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jeudi, 25 septembre 2014

Pendant que la France agonise, l’UMP se divertit avec une nouvelle guerre des chefs

 

Publié par Guy Jovelin

Avant son intervention sur France 2 hier soir, le Journal du Dimanche publiait un entretien de Nicolas Sárközy dans ses colonnes. L’ex-président failli, auxquels les Français ont même préféré François Hollande, se plaçait en chef de l’UMP de fait organisant seul ce parti – avec un nouveau pour faire oublier les scandales passés – selon sa volonté.

« Je vais changer le nom du parti, mettre en place une nouvelle organisation, installer une relève et faire revenir les adhérents et donateurs pour redresser les comptes. […] Si je réussis cette nouvelle formation, ils [Alain Juppé et François Fillon] ne pourront plus me rattraper. »

Lors de son passage sur France 2 hier, il a évoqué à nouveau ses deux adversaires, avec un ton particulièrement condescendant : « Alain Juppé c’est un compagnon, j’aurai besoin de lui. Je n’ai pas vu qu’il était candidat à la primaire de l’UMP. J’aurai aussi besoin de François Fillon »a-t-il déclaré comme si la primaire n’avait pas lieu d’être.

Pendant que Nicolas Sárközy prenait la parole sur France 2 et lançait son appel à son « compagnon » Alain Juppé, ce dernier a fait paraître sur son site son programme, marquant autant son désintérêt pour son ancien chef de parti que sa volonté d’accélérer la cadence.

« Je ne suis pas une girouette. Si j’ai dit ça, c’est parce que j’y ai réfléchi, pensé, j’en ai envie et donc je vais aller jusqu’au bout. Je sais bien qu’aujourd’hui le match a commencé et que le tacle commence. On essaie de faire croire que je n’irai pas jusqu’au bout. Eh bien je vais en apporter la démonstration. Vous le verrez en 2016 et 2017 »avait-il précisé dans la matinée, témoignant ailleurs de sa haine toujours intacte contre le Front national. Lire la suite

lundi, 22 septembre 2014

Pendant que la France agonise, l’UMP se divertit avec une nouvelle guerre des chefs

Publié par Guy Jovelin

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Avant son intervention sur France 2 hier soir, le Journal du Dimanche publiait un entretien de Nicolas Sárközy dans ses colonnes. L’ex-président failli, auxquels les Français ont même préféré François Hollande, se plaçait en chef de l’UMP de fait organisant seul ce parti – avec un nouveau pour faire oublier les scandales passés – selon sa volonté.

« Je vais changer le nom du parti, mettre en place une nouvelle organisation, installer une relève et faire revenir les adhérents et donateurs pour redresser les comptes. […] Si je réussis cette nouvelle formation, ils [Alain Juppé et François Fillon] ne pourront plus me rattraper. »

chard-sarkozy_hollande_crise

Lors de son passage sur France 2 hier, il a évoqué à nouveau ses deux adversaires, avec un ton particulièrement condescendant :

« Alain Juppé c’est un compagnon, j’aurai besoin de lui. Je n’ai pas vu qu’il était candidat à la primaire de l’UMP. J’aurai aussi besoin de François Fillon »

a-t-il déclaré comme si la primaire n’avait pas lieu d’être.

Pendant que Nicolas Sárközy prenait la parole sur France 2 et lançait son appel à son « compagnon » Alain Juppé, ce dernier a fait paraître sur son site son programme, marquant autant son désintérêt pour son ancien chef de parti que sa volonté d’accélérer la cadence.

« Je ne suis pas une girouette. Si j’ai dit ça, c’est parce que j’y ai réfléchi, pensé, j’en ai envie et donc je vais aller jusqu’au bout. Je sais bien qu’aujourd’hui le match a commencé et que le tacle commence. On essaie de faire croire que je n’irai pas jusqu’au bout. Eh bien je vais en apporter la démonstration. Vous le verrez en 2016 et 2017 »

avait-il précisé dans la matinée, témoignant ailleurs de sa haine toujours intacte contre le Front national.

« L’intox a commencé […] je ne vais pas passer mon temps à me positionner par rapport à Nicolas Sarkozy, ce qu’il pense, ce qu’il est supposé penser ou ce que vous lui faites dire […] en matière d’ennuis judiciaires, vaut mieux pas se livrer à un match, hein »

s’est-il énervé après les premières violentes attaques de Nicolas Sárközy rappelant la condamnation pour corruption d’Alain Juppé.

« Je n’ai pas le culte des sauveurs, mais le culte des idées. Aujourd’hui, la question n’est pas de savoir qui peut battre François Hollande. A priori, tout le monde. […] Mon rôle au sein de la direction collégiale me commande de ne pas prendre parti, de rester au-dessus de cette compétition interne. Je ne donne aucune instruction »

a lâché de son côté François Fillon, sans même prononcer le mot de son ancien chef et tentant, lui aussi de se placer au-dessus de la mêlée. Comme ses deux adversaires principaux et tout comme Hervé Mariton et Bruno Le Maire, les déjà oubliés de la primaire.

Source : http://jeune-nation.com/2014/09/9538-pendant-que-la-franc...

lundi, 14 juillet 2014

Les dirigeants de l’UMP ne valent pas mieux que les footballeurs de Knysna ! (par François Falcon)

Publié par Guy Jovelin

 

Aux lendemains d’un mémorable France-Mexique lors de la Coupe du monde de 2010 en Afrique du sud, les Français atterrés apprenaient par la presse que Nicolas Anelka s’était permis de traiter Raymond Domenech de « fils de pute », que l’ambiance au sein de l’équipe était détestable et qu’une bande de caïd faisaient régner son injuste loi dans le centre d’entrainement de Knysna. Les révélations tombant les unes après les autres, d’aucuns s’attendaient à voir le triumvirat mis en cause – Ribery, Evra et Anelka – venir faire amende honorable. Au lieu de cela, le capitaine Patrice Evra se fendit d’une déclaration médiatique dans laquelle il affirmait, parlant de l’auteur des fuites dans la presse : « Le problème, c’est le traître qui est parmi nous. C’est ce traître qu’il faut éliminer du groupe. Nicolas Anelka n’est pas le problème ».

L’épisode provoqua une durable rupture entre la France et cette équipe, perçue comme le symbole de la caste bling-bling aux affaires, mais les observateurs les plus philosophes notèrent qu’il ne s’agissait là que d’une bande d’individus très jeunes et très peu éduqués et que c’est à tort qu’on en faisait l’emblème d’un pays et de sa classe dirigeante. Quatre ans plus tard pourtant, alors même que l’équipe de France s’est un peu rachetée, ce sont les leaders de l’UMP qui s’efforcent de surclasser leurs modèles footballistiques. Depuis l’affaire Bygmalion et l’éviction de Jean-François Copé, les révélations tombent en effet les unes après les autres dans la presse : vacances familiales au frais de l’UMP pour l’un, factures de téléphone à 10.000 euros pour l’autre, voyages en jet ou hélicoptère pour le troisième, salaires mirobolants pour les collaborateurs de l’ex-n°1 etc.

Si toutes ces indélicatesses ne sont pas avérées, on aurait cependant pu s’attendre à ce que le triumvirat qui dirige temporairement le parti fasse amende honorable en reconnaissant par exemple que l’argent des militants et des contribuables n’avait pas toujours été géré avec le sérieux attendu, que ce déballage allait être l’occasion de remettre à plat le fonctionnement du mouvement et que in fine, on allait y gagner en transparence.

Malheureusement pour la France, les caciques de l’UMP ont préféré la méthode Knysna : Alain Juppé s’est empressé de qualifier « d’absolument détestable cette pratique des fuites », Eric Woerth a déclaré à iTélé qu’il « fallait absolument savoir d’où ça vient » et Luc Chatel a lancé une mission d’inspection pour dénicher la taupe tout en faisant savoir à des journalistes que « le coupable allait payer ».

Tout bien considéré, il semble que ce ne soit là que la réplique droitière de l’affaire Cahuzac. A l’époque en effet, les déclarations des dirigeants socialistes ressemblaient étrangement aux commentaires des coureurs du Tour de France lorsqu’un des siens est convaincu de dopage : « Les idiots doivent payer », tel était le leitmotiv. Et l’idiot, lisait-on entre les lignes, ce n’est pas celui qui s’est dopé ou qui possède un compte dans un paradis fiscal, c’est celui qui a avoué ou qui s’était fait prendre la main dans le sac.

Il en est d’autres désormais qui ont le sentiment d’être les idiots et les dindons de la farce : ce sont les citoyens français. Beaucoup se demandent en effet s’ils n’ont pas imprudemment abandonné le pouvoir à des élus dont les considérations éthiques ne paraissent guère différentes de celles d’une équipe de cyclistes ou de footeux gavés de frics. Gageons que l’affaire de la taupe de l’UMP aura des conséquences politiques bien supérieures aux affaire Festina et Knysna.

Source

vendredi, 30 mai 2014

La nouvelle direction de l'UMP prépare le terrain aux islamistes (preuves)

Publié par Guy Jovelin

Le nouvelle direction de l'UMP prépare le terrain aux islamistes (preuves)
Titre excessif ? Merci de prendre 2 minutes pour lire ces faits vérifiables. Lire la suite