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jeudi, 24 mai 2018

Utrecht (Pays-Bas) : une « performance artistique » célèbre la déchéance de l’homme occidental

Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2018

Par  le 24/05/2018 

L’œuvre controversée sur le Neude, un chantier de construction fictif, a été mise en service jeudi. À partir d’un centre d’accueil, les spectateurs peuvent regarder le chantier où les acteurs agissent comme des entrepreneurs et prétendent construire un monument.

[…] L’oeuvre d’art s’appelle « Sic transit gloria mundi », qui signifie « Ainsi passe la gloire du monde ». Le Festival Spring, dont fait partie l’œuvre, écrit: «Juste au moment où les statues coloniales sont controversées, la domination occidentale plus récente montre aussi des signes de déclin, et cela nécessite un nouveau regard sur notre rôle dans le monde.

Le monument qui est censé être construit sur la place, une statue d’un homme déchu, doit représenter un mémorial. Les photos dans le centre des visiteurs montrent le lien entre l’œuvre et les relations de pouvoir internationales.

NU.NL (Traduction FDS)

Marij Swinkels@marijswinkels
 
 

Poster in binnenstad Utrecht. Volgens Google Translate staat hier: monument tegen het einde van de hegemonie van het Westen. Wie kan mij uitleggen wat dit is?

Un « comité présidentiel des villes » va être mis en place !

Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2018

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http://www.leparisien.fr/politique/banlieues-les-personna...

Les personnalités de ce « Comité présidentiel des villes » ne sont ni des élus, ni des acteurs institutionnels traditionnellement associés aux décisions locales.

Les proches du président les présentent comme les « capteurs » ou les « vigies » du chef de l’État, destinés à l’alerter et à l’alimenter en propositions directement remontées du terrain

On notera que la parité est à peine respectée : sur les vingt-cinq personnalités nommées, on n’y trouve que dix femmes…

C’est surtout la diversité qui est le plus à l’honneur …

On y trouve tout de même six Gaulois (…ou apparentés)…

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Un éventail « représentatif » donc de la population urbanisée française…

Saïd HAMMOUCHE, président et fondateur de Mozaïk RH, cabinet de recrutement spécialisé dans la diversité.

Mejda NADDARI, ancienne « parrainée » de « Nos Quartiers ont du Talent », directrice des opérations dans une chaîne de magasins bio.

Sarah OURAHMOUNE, déléguée du Gouvernement en Seine-Saint-Denis et championne olympique de boxe.

Nicolas ESCHERMANN, président de l’association lyonnaise « Sport dans la ville ».

Zahia ZIOUANI, cheffe d’orchestre franco-algérienne de Divertimento.

Yassine BELLATAR, humoriste et producteur de radio.

Adile FARQUANE, directeur des rédactions et présentateur TV chez Groupe Afrik, Télésud, Numéro 23 et Canal Atlas et animateur radio.

Mohamed MECHMACHE, porte-parole de la coordination « Pas sans nous » et membre de « AC Le Feu ».

Majid EL JARROUDI, délégué général et fondateur de l’Agence pour la diversité entrepreneuriale.

Patrick CURMI, président de l’université Évry-Val d’Essonne.

Souad BELHADDAD, engagée en Seine-St-Denis, au sein de l’association « Citoyenneté possible », à Gagny.

Clotilde BRÉAUD, président du conseil d’administration du Comité national de liaison des régies de quartier (CNLRQ).

Anne CHARPY, fondatrice et directrice de Voisin Malin, réseau d’habitants dans les quartiers populaires.

Aïsseta CISSÉ, présidente de l’association génération 2 à Evry qui mène des groupes de parole de pairs.

Laëtitia NONONE, originaire d’outre-mer et fondatrice de l’association « Zonzon 93 ».

Catherine HERRANEY, directrice du CIDFF (Centre d’information sur les droits des femmes et des familles) du Rhône.

Samia CHABBANI, sociologue, directrice et fondatrice de l’association « Ancrages », implantée dans les quartiers Nord de Marseille (Bouches-du-Rhône), qui travaille sur les thématiques de mémoire et de citoyenneté.

Nawel AMIRI, à Roubaix (Nord), étudiante en droit et membre de l’association SPORELI, qui propose des activités sportives aux jeunes de Tourcoing (Nord).

Abdelkader HAROUNE, commissaire divisionnaire chef du Centre de coopération policière et douanière Tournai (Belgique).

llaoui GUENNI, ancien boxeur professionnel, président de l’association « Émergence » au Havre (Seine-Maritime), qui travaille sur l’insertion professionnelle.

Gérard LEGRAND, proviseur du lycée Arago à Nantes (Loire-Atlantique).

Fayçal KAROUI, directeur de l’Orchestre de Pau (Pyrénées-Atlantiques).

Sabri BOUMJRI, à Toulouse (Haute-Garonne), 24 ans, avait mené un travail reconnu en 2015 sur l’emploi et l’éducation pour la préfecture.

Daniel HIERSO, Martiniquais, président d’« Outremer Network », impliqué dans le soutien aux entreprises et le numérique. Il a ouvert la Station F aux start-up des outre-mers.

Corinne VERSINI, ex-candidate LREM dans les Bouches-du-Rhône battue par Jean-Luc Mélenchon, dirige une start-up dans les bio-technologies.

Nous souhaitons bonne chance à cette nouvelle structure qui va certainement révolutionner l’approche gouvernementale des villes et notamment des banlieues…

Les mauvais esprits se demandent par avance s’il ne s’agit pas encore d’un nouveau comité Théodule…

Mais il faudrait dans ce cas lui donner un nom plus représentatif, donc probablement à consonance plus africaine…

Claude Timmerman

 

Source : medias-presse.info

Commission européenne : « Nous veillerons à la sauvegarde des droits des Africains en Italie »

Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2018

Les Italiens, qui ont voté le 4 mars dernier pour les mouvements euro-sceptiques et identitaires, le M5S et la Ligue de Matteo Salvini alliée au parti de Berlusconi et au parti identitaire Fratelli d’Italia, pouvaient s’attendre de la part de l’Union Européenne à un basique et somme tout normal :

« Nous serons attentifs à la sauvegarde des droits des Italiens en Italie ».

Et bien non ! Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, flanqué du président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a osé répondre hier à une question portant sur le programme du futur gouvernement italien concernant la gestion de l’immigration :

« Nous ne jugeons pas les gouvernements sur ce qu’ils annoncent mais sur ce qu’ils font. Mais nous resterons attentifs pour sauvegarder entièrement les droits des Africains qui se trouvent en Italie. »

Cette sortie lui a valu une réplique mordante, (qui fait allusion au goût prononcé pour l’alcool de Juncker), de la part de Giorgia Meloni, présidente de Fratelli d’Italia :

« Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker dit que la Commission européenne veillera à ce que le prochain gouvernement italien respecte les droits des Africains en Italie. Juncker, bois un peu moins ! »

a ironisé Meloni avant d’ajouter :

« L’Italie doit respecter ses propres lois. Quels sont les droits que nous devrions respecter ? Ceux des personnes qui entrent en Italie sans respecter nos lois ? En Italie on n’entre pas illégalement. Si tu entres illégalement tu dois être rapatrié. Cela est le seul respect que nous prétendrons du prochain gouvernement et si la Commission européenne veut veiller au respect des droits bien. Nous, nous voulons veiller au respect du mandat populaire que les Italiens ont donné le 4 mars dernier, qui ont demandé l’expulsion des clandestins. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Vive l'Italie ?

  Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2018 

 

cinq étoiles,italie,la ligue,ue

Giuseppe Conte, le nouveau chef du gouvernement italien antisystème

cinq étoiles,italie,la ligue,ueLes fonctionnaires de Bruxelles, la structure de l'U.E., ses commissaires et ses parlementaires, ses conseils des ministres, ses sommets des Chefs d’Etats, ses techniciens, ses idéologues et ses négociateurs, ont cru que l'on pouvait infliger aux vieux peuples historiques, aux nations constituées de longue main, aux Etats membres, les pires avanies sans que rien ne se passe. 

Ils ont cru que ces entités dites du passé, de l'Histoire, de l'ancien monde, resteraient sans voix, ne regimberaient pas. Ils ont pensé que les peuples molestés accepteraient sans mot dire d'être envahis de migrants et de produits chinois ou autres. 

Exposée de plein fouet à ces fléaux, dans l'inconscience et le laxisme le plus général, ils ont eu l'Italie de la Ligue et de Cinq Etoiles. Elle fait trembler tout l'édifice, fragile comme ce qui est artificiel. 

Que la Grande Bretagne ait quitté l'U.E. était un coup dur. On a poussé les hauts cris, lancé des anathèmes, brandi des menaces. Mais l'on savait bien que l'Angleterre, arrivée tardivement, n'avait jamais été vraiment tout à fait à l'intérieur de l'Union. Un pied dedans, un pied dehors, telle était sa réalité. La Livre sterling, la reine, le Commonwealth, le grand large, un lot de substantielles dérogations aux règles communes, la tenaient dans cette position de pays membre très spécial de l'Union. Son départ fut douloureux, mais pas vraiment surprenant. 

Que les pays d'Europe Centrale, derniers venus de l'Union, aient assez vite fait entendre leur différence et bientôt leur opposition, devenue ultimement une fronde identitaire, on pouvait encore se rassurer. Ils sortaient du communisme et confinaient à l'arriération. On pouvait encore, façon d'en sortir indemnes, mettre leurs réactions sur le compte de ces deux malheurs, effets d’un temps révolu … 

Mais l’Italie ! L’Italie du traité de Rome, de De Gasperi, l’un des plus éminents pères fondateurs de l’Europe ! L’Italie de la toute puissante démocratie chrétienne d’après-guerre, d’Aldo Moro, Fanfani, Andreotti ! L’Italie de Montini, l’Italie des papes ! Tous grands européens, mondialistes, immigrationnistes convaincus, comme l’est le pape François, lui-même italo-argentin ! L’Italie, qui plus est troisième puissance économique de l’U.E., balayant tout cela, se dotant d’un gouvernement antisystème ! L’affaire, cette fois-ci est, comme le dit le langage diplomatique, de la plus haute importance. 

Avec ses qualités et ses défauts, l’Italie est éminemment européenne et le restera. Mais elle vient de rejeter à grand bruit l’Europe de Bruxelles. 

 

Source : lafautearousseau

Bruno Le Maire s’en prend aux aides sociales

Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2018

Rédigé par notre équipe le 23 mai 2018.

 
 
 
Bruno Le Maire aurait-il peur d’être évincé du Gouvernement ? Le Président de la République avait promis des évaluations annuelles pour ses ministres et l’heure du bilan a bientôt sonné, alors comme un petit bachoteur, Le Maire envoie des signes de plus en plus grotesques pour montrer qu’il est sur la même longueur d’onde que son maître. Ainsi, les aides sociales sont devenues au détour d’une phrase, la nouvelle cible d’un ministre qui perd les pédales.  

« Sur la politique de l’emploi, à partir du moment où nous réussissons à créer des emplois dans le secteur privé, (…) à mieux qualifier, à mieux former, à donner des formations qui répondent aux besoins des entreprises, à valoriser l’apprentissage, (…) il peut être légitime de réduire la politique sociale sur l’emploi ». Hop ! C’est fait, l’air de rien, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie qui doit son poste à sa trahison et non à ses compétences, annonce que les Français vont devoir faire avec des aides sociales à la baisse.

L’Etat veut se refaire la cerise sur le dos des Français

Quelles aides sociales exactement ? Le commun des mortels devra attendre la sanction. Le Maire a juste lancé un ballon d’essai afin de voir les réactions et de calibrer au mieux cette nouvelle attaque contre les citoyens. Des indiscrétions mentionnent toutefois les APL (aides personnelles au logement) et le chômage. Les APL ont déjà été baissées de 5 euros par mois et il ne s’agissait en fait que d’un coup de semonce. La réaction a été plutôt faible alors le pouvoir s’engouffre sans ménagement. Mais le ministre prépare quand même le terrain et se justifie : « Traiter les inégalités à la racine, en formant mieux, en qualifiant mieux, en donnant les emplois, ça nous autorise ensuite à réduire le montant des aides sociales ». Sur le plan théorique, ça se tient, mais…

La réalité ne vient pas étayer les justifications du ministre. Cela fait un an que la Macronie sert les puissants et les principaux indicateurs économiques et sociaux sont toujours dans le rouge. Dire que les inégalités sont mieux traitées à la racine est un mensonge et quand bien même cela était le cas, il faudrait plus d’un an pour que la différence soit perceptible par les Français. 

Qui seront les principales victimes de cette politique répugnante ? Contrairement à ce que hurle les épigones de Mélenchon, ce ne sont pas les plus pauvres qui seront les plus touchés. Les morts vont se compter en premier lieu au sein d’une classe moyenne qui a pratiquement disparu. Délaissée par la droite, vampirisée par la gauche, la classe moyenne sera ainsi mise au tombeau par Macron.

Certaines aides sociales vont voir leurs critères d’attribution changés et le capital sera pris en compte en plus du revenu. Ainsi, les personnes âgées qui ont le malheur d’être propriétaires de leur logement (rarement des villas de luxe), ne seront plus aidées. Comme si avoir un toit qui ne laisse pas trop passer la pluie permettait de remplir son assiette. En cela, le macronisme est bien l’héritier du socialisme Mitterrando-jospino-hollandais. Les personnes âgées ne comptent guère, car trop vieilles par définition donc pas assez modernes et pas dans la ligne du jeune Macron. La politique est une affaire de choix et les sacrifiés du macronisme commencent à constituer d’impressionnantes cohortes.

 

Source : 24heuresactu