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jeudi, 06 décembre 2018

Macron veut que l’UE sanctionne les pays réfractaires à l’invasion migratoire

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2018

Auteur : Philippe Carhon

Macron veut que l’UE sanctionne les pays réfractaires à l’invasion migratoire

Emmanuel Macron n’a vraiment rien compris à la volonté profonde des peuples européens :

Parlant d’une même voix, ils ont plaidé pour la mise en place de « centres fermés » sur les côtes européennes pour gérer les migrants qui débarquent de Méditerranée. Une proposition également appuyée par Berlin. Dans ces plateformes, les migrants attendraient l’examen de leur cas, essentiellement en Italie, pays principal d’arrivée actuellement, mais aussi en Espagne. Pour appliquer cette proposition, il faudrait que tous les pays européens acceptent d’accueillir les réfugiés qui obtiendraient le droit d’asile, quitte à les y contraindre.

Emmanuel Macron a ainsi brandi la menace de sanctions (financières ou institutionnelles) envers ceux qui refuseraient de le faire, comme l’ont d’ores et déjà annoncé les pays du groupe de Visegrad (Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie), très hostiles aux migrants. « On ne peut avoir des pays qui bénéficient massivement de la solidarité de l’UE et qui revendiquent massivement leur égoïsme national quand il s’agit de sujets migratoires », a-t-il lancé.

 

Source : lesalonbeige

mardi, 18 septembre 2018

Sanctions contre la Hongrie : le système a peur…

Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2018

 
Jean-François Touzé
Secrétaire national du Parti de la France
hongrie,sanctions,systèmeEn votant le 12 septembre (448 voix pour, 197 contre) pour l'ouverture d’une procédure pouvant, en vertu de l'article 7 du règlement de l'Union, déboucher, si elle allait jusqu’à son terme, sur des sanctions contre la Hongrie, le Parlement européen a voulu faire la démonstration de sa détermination à lutter contre ce qu’Emmanuel Macron qualifiait récemment de lèpre nationaliste et de crispation populiste, et que la députée Vert Judith Sargentini, rapporteur du texte, a décrit comme un « risque systémique contre les valeurs de l'UE ». Autrement dit, la volonté des peuples européens à résister à la submersion migratoire et à demeurer ce qu’ils sont chez eux, droit inaliénable volontiers reconnu, voire prôné, par l’ONU quand il s'applique à telle ou telle peuplade aborigène (« Droits des peuples autochtones »), mais fermement condamné quand il est revendiqué par les nations historiques européennes. 
En réalité, les députés « progressistes » de gauche et d’extrême gauche comme ceux du centre et d'une bonne partie de la prétendue droite n'ont fait la démonstration que de leur couardise et de leur fuite en avant sur la route fatale de l’immigrationnisme. Il est aussi permis de voir dans ce vote la marque d'un début de panique, grande peur des bien-pensants de tous bords face à la montée de la vague des résistances nationales.
 
Cette procédure dont les chances d'aboutir sont heureusement quasiment nulles malgré l'appui insistant de la Commission de Bruxelles, n'a, en effet, pu être adopté que grâce à la complicité de la pseudo-droite européenne regroupée au sein du très mal nommé Parti Populaire Européen (PPE) auquel appartient pourtant le Fidesz hongrois de Victor Orban.
 
Au cours de son intervention, solennelle et déterminée, devant les eurodéputés, ce dernier n’a pas cherché à convaincre son auditoire, dont il estimait que l'opinion était « déjà faite ». Combattif et véhément, il a dénoncé une « vengeance » de ses opposants et martelé qu'il ne céderait à aucun « chantage ». « Je n'accepterai pas que les forces pro-immigration nous menacent, fassent un chantage et calomnient la Hongrie sur la base de fausses accusations ».
 
Si ces forces pro immigration qu'évoquait Victor Orban, ont engagé le combat contre l'axe de la résistance qui se dessine en Europe et que la rencontre Orban/Salvini vient d'illustrer de manière emblématique, c'est que l'enjeu des prochaines élections européennes est pour eux vital : il s'agit pour les eurocrates immigrationnistes et mondialistes d'empêcher la diffusion salutaire de la substance réactive chimique naturelle qui pousse les peuples à ne pas mourir, et de dissuader d'autres pays de suivre les traces de la Hongrie, de l'Italie et de l'Autriche.
 
Il y va, en effet, de la survie du Système. Un Système qu'il nous faut abattre avant qu'il ne soit trop tard.
 
Le Parti de la France, incarnation politique de la vraie Droite nationale française, héritier de tant de combats menés pour les libertés, l'identité nationale et les valeurs civilisationnelles, s'inscrit dans ce grand renouveau populaire qui, de Rome à Berlin, de Stockholm à Vienne, de Budapest à Amsterdam, s’organise et peut demain embraser l'ensemble du continent dans le grand feu du réveil européen.
 
Et nous, nous ne céderons rien.
 
NDLR : Sur la Hongrie, lire le livre de Jean-Claude Rolinat, La Hongrie, sentinelle de l'Europe

dimanche, 24 juin 2018

Macron veut des sanctions financières contre les pays de l’UE qui refusent d’accueillir des migrants

Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2018

Par  le 23/06/2018

(…) Le président Macron s’est prononcé en faveur de sanctions financières envers les pays de l’Union européenne qui refuseraient d’accueillir des migrants. «On ne peut avoir des pays qui bénéficient massivement de la solidarité de l’UE et qui revendiquent massivement leur égoïsme national quand il s’agit de sujets migratoires».

(…) Le Figaro via fdesouche

mercredi, 29 mars 2017

Policiers grimés en Noirs lors d'une soirée: Le Défenseur des droits demande des sanctions

Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2017

JUSTICE Un manquement à « leur devoir d’exemplarité », selon le Défenseur des droits…Le Défenseur des droits, Jacques Toubon, le 26 février 2016 à Paris

Le Défenseur des droits, Jacques Toubon, le 26 février 2016 à Paris - Geoffroy Van der Hasselt AFP

20 Minutes avec AFP

Le Défenseur des droits, Jacques Toubon, a recommandé que des sanctions disciplinaires soient prises contre cinq policiers que des photos postées sur Internet en 2014 montraient grimés en Noirs lors d’une soirée privée, a-t-on appris ce mardi auprès de ses services.

Le Défenseur « recommande l’engagement de poursuites disciplinaires » à l’encontre des cinq policiers « pour avoir manqué gravement à leur devoir d’exemplarité » et « manqué de discernement » en « publiant sur les réseaux sociaux des photographies à caractère raciste », selon cette décision.


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Vous vous souvenez de la "soirée négro" organisée par des policiers du 94 en juin 2014 ? Le Défenseur des Droits vient de rendre sa décision

Les faits remontent à juin 2014, lors d’une soirée au cours de laquelle ces policiers du commissariat du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), en civil et hors service, s’étaient grimés en Noirs avant de diffuser les photos sur le réseau Facebook. Des associations s’étaient alors indignées de cette « soirée Blackface », un terme désignant les caricatures théâtrales de Noirs.

Le Conseil représentatif des associations noires de France (Cran), rappelant les « postures simiesques » et les « bananes à la main » des protagonistes, s’est félicité de voir que « le Défenseur des droits reconnaît que ces policiers ont commis un acte raciste ». A l’époque, l’avocat de l’une des mis en cause, Me Abraham Johnson, avait balayé ces accusations, assurant à l’AFP que « tout cela est un jeu, certes ce n’est pas très glorieux mais ce n’est en aucun cas du racisme ».

Le « blackface », une pratique raciste

Le Cran a, par ailleurs, relevé que « le Défenseur des droits reconnaît de fait que le blackface est une pratique raciste ». « Tous ceux qui se griment de la sorte en se retranchant derrière l’art ou l’humour le sauront désormais », a souligné dans un communiqué Louis-Georges Tin, président du Cran qui « se chargera de poursuivre tous ceux qui s’y adonnent ».

Une enquête préliminaire pour « incitation à la haine raciale » avait été ouverte en 2014 mais « le parquet, se fondant sur l’enquête de l’IGPN (Inspection générale de la police nationale), avait classé l’affaire sans suite », a rappelé le Cran.

 

Source : 20minutes

lundi, 11 août 2014

Le bras d’honneur du camarade Poutine

Publié par Guy Jovelin

Le billet de Patrick Parment

poutine.jpgIl ne fallait pas s’attendre à ce que Vladimir Poutine reste de marbre face aux sanctions décidées par Washington et suivies de près par les Toutous européens que nous sommes. Le ministère des Affaires étrangères russe a raison de déclarer que les Européens ne pèsent désormais plus rien sur l’échiquier international.

Le problème est que cet embargo sur les denrées alimentaires, décidé par Poutine, pénalise les Européens et fort peu les Américains. L’Europe est en effet l’un des premiers fournisseurs de la Russie en matière d’agroalimentaire. Ce qui risque, à court terme, de déstabiliser tout le marché intérieur européen. Ce dont, soi dit en passant, se fout complètement Barack Banania.

Quant aux Russes, ce ne sont pas les restrictions qui vont leur faire peur. Au contraire. Plus Poutine se montre intransigeant avec « l’Occident décadent » plus sa cote grimpe auprès des Russes. Voici de quoi faire avaler leur chapeau à tous les sociologues du ruisseau qui bavassent dans Libération ou Le Monde.

Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que la décision de Vladimir Poutine est d’ordre politique et qu’il en assumera les conséquences, s’apprêtant même à aller plus loin, si nécessaire. Par ce biais, Poutine met aussi en lumière l’état de dépendance dans lequel se trouvent les Européens vis-à-vis des Américains. Et il les invite à se réveiller,d’être enfin eux-mêmes. Ce langage-là, tous les Européens l’ont compris, sauf ceux qui nous gouvernent. Et c’est bien là le problème. Car toutes ces couilles molles qui nous gouvernent n’auront pas raison face à Poutine. Soixante-dix ans de communisme ont formé les Russes à tous les goulags. Le peuple russe n’est pas encore avachi par la société de consommation comme le sont les Américains et les Européens, vautrés dans leur confort anesthésiant. Et c’est bien là leur force. Ils sont encore un peuple avec une conscience nationale et le sentiment de partager le même destin. 

Les Européens se casseront les dents au petit jeu des embargos. Ca commence déjà. La presse nous entretient de la dérégulation du marché de l’agroalimentaire. Voici qui va venir s’ajouter à l’état catastrophique dans lequel se trouve notre pays.  Sarkozy avait déjà appuyé sur la pédale du déclin. François Hollande n’a plus de pédale du tout, il est le déclin à lui seul.

La rentrée sera chaude, Camarades !

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/