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mardi, 18 septembre 2018

Sanctions contre la Hongrie : le système a peur…

Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2018

 
Jean-François Touzé
Secrétaire national du Parti de la France
hongrie,sanctions,systèmeEn votant le 12 septembre (448 voix pour, 197 contre) pour l'ouverture d’une procédure pouvant, en vertu de l'article 7 du règlement de l'Union, déboucher, si elle allait jusqu’à son terme, sur des sanctions contre la Hongrie, le Parlement européen a voulu faire la démonstration de sa détermination à lutter contre ce qu’Emmanuel Macron qualifiait récemment de lèpre nationaliste et de crispation populiste, et que la députée Vert Judith Sargentini, rapporteur du texte, a décrit comme un « risque systémique contre les valeurs de l'UE ». Autrement dit, la volonté des peuples européens à résister à la submersion migratoire et à demeurer ce qu’ils sont chez eux, droit inaliénable volontiers reconnu, voire prôné, par l’ONU quand il s'applique à telle ou telle peuplade aborigène (« Droits des peuples autochtones »), mais fermement condamné quand il est revendiqué par les nations historiques européennes. 
En réalité, les députés « progressistes » de gauche et d’extrême gauche comme ceux du centre et d'une bonne partie de la prétendue droite n'ont fait la démonstration que de leur couardise et de leur fuite en avant sur la route fatale de l’immigrationnisme. Il est aussi permis de voir dans ce vote la marque d'un début de panique, grande peur des bien-pensants de tous bords face à la montée de la vague des résistances nationales.
 
Cette procédure dont les chances d'aboutir sont heureusement quasiment nulles malgré l'appui insistant de la Commission de Bruxelles, n'a, en effet, pu être adopté que grâce à la complicité de la pseudo-droite européenne regroupée au sein du très mal nommé Parti Populaire Européen (PPE) auquel appartient pourtant le Fidesz hongrois de Victor Orban.
 
Au cours de son intervention, solennelle et déterminée, devant les eurodéputés, ce dernier n’a pas cherché à convaincre son auditoire, dont il estimait que l'opinion était « déjà faite ». Combattif et véhément, il a dénoncé une « vengeance » de ses opposants et martelé qu'il ne céderait à aucun « chantage ». « Je n'accepterai pas que les forces pro-immigration nous menacent, fassent un chantage et calomnient la Hongrie sur la base de fausses accusations ».
 
Si ces forces pro immigration qu'évoquait Victor Orban, ont engagé le combat contre l'axe de la résistance qui se dessine en Europe et que la rencontre Orban/Salvini vient d'illustrer de manière emblématique, c'est que l'enjeu des prochaines élections européennes est pour eux vital : il s'agit pour les eurocrates immigrationnistes et mondialistes d'empêcher la diffusion salutaire de la substance réactive chimique naturelle qui pousse les peuples à ne pas mourir, et de dissuader d'autres pays de suivre les traces de la Hongrie, de l'Italie et de l'Autriche.
 
Il y va, en effet, de la survie du Système. Un Système qu'il nous faut abattre avant qu'il ne soit trop tard.
 
Le Parti de la France, incarnation politique de la vraie Droite nationale française, héritier de tant de combats menés pour les libertés, l'identité nationale et les valeurs civilisationnelles, s'inscrit dans ce grand renouveau populaire qui, de Rome à Berlin, de Stockholm à Vienne, de Budapest à Amsterdam, s’organise et peut demain embraser l'ensemble du continent dans le grand feu du réveil européen.
 
Et nous, nous ne céderons rien.
 
NDLR : Sur la Hongrie, lire le livre de Jean-Claude Rolinat, La Hongrie, sentinelle de l'Europe

lundi, 17 septembre 2018

LE PARTI DE LA FRANCE : PRÉPARONS LES LENDEMAINS !

Publié par Guy Jovelin le 17 septembre 2018

Le billet de Franck Timmermans. Zapping le 12 septembre : sur BFM-TV, un reportage dans le Var avec pour titre « Marine Le Pen dans le Var : la dynamique brisée ? ». Extraordinaire. Depuis un an, il y aurait donc eu une dynamique au RN dont j’ignorais tout.


Le Parti de la France :  Préparons les lendemains !
Je bats ma coulpe, et je regarde la suite. Une poignée de gauchistes qui hurle à l’approche de la Présidente du RN flanquée de ses caciques habituels. Une scène que son père a vécue un peu partout en France des centaines de fois en plus de 30 ans. Vraiment pas de quoi casser trois pattes à un canard et c’est à se demander si le journalisme émotionnel, évidemment calqué sur le grand frère d’outre-Atlantique, ne sombre pas davantage dans l’insignifiant, au-delà des excuses estivales. Et les seconds couteaux de la Tzarine d’en remettre une couche quitte à démontrer involontairement le manque total de l’organisation de leur réunion car on était loin, très loin d’une confrontation à la mode de Chemnitz ! Le lendemain, un cadre du RN du Languedoc m’appelle pour me donner nouvelles et impressions. Sur le psychodrame varois, même opinion, l’affliction en plus. Mais les autres déconvenues sont d’un tout autre tonneau.
La communication du Siège du RN de Nanterre s’enfonce dans le déni et la caricature car les dons attendus et reçus pour sauver « le premier parti d’opposition » sont en réalité très inférieurs en nombre et en montants à ce qui était espéré. Les renouvellements d’adhésion sont le symptôme le plus alarmant et les adhésions nouvelles proches de l’inexistant. Pire, le RN ne couvre plus depuis plusieurs mois la France en fédérations, des départements sont artificiellement dotés d’un responsable qui, parfois, n’est même plus adhérent ; pire encore, une très grosse fédération est, pour la première fois, en dépôt de bilan, incapable de régler dettes et fournisseurs, engagements que le Siège national n’est pas disposé à honorer. D’autres sombrent dans la zizanie permanente et les règlements de comptes. Et nous n’évoquerons pas les déboires judiciaires et financiers de la Présidente, en majeure partie dus à l’irresponsabilité de sa gestion, à ses méthodes cavalières comme à ses dépenses et embauches irraisonnables. L’extrême lassitude a emboîté le pas à l’extrême déception dans les rangs militants car il ne s’est rien passé de concret durant un an, ni rebond nécessaire ni autocritique évidemment.
Il est bien difficile de prétendre à l’honneur du premier rôle d’opposant quand, alors que vous pérorez contre la gabegie, le même qualificatif résume votre gestion ; quand, alors que vous pourfendez le fiscalisme, vos services harcèlent les fichiers de relances et ponctionnent les candidats ; quand, alors que vous préconisez de réduire les personnels de l’État, les vôtres enflent démesurément de fonctionnaires ou de courtisans. Le slogan « tête haute et mains propres » est bien loin.
Que faire ? Notre générosité et notre aide ne peuvent que soutenir un mouvement dont la gestion a été efficace et irréprochable, et c’est bien le cas du PDF *. Aucune solidarité des idées ne nous oblige donc à entretenir le tonneau des Danaïdes de Nanterre. Car, en plus, il ne faut pas oublier que la responsable de ces pitoyables résultats s’acharne sur le plan des idées justement depuis des années à dévier son mouvement des repères et enjeux fondamentaux de notre camp, notamment - et c’est la faute absolue - en niant l’existence d’un grand remplacement. C’est là une somme d’incompétences, de nuisances et de disqualifications. Mais que faire ??? Persévérer dans notre combat contre le Système, contre les gauches, car Mélenchon a désormais un boulevard, et contre ce grand remplacement ; mais aussi tendre la main aux militants locaux et sincères qui seraient tentés de tout abandonner, y compris un combat vital pour notre Pays, celui de la Résistance.
Les désaccords passés ne sauraient supplanter les obligations des mobilisations futures.
Si vous organisez des activités dans votre secteur, n’hésitez pas à y inviter des ex-adhérents du RN et des militants ou élus locaux abandonnés. Constituez-vous un fichier de prospection d’après vos propres archives et contacts évidemment, mais aussi en utilisant les listes FN des deux dernières élections municipales (donc depuis 13 ans environ). Ces listes, figurant sur les bulletins de vote, vous aideront à reconstituer certaines adresses d’anciens candidats de base en consultant la liste électorale en Mairie ou au Service des Élections de la Préfecture.
Le reste proviendra des relations personnelles par l’effet boule de neige. Dans vos relations avec les déçus, je vous recommande de ne pas rouvrir les plaies inutilement ni d’insister lourdement sur les erreurs commises. Ils n’y sont en fait pour rien. La convivialité et l’action seront vos arguments les plus décisifs pour les amarrer à nous. Vos choix et vos décisions reposeront donc sur l’urgence de l’union, sur la confiance rétablie et le travail militant.
Ne soyez jamais rancunier ni méprisant avec les militants, toujours respectables pour leur engagement patriotique fut-il parfois atteint de cécité à l’égard de leur hiérarchie.
Retrouver la vue est un bonheur à partager, à entretenir et à préserver. Je sais de quoi je parle.
 
* Pour donner utile, donnez au PDF.
  • par chèque à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT mandataire financier du P.D.F.” en adressant votre courrier au Parti de la France 6 allée des Templiers, 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche
  • par virement à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT, mandataire financier du P.D.F.” sur le compte bancaire LCL 30002 00453 0000691807 F 22 Paris Anjou 

Castres (81) : deux militaires sauvagement tabassés à coups de barre de fer et de manche de pioche par 20 individus dans une cité

Publié par Guy Jovelin le 17 septembre 2018

Par  le 17/09/2018

 

Les deux hommes ont expliqué avoir été pris à partie par une vingtaine d’individus qui auraient reconnu leur tenue de sport militaire.

Deux militaires, qui venaient faire leur footing, ont été agressés dimanche, en début d’après-midi, à Castres (Tarn) dans le quartier d’Aillot, a appris franceinfo de sources concordantes.

Ils ont indiqué avoir été roués de coups, notamment à l’aide de barres de fer, de pierres, et de manches de pioche. Les deux militaires du 8e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMA) souffrent de multiples contusions, mais leurs jours ne sont pas en danger.

(…) Franceinfo via fdesouche

Châteaudouble (83) : le centre d’accueil et d’orientation s’apprête à recevoir ses premiers migrants

Publié par Guy Jovelin le 17 septembre 2018

Par  le 16/09/2018 

Dix migrants, 72 à terme seront accueillis dans un centre d’accueil et d’orientation à Châteaudouble dans le Var. Visite guidée !

Dans le Var, la petite commune de Châteaudouble s’apprête à accueillir une première vague de pensionnaires. Dix hommes dans un premiers temps, seront logés dans un centre d’accueil et d’orientation. Ils y resteront pendant quelques semaines, le temps que l’administration se prononce sur leur demande d’asile sur le territoire français.

Trois par studio

Tout est étudié pour qu’ils puissent passer un séjour dans la sérénité. Ainsi, des studios sont prévus pour trois personnes, avec un coin cuisine et une salle de bain. il y aura des lieux de vie où ils pourront se retrouver.

Chacun d’entre eux recevra une allocation. 300 euros, le prix de l’autonomie.
Quelques jours après la visite houleuse de Marine Le Pen, présidente du Rassemblement National dans la commune, les habitants sont partagés sur l’arrivée de ces hommes.

francetvinfo.fr via fdesouche

C’était un 17 septembre 1793 : la « loi des suspects »

Publié par Guy Jovelin le 17 septembre 2018

Auteur : admin4

convention,liberté,loi des suspectsPetit rappel démocratique : le 17 septembre 1793, à la veille d’instaurer la Grande Terreur, la Convention vote la « loi des suspects ».

Elle permet l’arrestation de ceux qui « n’ayant rien fait contre la Liberté, n’ont rien fait pour elle ».

Tout le monde est menacé et les massacres vont prendre de l’ampleur.

Notez que les manuels scolaires préfèrent évoquer avec effroi les « lettres de cachet » royales.

 

Source : contre-info