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mardi, 30 janvier 2018

Une immigrationniste allemande se réveille face à la réalité

Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2018

 Lu sur RITV :

Images-2"Rebecca Sommer a fondé en 2012 l’association d’aide aux réfugiés Arbeitsgruppe Flucht + Menschen-Rechte (AG F+M). A la fin de l’été 2015, cette artiste, photographe et journaliste auteur de documentaires applaudissait la décision d’Angela Merkel d’ouvrir en grand les frontières de l’Allemagne aux « réfugiés » bloqués en Hongrie, malgré l’effet de pompe aspirante que cela devait créer. « A ce moment-là, je voulais aider chaque personne et je croyais vraiment que tous ces gens fuyaient un enfer et se trouvaient dans la détresse la plus absolue », a expliqué l’activiste allemande dans une interview publiée par l’hebdomadaire conservateur polonais  Do Rzeczy  le 15 janvier dernier à qui elle à parlé de son réveil face à la réalité. [...] 

La prise de conscience de cette représentante typique des activistes droits-de-l’hommistes bien ancrés à gauche date de la Saint-Sylvestre 2015 à Cologne. Elle a bien dû reconnaître à ce moment-là, ainsi qu’elle l’avoue sans détour au site anti-islamisation polonais euroislam.pl, que les comportements des agresseurs nord-africains et moyen-orientaux de Cologne s’inscrivaient tout à fait dans la culture musulmane des nouveaux arrivants qu’elle avait elle-même rencontrés jusqu’ici : « C’est le moment où je me suis dit : “Rebecca, tu dois maintenant mettre le holà, ne serait-ce qu’en tant que militante pour les droits des femmes.” »

Auparavant, se justifie Rebecca Sommer, « Je croyais que [leur] vision moyenâgeuse allait changer avec le temps […] mais après avoir vu ces situations se répéter et avoir observé ce qui se passait autour de moi, bénévole, j’ai dû reconnaître que pour ce qui est des réfugiés musulmans, ils ont grandi avec des valeurs totalement différentes, ils ont subi un lavage de cerveau depuis l’enfance et sont endoctrinés par l’islam et n’ont absolument pas l’intention d’adopter nos valeurs. Pire encore, ils nous regardent, nous les infidèles, avec dédain et arrogance. »

Dans son interview pour le site euroislam.pl, l’activiste pro-réfugiés précise que le mépris pour les modes de vie occidentaux et pour les femmes ne concerne pas que les musulmans pratiquants, mais la majorité de ceux qui ont grandi au sein de la culture musulmane. Elle parle aussi de sa grande déception quand elle s’est aperçue comment un groupe de « réfugiés » qu’elle avait personnellement aidés et qu’elle croyait être ses amis pratiquaient avec elle la taqqiya. « Je me suis brutalement aperçue que ces gens que j’avais aidés, qui mangeaient, buvaient, dansaient et riaient avec moi, qui ne priaient pas, qui n’allaient pas à la mosquée, qui ne respectaient pas le ramadan, qui se moquaient de la religion et des personnes profondément religieuses, ne m’appelaient pas autrement que « la stupide putain allemande » quand ils mangeaient ma nourriture et se reposaient dans mon jardin. » Elle reconnaît toutefois qu’elle avait été prévenue par des Arabes et des Kurdes arrivés eux aussi récemment en Allemagne justement pour fuir l’oppression musulmane.

Rebecca Sommer affirme ne pas être un cas isolé, que de nombreux autres bénévoles ont aussi eu cette même prise de conscience tardive et qu’il y a beaucoup moins de bénévoles prêts à travailler avec les nouveaux arrivants aujourd’hui en Allemagne. Elle reconnaît aussi que, par leur nombre, ces immigrants musulmans sont une menace pour le mode de vie des Allemands, et que cela va empirer avec le regroupement familial. [...]"

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

lundi, 29 janvier 2018

France: Sur 180 détenus incarcérés pour terrorisme, 90 ont été jugés dangereux. 57 seront libérables dès 2020.

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2018

prison islam

Durant un an, l’évaluation de la radicalisation en prison dans trois prisons d’Ile-de-France, a conclu à la présence de 90 détenus considérés “dangereux”.

180 détenus sont passés en un an, dans les quartiers d’évaluation de la radicalisation des prisons de Fresnes, Osny et Fleury-Mérogis.

90 d’entre-eux ont été considérés comme dangereux et placés en quarantaine dans différentes prisons de France.

17 de ces détenus ont été incarcérés dans le quartier pour “détenu violent” à la prison de Lille-Annoeullin.

1123 détenus se sont radicalisés en prison

Dans les prochains mois, ces quartiers d’évaluations doivent être doublés pour que 506 détenus incarcérés pour des affaires liées au terrorisme, soient évalués.

Selon l’administration pénitentiaire, 1123 détenus se sont radicalisés en prison et 57 condamnés pour des faits de terrorisme seront libérables à partir de 2020 relate BFMTV.

 

Actu17. via lesobservateurs

Pays-Bas : 40% des écoles chrétiennes organisent régulièrement des visites dans des mosquées, de nombreux parents d’élèves s’y opposent

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2018

Par  le 28/01/2018 
 

Une nouvelle étude d’une organisation d’éducation religieuse néerlandaise (Verus) indique que 40% des écoles chrétiennes visitent régulièrement des mosquées.

L’étude a été réalisée après que plusieurs parents se sont plaints des visites de mosquées pour leurs enfants. Le porte-parole Robbert Jan de Vries, de Verus, a déclaré qu ‘ »il semblait intéressant de faire des recherches sur le nombre d’écoles qui ont encore un lien avec l’église et qui visitent des édifices d’autres religions ».

Alors que 40% des écoles chrétiennes visitent des mosquées, plusieurs ont refusé de le faire. De plus, beaucoup de parents ne sont pas d’accord avec le fait que leurs jeunes enfants soient forcés de visiter des mosquées.

« L’école parle presque toujours aux parents pour expliquer pourquoi l’école fait cela », selon de Vries. Lorsque les parents refusent que leurs enfants visites une mosquée, des tâches de remplacement sont parfois organisées, comme la lecture et la recherche d’informations sur l’islam.

 

Nederlands Dagblad via fdesouche

Pourquoi des filles aiment le rap macho

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2018

Par  le 28/01/2018 
 

Les paroles du rap prennent un tour de plus en plus vulgaire et misogyne, mais le public se fait, lui, de plus en plus féminin. Enquête sur une contradiction.

 

« Ferme un peu ta gueule, va m’faire un steak-frites » (Booba, Killer ), « Je mets des doigts dans la chatte de mes trois pétasses » (Hamza, la Sauce ), « Pas montée qu’elle est déjà mouillée » (SCH, Champs-Elysées )… La liste est longue. En dix ans, les paroles de rap sont devenues très crues. Pourtant, le genre est non seulement le plus vendeur en France, le plus apprécié chez les jeunes, mais aussi très prisé par les jeunes filles. Il suffit d’aller faire un tour aux concerts de Damso, sensation du moment, ou de Booba, pour s’en rendre compte. Etonnant si on se penche sur certains textes où ces demoiselles se retrouvent souvent réduites à l’état d’objets sexuels, humiliées quand ce n’est pas violentées à longueur de rime.  (…)

 

Agen (47) : un fiché S accusé d’avoir donné des coups de couteau à un agriculteur au cri d’ « Allah Akbar » remis en liberté

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2018

 

Mis en examen pour violences volontaires avec arme et placé en détention provisoire depuis juillet, Kamal Belbakkal, 40 ans, a quitté la maison d’arrêt d’Agen vers 22 heures vendredi.

Il a été placé sous contrôle judiciaire à Agen. Son avocat Me Laurent Bruneau avait précisé il y a quelques semaines qu’il entendait déposer auprès du juge d’instruction une demande de remise en liberté. L’avocat agenais avait un argument de poids : ce fiché S depuis le printemps 2016 a été relaxé par la cour d’appel le 4 janvier dernier. Condamné à deux ans de prison ferme par le tribunal correctionnel d’Agen pour diffusion d’images relevant de la propagande de Daesh, Kamal Belbakkal niait avoir envoyé ses fichiers via l’application WhatsApp et les juges en appel étaient allés dans ce sens.

Il était fiché S pour avoir, lors d’une audition chez les gendarmes, tenu des propos de soutien à l’Etat Islamique. Il avait été assigné à résidence à la suite de l’arrêté préfectoral.

Dans le dossier de violences avec arme de juin 2017, aucune confrontation n’a pour l’instant eu lieu. Kamal Belbakkal nie avoir crié Allah Akbar au moment de l’agression de l’agriculteur de 50 ans qui moissonnait ce dimanche-là à Laroque-Timbaut, entre Agen et Villeneuve sur Lot. Il contestait aussi les coups de couteau. La victime porte encore les cicatrices psychologiques et physiques, à l’épaule gauche. Jointe ce samedi, Sophie Grolleau, son avocate, affirme ne pas avoir été tenue informée de cette remise en liberté.