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mercredi, 02 janvier 2019

Suède : alors que la violence continue de grimper, l’UE va contribuer à un programme de lutte contre la haine

Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2019

 Par  le 01/01/2019

La Suède devrait recevoir 7,5 millions de couronnes suédoises (738 248 euros) de l’Union européenne pour les victimes de « crimes haineux », après que le pays a connu un nombre record de fusillades mortelles en 2018.

Le programme vise à apporter un meilleur soutien à ceux qui sont victimes de crimes motivés par la haine dans tout le pays pendant que leurs cas font l’objet d’une enquête ou de poursuites, rapporte le radiodiffuseur suédois Sveriges Radio.

Eva Sund, qui travaille sur les affaires de crimes motivés par la haine pour le Département des opérations nationales (NOA) de la police suédoise, a déclaré que le projet aiderait à soutenir les victimes de diverses manières, notamment en leur indiquant comment déposer correctement une déclaration de crime motivé par la haine auprès de la police.

« Le besoin d’accompagnement et d’explications des décisions prises dans le cadre d’un processus judiciaire est très élevé et cela prend du temps aux policiers enquêteurs s’ils doivent s’asseoir et s’occuper de ces questions », a dit Sund.

Breitbart London@BreitbartLondon
Head of Social Media ‘Hate Speech’ Reporting Group Nominated for ‘Swedish Hero’ Award

Head of Social Media 'Hate Speech' Reporting Group Nominated for 'Swedish Hero' Award | Breitbart

A hate speech reporting group has been nominated for the "Swedish Hero" award by one of the country's major newspapers.   

breitbart.com 

La police et l’organisation suédoise d’aide aux victimes, une association à but non lucratif qui défend les droits des victimes, envisagent également de financer le projet, qui devrait démarrer en 2020.

Le financement de l’UE intervient après que la Suède a connu un nombre record de fusillades mortelles dans tout le pays en 2018, principalement liées à la violence des gangs à travers le pays.

Un nombre record de fusillades mortelles avait conduit l’expert de la police de Stockholm Gunnar Appelgren à affirmer que le pays ressemble à un « État en guerre », alors que le nombre de saisies d’armes à feu et de grenades à main avait augmenté en 2018 par rapport à l’année précédente, ce malgré une baisse du nombre global de fusillades.

En Suède, les fusillades sont effectuées avec des armes importées de régions comme les Balkans, où le procureur bosniaque Goran Glamocanin a déclaré que la Suède était devenue l’un des plus importants marchés pour les armes de la région.

Les grenades à main sont également devenues faciles à obtenir en Suède selon Appelgren qui a admis en janvier 2018 que les bandes criminelles avaient un large accès aux armes explosives. Un ancien criminel organisé suédois a déclaré qu’il était possible d’obtenir des grenades pour seulement 1 000 couronnes suédoises (96,5 €).

Breitbart via fdesouche

dimanche, 16 décembre 2018

Migrations : L’UE porte son aide à 148 millions d’euros pour le Maroc en 2018

Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2018

Par  le 16/12/2018

L’Union européenne (UE) a renforcé son soutien au Maroc pour lutter contre la migration irrégulière en portant à 148 millions d’euros le montant total mobilisé en 2018 au titre de son fonds fiduciaire d’urgence pour l’Afrique.

(…)

Ce financement, «contribuera à intensifier la lutte contre le trafic de migrants et la traite d’êtres humains, dont un renforcement de la gestion intégrée des frontières», souligne l’exécutif européen qui évoque «un contexte de pressions migratoires accrues le long de la route de la Méditerranée occidentale».

«Avec le concours de ses États membres, l’UE intensifie actuellement son aide au Maroc, un partenaire de premier plan pour l’Union européenne. C’est ensemble que l’UE et le Maroc doivent relever les défis qui se posent actuellement à eux ; ensemble, nous pouvons lutter contre les passeurs, sauver des vies et aider les personnes dans le besoin», a expliqué le commissaire chargé de la politique européenne de voisinage et des négociations d’élargissement, Johannes Hahn, cité dans le communiqué.

(…)

Yabiladi via fdesouche

Macron : du sauveur de l’UE au boulet intégral

Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2018

Rédigé par notre équipe le 15 décembre 2018 

Enfermé dans son bunker élyséen samedi dernier, Emmanuel Macron s’est peut-être repassé L’hymne à la joie afin de couvrir la gronde du peuple de France. Une musique qu’il affectionne tant, lui cet Européen convaincu qui a décidé de prendre en main une Union européenne malade, mais toujours plus destructrice. Pourtant rien n’y fait, Jupiter pensait se couronner roi de l’Europe, il n’est qu’un jeune maigrichon mis à poil et couvert de peinture jaune. Alors que les Européens faisaient une tape dans le dos au président français en lui disant poliment « cause toujours ! », Macron est si nul que personne ne souhaite être vu en sa présence… Difficile de faire passer ses (mauvaises) idées dans de telles conditions.

Il faut garder les apparences en toutes circonstances. Macron le sait et a fait le boulot en sortant du Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement européens ce vendredi. « Des étapes importantes ont été franchies » clame le président français. Le genre de phrase passe-partout dont il s’est fait une spécialité faute de mieux. Pourtant, son ambition était grande puisqu’il voulait transformer l’Union européenne en donnant toute sa mesure au libéralisme sauvage et en effaçant les derniers restes de sentiment national. Sauf que ce dernier existe dans tous les pays européens et que celui qui émane de la France lui crie de dégager le plancher (ou plutôt sa moquette hors de prix).

Emmanuel qui ?

Le Sommet européen s’est conclu sur une promesse de quelque chose dans six mois ou peut-être plus tard, qui sait ? Mais pour Macron, il s’agit d’un grand succès puisqu’a été acté l’idée de la création d’un budget pour la zone euro. Une mesure qui doit faire passer Macron pour le parangon du petit bruxellois. La mesure vise aussi – dans un laps de temps plus important – à dissoudre les Etats dans un soi-disant collectif budgétaire. En fait les ministres des Finances vont avoir six mois pour voir quoi faire de cette idée. Un Budget pour la zone euro, mais un refus net quant à le voir « une fonction de stabilisation » en cas de crise. Chacun ses problèmes et les Européens ont bien raison quand ils voient ceux créés par Macron. Il aime tant les boulets qu’il se confond désormais avec et est aujourd’hui complètement inaudible.

C’est d’autant plus rageant qu’il y avait un boulevard pour le petit suppôt de Bruxelles. Merkel tire peu à peu sa révérence et prie pour terminer son mandat sans être déposée. Le Royaume-Uni lutte contre l’UE et son cerbère de Macron au sujet de sa sortie. Il ne restait plus que la France comme grand pays pour porter la bonne parole de Bucarest à Madrid en passant par Tallinn. Ça, c’était avant que Jupiter ne tombe de son nuage après seulement moins d’un mois de contestation populaire. Il disait aux Français de venir le chercher à l’Elysée, et a pris peur dès lors que les gilets jaunes ont investi les Champs-Elysées.

Le chef est en carton-pâte et les leaders européens qui en doutaient encore sont aujourd’hui consternés par la pusillanimité du petit président français. Avec ses ministres, le locataire de l’Elysée avait sorti les trompettes pour un budget français enfin en dessous de la sacro-sainte règle de déficit de 3 % et cela pour au moins 3 années consécutives ! Pas de chance ou plutôt mauvais calcul pour Macron. Ses petites promesses pour inciter les gilets jaunes à quitter les rues de France vont coûter au moins 10 milliards d’euros. Des milliards payés… par la dette (et donc par les Français) pardi !

Le Gouvernement tablait sur un déficit de « seulement » 2,8 % en 2019 grâce à une croissance de 1,7 %. Sans surprise, le pouvoir s’est convaincu d’un trop beau scénario. La croissance sera encore plus faible et le déficit aux environs de 3,4 %. Aïe la règle des 3 % est de nouveau violée. Macron n’est pas vierge en la matière puisqu’il a participé au cirque hollandais en toute première ligne. Un cirque dans lequel les budgets étaient déficitaires et toujours revus à la hausse pour ce qui est des dépenses.

La Macronie est de sortie et assure que ce déficit important n’est pas la norme et que cela restera exceptionnel. Personne n’y croit bien entendu et les européistes regardent leurs pieds, un peu rouge de honte. L’Italie à 2,8 % de déficit, c’est la crise et les insultes venues de Bruxelles. La France à 3,4 % de déficit, c’est juste dommage… L’Union européenne fait la preuve que les règles s’appliquent en fonction de la couleur politique des gouvernements. Une belle leçon de démocratie !

Sale temps pour Macron. Hué en France à chaque fois qu’il ose apparaître en public, il est carrément ignoré à Bruxelles. C’est un peu trop pour un tel ego ! Il ferait peut-être bien de démissionner. Cela lui donnerait le temps de nettoyer la peinture qu’il a sur le corps, de se remplumer un peu et de faire du fric dans la banque, un des rares secteurs qui a profité de sa présence au sommet de l’Etat. L’avenir n’est pas à l’Elysée quand bien même on y foule une moquette hors de prix payée par les Français.

 

Source : 24heuresactu

jeudi, 06 décembre 2018

Macron veut que l’UE sanctionne les pays réfractaires à l’invasion migratoire

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2018

Auteur : Philippe Carhon

Macron veut que l’UE sanctionne les pays réfractaires à l’invasion migratoire

Emmanuel Macron n’a vraiment rien compris à la volonté profonde des peuples européens :

Parlant d’une même voix, ils ont plaidé pour la mise en place de « centres fermés » sur les côtes européennes pour gérer les migrants qui débarquent de Méditerranée. Une proposition également appuyée par Berlin. Dans ces plateformes, les migrants attendraient l’examen de leur cas, essentiellement en Italie, pays principal d’arrivée actuellement, mais aussi en Espagne. Pour appliquer cette proposition, il faudrait que tous les pays européens acceptent d’accueillir les réfugiés qui obtiendraient le droit d’asile, quitte à les y contraindre.

Emmanuel Macron a ainsi brandi la menace de sanctions (financières ou institutionnelles) envers ceux qui refuseraient de le faire, comme l’ont d’ores et déjà annoncé les pays du groupe de Visegrad (Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie), très hostiles aux migrants. « On ne peut avoir des pays qui bénéficient massivement de la solidarité de l’UE et qui revendiquent massivement leur égoïsme national quand il s’agit de sujets migratoires », a-t-il lancé.

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 05 décembre 2018

L’Union européenne contre les peuples

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

 
POSTÉ LE 04 DÉCEMBRE , 2018, 3:23

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À la veille des élections européennes, l’Union européenne rappelle aux peuples qu’ils ne sont plus indépendants.

Le 12 septembre 2018, le Parlement européen a voté une résolution dénonçant une violation grave par la Hongrie « des valeurs sur lesquelles l’Union européenne est fondée ».

La veille, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, était venu dénoncer « l’insulte faite à l’honneur de la nation hongroise ». Et il ajoutait : « Nous ne céderons pas au chantage des forces qui soutiennent les migrants contre la Hongrie. La Hongrie défendra ses frontières et défendra ses droits, y compris contre vous, s’il le faut. »

Le principal grief vise la politique de fermeture des frontières décidée par la Hongrie, et dénoncée comme « une atteinte grave aux droits fondamentaux des migrants, des demandeurs d’asile, et des réfugiés ».

Il est également reproché à la Hongrie de supprimer le programme d’études sur la théorie du genre à l’université fondée par le milliardaire George Soros, et de défendre dans sa constitution, dans ses lois et dans ses écoles, une « conception conservatrice de la famille ».

Au nom de prétendues « valeurs européennes », l’Union européenne dénie à la Hongrie sa souveraineté.

Cette résolution confirme l’effort des dirigeants européens pour imposer un super-État se substituant aux souverainetés nationales. Elle s’inscrit dans un mouvement plus vaste qui affecte les nations occidentales.

L’encouragement des mouvements migratoires, la théorie du genre, le changement climatique, la mondialisation heureuse, sont les axes principaux de la « gouvernance mondiale » qui cherche à s’imposer.

Mais la résolution qui vient d’être votée contre la Hongrie risque, à terme, de se retourner contre l’Europe. Lorsque viendront les débats sur des sanctions contre la Hongrie, la Hongrie peut compter sur les veto de la Pologne, de la Slovaquie, de la République tchèque, auxquels s’ajouteront ceux de l’Autriche et de l’Italie.

Il ne pourra qu’en résulter une fragmentation de l’Europe, venant aggraver les effets délétères du Brexit.

En octobre, la Commission européenne a rejeté le projet de budget de l’Italie qui prévoit un déficit de 2,4 % de son PIB – alors qu’elle a validé le budget de la France qui prévoit un déficit de 2,8 % de son PIB.

Mais, surtout, le peuple italien vient de porter au pouvoir un gouvernement « populiste » qui, comme le gouvernement hongrois, s’oppose à l’entrée de migrants. C’est là une manifestation de rébellion que l’Union européenne se devait de sanctionner.

Le 21 novembre la Commission européenne a rejeté à nouveau le budget de l’Italie et mis en route une procédure de sanctions. Cette procédure est longue et, pour aboutir, elle doit être approuvée par la majorité des pays de la zone euro.

En retour, l’Italie qui est un pays contributeur net à l’UE pourrait suspendre le versement de sa contribution. C’est donc un bras de fer qui s’engage.

L’Italie est d’autant plus vexée de ce refus que :

1. D’autres pays ont des dettes encore supérieures aux 130 % du PIB de la dette italienne.

2. La France, avec son déficit annoncé de 2, 8 % au lieu de 2,4 % pour l’Italie, est absoute.

Pour le moment, le gouvernement italien refuse de s’engager dans une politique d’austérité « à la grecque » et répond à l’Europe « Me ne frego » (Je m’en fous).

Les peuples commencent à se rendre compte que l’Union européenne leur dénie le droit d’exister en tant que tels, les oblige à se fondre dans un magma cosmopolite ouvert à tous les vents, et les vassalise face au super-État européen qu’elle veut leur imposer.

Les populismes, qui montent partout en Europe, traduisent l’inquiétude des peuples qui se sentent menacés et ne veulent pas mourir.

 

Source : les4verites