soldats russes se battent en Syrie, au sol et dans les airs, contre l’État Islamique, où le calife Abou Bakr II coordonne les attentats qui ensanglantent l’Europe.

Il y a quelques jours, le lieutenant russe Alexandre Prokhorenko s’est battu jusqu’à la mort face aux djihadistes. Sa mort glorieuse a enthousiasmé les vrais Européens. Quelque part à l’Est, l’on forme encore de vrais soldats, qui savent pourquoi ils se battent et qui le font jusqu’au sacrifice suprême s’il le faut, non pas dans des missions de police, mais en combattant le Mal à la racine.

À l’Ouest, clowns des media et pitres politiciens globalo-mondialistes pérorent sur un inexistant « péril fasciste » et sur la très curieuse « nécessité » d’accueillir encore des millions d’extra-Européens dans un continent en voie de paupérisation et en proie à un énorme chômage.

À l’Est, on envoie des troupes écraser le Mal, de façon à y réexpédier les réfugiés pour qu’ils puissent de nouveau vivre chez eux, pour moderniser leurs pays (Libye, Irak, Syrie, Afghanistan, Yémen etc.), en exploiter les richesses naturelles, échanger avec les pays développés le produit de leur travail et ne plus vivre en état de boulets économiques pour les peuples civilisés.

Le véritable humanisme est de pacifier les pays islamiques, ravagés depuis que George Bush Jr et Hussein Obama en ont donné l’ordre, de façon à ce que leurs ressortissants puissent travailler et entrer dans le monde du commerce équitable, valeur contre valeur, sans vivre aux crochets des Nations qui sont devenues prospères, en deux millénaires, à force de travail. Paix et Travail seront plus profitables à l’humanité que le triomphe d’une religion où un chef de très haute volée encourage ouvertement les assassinats et les attentats terroristes.    

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

mercredi, 30 mars 2016

Le Figaro, amnésique pour les nuls

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2016

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La Russie serait le fantôme de l’opéra géopolitique au proche-orient si on en croit le Figaro. Le magazine padamalgame multiplie les articles à sensation qui ne citent pas l’intervention déterminante de l’armée Russe en Syrie. En revanche, tous les mérites de l’amélioration provisoire reviennent à l’action coordonnée des euro-atlantistes, dont les faits héroïques rappellent franchement ceux des chevaliers toutou-nique.

Si les ressources financières de l’État Islamique se sont affaiblies, notamment après la destruction d’une partie de ses installations pétrolières, la Russie n’y est pour rien. Ah ça non, car Marine Rabreau, journaliste au Figaro, nous explique cette semaine que c’est là le travail de la coalition internationale (États-Unis, France, Royaume-Uni, Canada, Australie, Allemagne, Italie).

Sans aucun complexe, la guerre éclair déterminante de l’armée russe n’est même pas citée ! Extraordinaire journaliste qui s’épanche en explications vaseuses, digne représentante du prêt à penser de la désinformation, vraiment insupportable. Accrochez vous, c’est parti :

«Stopper complètement le pétrole de Daech plongerait les quelque 10 millions de civils sous contrôle dans l’incapacité de se déplacer, de travailler, de manger et de se soigner». C’est pourquoi l’État islamique n’est pas totalement inutile, selon les dernières estimations de l’experte en terrorisme.

C’est pourtant oublier que l’État Islamique se livre aux trafics d’organes, d’êtres humains et de drogue, aux vols d’antiquités, et aux rançons qui représenteraient selon la journaliste du Figaro, environ 20% des recettes globales de l’organisation terroriste. Par surcroît, les maffieux islamistes ont mis le paquet sur les extorsions imposées aux habitants et aux entreprises des territoires occupés, extorsions qui représenterait désormais 40% de leurs recettes globales.

Donc pour lutter contre ce fléau, les méthodes de la coalition internationale sont drôlement efficaces : Bruxelles a recopié une liste de 142 bureaux de change suspects, liste dressée par la banque centrale irakienne sous contrôle de l’État Islamique. La collaboration va bon train, comme nous pouvons le remarquer. Mais la piste se termine sur le pas de la porte, car les intermédiaires se promènent à travers le désert irakien avec des valises de Cash, pour finalement être accueillis comme des frères en Turquie. Peut-être pourrait-on relancer «perdu de vue», la célèbre émission du PAF qui provoqua des merveilles de retrouvailles en son temps révolu.

Mais ce n’est pas tout, la Commission européenne a lancé Son «plan d’action» contre le financement du terrorisme, ardemment réclamé par la France après la vague d’attentats qui a frappé Paris en 2015. Donc nous avons un plan, nous voilà rassurés. D’autant que ce plan a été adopté par les 28 membres réunis à Strasbourg sous la houlette de son vice-président Letton : «Toutes les mesures présentées aujourd’hui devraient être menées d’ici à fin 2017», a précisé le fameux Letton lors d’une conférence de prusse.

Mais il y a tout de même un hic, ce plan n’est pas encore validé par le Parlement et le Conseil européens. Malgré ce contre-temps, les ministres Français ne sont pas à la traîne puisque notre Sapin Michel a déclaré : «Je souhaite que nous allions vite dans la mise en œuvre du plan». Si ce souhait n’est pas un gage d’efficacité, il est tout de même un preuve de bonne volonté. Ne soyons pas trop sévères.

Parce qu’il faut savoir qu’il existe des cartes bancaires non nominatives, avec lesquelles les terroristes peuvent se payer des appartements, des voitures et des armes, retirer de l’argent aux distributeurs, et tout ça sans jamais montrer une quelconque pièce d’identité. Ma Mastercard est fantastique ! Il s’agit des fameuses «cartes prépayées», auxquelles il aurait fallu penser si nous étions des terroristes et si les banquiers ne les avaient pas déjà inventées. Bercy a révélé leur utilisation dans la préparation des attentats du 13 novembre. Élémentaire mon cher Watson, puisque même les mineurs sont autorisés à utiliser ces cartes bancaires anonymes. C’est tellement facile, les terroristes n’ont finalement pas beaucoup de mérites.

L’élimination des gros billets de 500 euros devrait également faire partie des mesure phares du plan, car ils faciliteraient trop les voyages touristiques des passeurs de valises, et auraient explosé ces derniers temps, sans même que la banque centrale européenne ne s’en soit rendue compte. Tous ces billets imprimés sans inventaire, c’est fantastique une banque centrale qui donne sans compter.

N’ayons pas peur du ridicule, pendant que la Russie sacrifie des hommes et du matériel pour nous protéger, Bruxelles prévoit une «directive contre la création de sanctuaires du terrorisme dans l’Oignon», les députés français autorisent les «cyber-douaniers», «assouplissent l’usage des armes», «légitiment la défense différée», on verra plus tard, le président français nous la joue papy-poule et «plaide pour un État de droit protecteur», les marques en profitent pour accuser les terroristes de contre-façons (d’explosifs ?), et pour couronner la clownerie occidentale, la loi Taubira «contre le crime organisé et le terrorisme» fut dévoilée à la veille des attentats les plus meurtriers en France depuis le début de ce nouveau siècle.

Mais malgré tout cela, le Figaro continue de vouloir travestir la vérité sur le cheminement du conflit au proche-Orient, et prétend masquer le poids géopolitique gagné par la Russie dans le règlement du conflit. Pathétique !

 

Source : http://24heuresactu.com/

mercredi, 16 mars 2016

Syrie : Qué pasa, Vladimir ?

Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2016

Qué pasa, Vladimir ?

15 Mars 2016 , Rédigé par Observatus geopoliticus Chroniques du Grand Jeu

En annonçant le retrait d’une partie des forces russes de Syrie, Poutine vient encore de prendre tout le monde par surprise. Et déjà affleurent les commentaires étonnés, médusés ou cyniques.

Certains de se demander « pourquoi et pourquoi maintenant ? », alors que la Russie et ses alliés sont en plein momentum comme on dirait en rugby, en plein élan victorieux. Certes, l’intervention russe a considérablement changé la donne sur et autour du terrain, et rarement autant aura été achevé avec aussi peu (moins de 50 avions, une broutille). Mais tout de même, pourquoi s’arrêter en si bon chemin, pourquoi ne pas en remettre une petite couche supplémentaire ?

Il est vrai que l’explication officielle – « les objectifs ont été globalement remplis » et cela « stimulera le processus de paix » – ne convainc qu’à moitié.

Passons sur les « La Russie est ruinée » ou « Poutine abandonne Assad » qui prêtent à sourire. Plus intéressantes sont les tentatives d’explication faisant état d’un accord avec les Etats-Unis chargés, en contrepartie, de mettre leur véto à toute velléité d’intervention turque ou saoudienne. Voire un accord secret avec Riyad : J’arrête de bombarder tes rebelles, tu diminues ta production de pétrole pour faire remonter les prix. Mais là encore, le doute subsiste : les Saoudo-turcs ne pouvaient de toute façon pas intervenir sous peine d’une guerre ouverte avec la Russie qui aurait très mal tourné pour eux.

Au-delà de placer la Russie au centre des négociations de paix, il y a peut-être (mais allez savoir avec ce diable d’homme) une explication beaucoup plus simple à la décision de Poutine. Le choix des mots est à étudier ici avec soin : « le retrait de la majeure partie des forces russes de Syrie » + « les bases navales et aériennes russes près de Lattaquié et à Tartous continueront à opérer normalement ».

Numériquement, le gros des troupes est constitué du bataillon d’infanterie qui protège la base aérienne ainsi que des conseillers militaires et sans doute des forces spéciales russes présentes sur le terrain. Toutes tâches qui peuvent, maintenant que la situation militaire s’est retournée et que la province de Lattaquié a été sécurisée, être assurées par l’armée syrienne ou les milices alliées. Mais les avions, les navires et les systèmes de défense anti-aérienne resteront, ce qui est évidemment la seule chose qui compte sur le plan militaire. L’annonce du président russe serait donc un non-événement, destiné à l’opinion russe mais ne changeant rien à l’état des forces sur le terrain.

 

Leblogalupus