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jeudi, 12 octobre 2017

La guerre civile a déjà commencé!

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

 
POSTÉ LE 10 OCTOBRE , 2017

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Voici quelques années, le courageux écrivain Laurent Obertone publia un essai intitulé « La France Orange mécanique ».

Il s’agissait de brosser un tableau de la réalité de l’insécurité dans notre pays.

Certes, ce tableau était noir et effrayant, mais il était surtout réaliste.

Naturellement, les politiciens qui, à la suite de Lionel Jospin, continuaient à croire qu’il n’y avait pas d’insécurité, seulement un « sentiment d’insécurité », étaient incapables de tenir compte de cette réalité.

Faute de prise en compte de la réalité, notre pays s’enfonce dans le chaos. En 2016, 3,7 millions de crimes et délits ont été enregistrés par les forces de l’ordre. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg.

D’après les estimations de l’Observatoire national de la délinquance et de la réponse pénale, il faut multiplier par 5 les chiffres officiels pour avoir une idée de l’insécurité. En d’autres termes, au moins 15 millions de crimes et délits ont été perpétrés en France en 2016.

Les politiciens peuvent, bien sûr, continuer à se voiler la face, en se disant que, dans leurs quartiers bien protégés, ils sont à l’abri.

Mais la seule légitimation de leur rémunération réside dans leur service de la population. S’ils ne servent pas, voire s’ils aggravent la situation du peuple en refusant de condamner les auteurs d’exactions, non seulement ils ne méritent pas leur salaire, mais ils méritent bel et bien de passer en Cour de Justice !

Or, si l’on observe, même d’un œil distrait, l’actualité récente, on ne peut manquer d’être frappé par la responsabilité des « belles consciences ».

Je les tiens déjà pour responsables des innombrables morts par noyade de candidats à l’immigration clandestine en Méditerranée.

C’est, en effet, parce que nous envoyons le message parfaitement clair que les immigrés clandestins sont les bienvenus chez nous – qu’ils y sont nourris et soignés, bien mieux que nos paysans qui ont trimé toute leur vie – que ces malheureux tentent la traversée sur des coquilles de noix, entraînés par des passeurs esclavagistes.

Mais les politiciens, les intellectuels et les juges laxistes sont aussi complices des terroristes.

Songez que l’assassin des deux jeunes Marseillaises était un clandestin présent sur notre sol depuis une dizaine d’années. Et, surtout, que, tout clandestin qu’il fût, il avait été interpellé une dizaine de fois, sans jamais être expulsé.

On ne peut pas prétendre faire la guerre au terrorisme – en limitant drastiquement, au passage, les libertés des Français honnêtes –, si on n’applique même pas les lois.

La réalité, c’est que l’appareil d’État est le principal responsable de ces morts – avec le salafisme qu’il laisse complaisamment se répandre dans plus de cent mosquées identifiées.

Il est vrai que l’État est tellement occupé à emm… les braves gens qu’il n’a plus de moyens à consacrer à la lutte anti-terroriste.

Il préfère augmenter le budget de l’Aide médicale d’État, destiné à soigner ceux qui sont illégalement présents chez nous, que celui de l’armée.

Il préfère dorloter les délinquants et persécuter ceux qui se défendent, comme Daniel Malgouyres qui a tué l’un de ses agresseurs, entré par effraction chez lui, et qui risque pour cela la prison.

L’État ne protège plus les Français, collabore avec les assassins par son laxisme et son idéologie prétendument « progressiste », mais lutte avec acharnement contre la légitime défense.

Ces politiciens « collabos » vont être rejetés.

La question est de savoir qui les remplacera. Et il est à craindre que ce soit la charia, si les Français ne se réveillent pas rapidement.

 

Source : les4verites

Les Américains soutiennent les terroristes islamiques en Syrie. Analyse

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

 

En Syrie se confrontent le camp ouvertement anti-terroriste: les Russes et leurs alliés, et le camp des terroristes masqués: les Américains et leurs alliés.  Ceux-ci utilisent sur le terrain les djihadistes qui passent volontiers d’une organisation islamiste à l’autre. Une nouvelle fois, alors que la Syrie est quasiment libérée des terroristes sous l’action conjointe de l’Armée syrienne régulière et de l’Aviation russe, les USA, pour de sordides desseins de domination énergétique et stratégique qu’ils disputent à la Russie, sabotent la paix et relancent le terrorisme islamique qui étend ses ravages jusque sur le sol américain.

En effet, une nouvelle fois le ministère russe de la Défense a mis en garde contre une nouvelle tentative de torpiller le processus de cessez-le-feu, cette fois-ci dans le sud de la Syrie, à Deraa, à la frontière israélo-jordanienne, non loin de Damas. (Voir carte: Deraa est indiquée par une épingle rouge). Il est clair que les Américains, après avoir chassé les Soviétiques d’Afghanistan grâce aux talibans et à leur créature Al-Qaïda, tentent de reproduire le même scénario en Syrie, alors même que l’accusation de communisme ne peut plus être opposée aux autorités russes, accusation qui leur avait servi de prétexte dans cette guerre. Mais plus la Russie étend son influence au Proche-Orient et plus la domination US sur le continent européen risque de décroitre, raison supplémentaire pour ceux qui se veulent les maîtres du monde de tenter de relancer les hostilités en Syrie.

Le général Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense, précise que des combattants provenant des zones syriennes sous contrôle de la base américaine d’Al-Tanf, et plus précisément du camp de réfugiés de Rubkan, ont saisi deux colonnes de véhicules transportant des médicaments et des denrées alimentaires vers les localités de Khadjimi et de Khel. Les islamistes au nombre de 600 sont entrés en véhicules tout-terrain, dans la nuit du 2 au 3 octobre, via l’ancien point douanier de Tafas, à la frontière jordanienne, dans la zone de désescalade de Deraa:

«Par un énième étrange concours de circonstances, deux colonnes transportant des médicaments ainsi que des denrées alimentaires pour les habitants de la région sont entrées presque en même temps que [ces 600 djihadistes] dans la zone de désescalade» de Deraa, a poursuivi M. Konachenkov. 

«L’ensemble de l’aide humanitaire, et avant tout les médicaments, a été débarqué et se trouve entre les mains des combattants venus d’Al-Tanf», a-t-il encore indiqué.

L’activité déstabilisatrice de la coalition américaine sous autorité supérieure américaine, déjà dénoncée le long de l’Euphrate, se poursuit donc en son Sud névralgique, où les terroristes soutenus par les Américains peuvent facilement se réfugier derrière les frontières jordanienne et israélienne (deux pays alliés) qui se rejoignent au Sud de la Syrie, ou bien en surgir. Des opérations rendues plus délicates au Nord , en raison de la mauvaise volonté des autorités turques très agacées par le référendum d’indépendance kurde, les kurdes étant les alliés traditionnels des Américains.

Le général Igor Konachenkov avait en effet déjà dénoncé cette relance du plan déstabilisateur américain depuis le mois de septembre. Les militaires de la base américaine d’Al-Tanf (toute proche de Deraa et du camp de Rubkan) étaient dénoncés pour ne pas laisser passer les convois humanitaires sur le territoire de l’un des plus importants camps de réfugiés de Rubkan dans le sud de la Syrie.

Selon le porte-parole du ministère russe de la Défense, les réfugiés de Rubkan étaient pris en otages et servaient de «boucliers humains» au profit des manigances américaines de la base d’Al-Tanf. L’un des plus importants camps en Syrie, le camp de Rukban, est situé dans la zone de sécurité de Deraa, à proximité de la base américaine d’Al-Tanf, et abrite actuellement plus de 60.000 femmes et enfants provenant de Racca et de Deir ez-Zor.

Cependant,  «les Américains ne laissent approcher ni les convois des autorités syriennes, ni ceux provenant de la Jordanie, ni de l’Onu ni d’aucune autre organisation étrangère».

«Les réfugiés de Rubkan sont actuellement des otages, et plus précisément des « boucliers humains » poure la base américaine. Je rappelle qu’outre les Américains, seuls ceux que ces derniers sont venus combattre utilisent des barrières de « protection » de ce type en Syrie, et il s’agit de terroristes», a indiqué le porte-parole.

C’est sur la base US d’Al-Tanf que sont formés et équipés les combattants de la prétendue opposition syrienne armée pour la soi-disant lutte contre l’État islamique. En mai et en juin 2017, déjà, la coalition avait opéré des frappes meurtrières sur les troupes gouvernementales syriennes qui s’étaient rapprochées des détachements des djihadistes couvés par les troupes US d’Al-Tanf. Ces agressions avait repris dés le 28 septembre par une série d’attaques lancée par l’EI sur des troupes gouvernementales syriennes, toujours depuis la zone sous contrôle de «la mission militaire américaine». Notamment, dans la nuit du 27 au 28 septembre environ 300 djihadistes étaient partis de la localité de Rukban pour rejoindre, à bord de 4×4, la ville d’Al-Qaryatayn dans la province de Homs:

«Ces attaques terroristes présentent un seul point commun: elles ont toutes été lancées depuis la zone située dans un rayon de 50 kilomètres autour de la localité d’Al-Tanf, à la frontière jordano-syrienne. C’est-à-dire de la région où se trouve «la mission militaire des États-Unis». Les Américains n’ont pas laissé, même à une portée de canon, les troupes syriennes approcher de cette zone vers laquelle se dirigeaient des terroristes, avait déclaré le porte-parole du ministère de la Défense.

Alors que 304 terroristes de l’État islamique ont été éliminés en 24 heures ces derniers jours, par l’aviation russe dans la vallée de l’Euphrate [où se situent Racca et Deir Ez-Zor], la libération de la Syrie par l’alliance russe incite le Pentagone à redoubler d’efforts pour tenter de reprendre place en Syrie où d’importants gisements de pétrole ont été découverts dans ses eaux méditerranéennes, fût-ce en favorisant les ravages meurtriers de la guerre internationale et en maintenant sous respiration artificielle le terrorisme islamique.

Le général Igor Konachenkov a précisé que l’armée syrienne avait du déployer des efforts considérables pour neutraliser les troupes mobiles de l’État islamique sur la route qui relie Palmyre et Deir ez-Zor et pour libérer des terroristes de nombreuses localités:

«Si la partie américaine considère de telles opérations comme des « accidents » imprévus, les Forces aérospatiales russes en Syrie  sont prêtes à procéder à l’élimination totale de tous les « accidents » de ce type qui surviennent dans la zone se trouvant sous leur contrôle», a conclu le porte-parole du ministère russe de la Défense.

Et surtout il a de nouveau souligné que le soutien de la coalition américaine était le plus gros obstacle à l’élimination des terroristes, qui sans se soutien ne tiendraient pas. En effet, les troupes de l’EI disposaient, pour les attaques sur l’Euphrate, des coordonnées précises des troupes anti-terroristes de l’Armée syrienne que seul l’État-major US pouvait leur fournir.

Des renseignements «qu’on ne pouvait obtenir que grâce au renseignement aérien après traitement par des spécialistes. Elles avaient ensuite été soigneusement transmises pour la réalisation de sabotages et d’actes terroristes».

Des zones désormais revenues sous le contrôle de Damas, comme la quasi totalité de la Syrie. Ce qui explique que les attaques US sous faux-drapeau aient repris d’intensité au Sud du pays.

Le complexe militaro-industriel américain (qui a lui seul fabrique plus d’armes que l’ensemble des autres pays du monde) a su faire taire toutes velléités de paix en Syrie de la part du président Trump dont les pouvoirs semblent très minces face aux mastodontes que représentent  l’industrie de l’armement et les consortiums pétroliers. L’armement et le pétrole, tout comme les banques se trouvent dans des mains privées, dont les sièges sont établis aux USA, et tiennent ensemble le véritable gouvernement du monde actuellement, ou tout-au-moins le gouvernement de l’Occident. Ces entreprises privées dépassent de très loin le pouvoir politique US et celui de l’UE et le masque démocratique dont ils s’entourent. Emmanuel Macron, qui est un pur produit de la banque Rothschild, qui doit son élection au soutien des milliardaires, en est le parfait stéréotype.

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 17 septembre 2017

"ALLAH AKBAR": LES ATTAQUES DE DÉSÉQUILIBRÉS CRIANT QUE "DIEU EST GRAND" SE SONT MULTIPLIÉES DEPUIS 6 MOIS

Publié par Guy Jovelin le 17 septembre 2017

 
Un homme atteint de graves troubles psychiatriques a attaqué des passants et des policiers mercredi à Toulouse en hurlant "Allah Akbar". Plusieurs agressions de ce type, sans lien ni avec le terrorisme ni même avec l'islamisme se sont déroulées ces derniers mois, avec une régularité pour le moins étrange, en étant souvent le fait de déséquilibrés.
Les policiers sont souvent pris pour cible par ces individus isolés et passablement dérangés.
© DOMINIQUE FAGET / AFP/Archives 

L'homme de 42 ans a agressé mercredi 13 en pleine rue des passants et des policiers dans le quartier des Minimes à Toulouse aux cris de "Allah Akbar". Même si l'enquête n'a pas encore expliquée précisément les motivations de l'individu, le quadragénaire semblait passablement dérangé et avait en outre des antécédents psychiatriques. Il avait été hospitalisé dans un établissement spécialisé et en était ressorti en avril.

Or, ce n'est pas la première fois que des agressions commises par des individus psychiquement instables et agissant en pleine rue hurlant "Allah Akbar" se produisent. A chaque fois, plusieurs points communs se retrouvent: un homme isolé, menant une attaque violente mais désordonnée, poussant le cri de ralliement déjà entendu chez les islamistes, mais dont l'action n'est pas réellement menée pour des considérations terroristes, ni en lien avec la religion. Le nombre cas rien que sur les six derniers mois est déjà éloquent.

Dimanche 20 août, un individu a ainsi foncé sur des policiers dans le 18e arrondissement de Paris en hurlant les deux mots. Agé de 51 ans, il a été interné.

Mardi 25 juillet, c'est armé d'un couteau et muni d'un coran qu'un individu s'est retranché à son domicile avant d'attaquer des policiers intervenant sur les lieux à Villeurbanne, dans le Rhône. Il vociférait "Allah Akbar" en agitant sa lame de 40 centimètres quand les forces de l'ordre l'ont neutralisé avec des pistolets à impulsion électrique.

Dimanche 18 juin, c'est dans un secteur plus inattendu, la petite commune deLaroque-Timbaut dans le Lot-et-Garonne, qu'un agriculteur de 56 ans été poignardé à proximité de sa moissonneuse-batteuse par un trentenaire arrivé sur les lieux en scooter. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'agression s'expliquait par un différend au niveau du bruit de la moissonneuse. C'est pourtant bien aux cris de "Allah Akbar" que le quinquagénaire a été blessé.

Enfin, le vendredi 17 mars, un déséquilibré a semé la terreur dans un centre de soins à Flavigny, en Meurthe-et-Moselle où il s'tait introduit en hurlant également en arabe que "Dieu est grand" avant de s'enfuir. Devant la crainte d'un risque terroriste, d'importants moyens avaient été déployés pour retrouver l'homme qui s'avérait souffrir de troubles psychiatriques.

Ces cas de figure ne doivent bien sûr pas occulter les "vrais" attentats qui, rien que pour les trois dernières semaines, à Buckingham ou à Bruxelles, se sont déroulés aux cris de "Allah Akbar" en étant des attaques certes d'individus isolés, mais répondant à une logique terroriste, dans l'attente de confirmation officielle par les enquêtes actuellement en cours.

 

Source :francesoir

samedi, 19 août 2017

Terrorisme • Après Barcelone & Cambrils : une sage et juste maxime à l'usage des gouvernants ...

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2017

dimanche, 23 juillet 2017

Interpol publie une liste de 173 djihadistes formés pour frapper en Europe

Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2017

PAR 6MEDIAS

Publié le  | Le Point.fr

D'après "The Guardian", le réseau craint de nouveaux attentats commis par des terroristes de l'EI qui ont grandi sur le territoire européen.

Interpol a réuni des renseignements obtenus par les Américains en Syrie et en Irak.
Interpol a réuni des renseignements obtenus par les Américains en Syrie et en Irak. © AFP
La menace terroriste des combattants de l'organisation État islamique reste pesante en Europe, alors que le groupe a perdu de nombreux bastions en Syrie et en IrakLe quotidien britannique The Guardian a révélé vendredi 21 juillet qu'Interpol, l'organisation internationale de coopération policière, avait diffusé en mai dernier une liste de 173 djihadistes susceptibles de rentrer en Europe pour commettre des attentats en représailles au récent recul de l'EI au Moyen-Orient.