Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 12 août 2018

Pays-Bas : « Les Hollandais doivent s’habituer à devenir une minorité »

Publié par Guy Jovelin le 12 août 2018

 Par  le 11/08/2018
 

Depuis 2017, Maurice Crul, professeur de faculté en sciences sociales à l’Université libre d’Amsterdam, mène des recherches sur la manière dont les Néerlandais s’intègrent dans les grandes villes grâce à une subvention de 2,5 millions d’euros octroyée par l’UE.

« Les autochtones doivent s’y habituer: ils passent de l’état de majorité dominante à celui de minorité.« 

Dans les grandes villes, le «Blanc d’origine néerlandaise» vit déjà en tant que minorité aux côtés des groupes de migrants traditionnels tels que les Surinamais, les Antillais, les Turcs et les Marocains et les nouveaux venus des pays occidentaux.

Cela devient également une réalité dans les villes de taille moyenne. Tout comme les personnes issues de l’immigration, les peuples autochtones doivent trouver leur place et s’intégrer dans la nouvelle ville diversifiée », a déclaré Crul au site d’information Trouw le 28 mars 2017.

« A Amsterdam (mais aussi à Rotterdam et à La Haye indique Gérard de Boer), le moment est déjà venu: ce groupe est minoritaire. Seul un jeune de moins de quinze ans sur trois est d’origine hollandaise », explique M. Crul. « Si vous voulez savoir comment se passe l’intégration, vous devez également observer ce groupe. Qui s’adapte à qui s’il n’y a plus de majorité? »

L’intégration fonctionne maintenant dans les deux directions. Les Néerlandais blancs doivent s’habituer à cette idée. Ainsi, un Néerlandais turc peut devenir votre nouveau manager. Ou votre enfant se retrouver en situation de minorité à l’école. Telle est la nouvelle réalité à laquelle l’ancienne «majorité dominante» sera confrontée », selon le professeur.

Trouw.nl via fdesouche

vendredi, 25 mai 2018

Pays-Bas : chaque année 1 400 filles mineures victimes d’esclavage sexuel, abusées et forcées à se prostituer par de jeunes proxénètes immigrés

Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2018

Auteur : admin4

esclavage sexuel,immigration,pays-bas,

Chaque année, plus d’un millier de mineures néerlandaises sont victimes d’abus sexuels et d’exploitation, cet esclavage sexuel est organisé par de jeunes proxénètes issus de l’immigration, révèle une enquête. Le journal hollandais qui l’a menée a contacté des travailleurs sociaux, la police et des experts en la matière.

« A l’aide de cadeaux, de boissons et de drogues, des soi-disant «loverboys» parviennent à avoir des relations sexuelles avec des filles vulnérables avant de prendre des photos ou filmer des vidéos compromettantes qui serviront de levier pour extorquer les jeunes filles et les forcer à se prostituer.

« Ces hommes sont principalement marocains, turcs, caribéens et roms. La majorité d’entre eux sont issus de l’immigration », a déclaré Gideon van Aartsen de Watch Nederland, une initiative qui coordonne avec la police nationale les efforts de lutte contre l’exploitation sexuelle des enfants (CSE).

Il a déclaré au journal que vendre des relations sexuelles avec des écolières est un « commerce lucratif » qui peut rapporter « jusqu’à 800 euros par jour et par fille » pour les proxénètes, dont la plupart font partie de réseaux plus importants impliqués dans le trafic de drogue et le trafic d’armes.

Chaque année, environ 1 400 mineures hollandaises sont victimes des ces « loverboys », un terme utilisé pour désigner les jeunes hommes qui traquent des jeunes filles mineures pour les obliger à vendre leurs corps, selon Marijke van Overveld et Esmee Huijps.

« Le processus de séduction prend seulement entre une semaine et une quinzaine de jours, alors que cela prenait des mois », a expliqué Huijps, expliquant que les filles devaient accepter de travailler comme prostituée, ou des vidéos pornographiques (sextapes) de ces jeunes filles seraient diffusées sur les réseaux sociaux.

« Une fois qu’ils ont une vidéo compromettante de vous, cela suffit pour le chantage. Surtout pour les jeunes filles, dont les parents ne savent rien. »

« Ces filles mineurs, qui ont une vie instable et vivent souvent dans la pauvreté, reçoivent des ordres comme « amène trois copines la prochaine fois, et je t’obligerai à baiser avec cinq hommes de moins chaque jour. » » 

 

 

Algemeen Dagblad

Traduction fdesouche

dimanche, 22 avril 2018

Pays-Bas: Les réfugiés sont en colère parce qu’ils doivent nettoyer leurs toilettes eux-mêmes.

Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2018

 
Toilettes
 

Les habitants d'un centre d'asile néerlandais à Alkmaar sont en colère contre la nouvelle politique de nettoyage du bâtiment, rapporte le journal néerlandais De Volkskrant. Les réfugiés doivent maintenant nettoyer leurs propres toilettes et ont besoin d'une clé pour visiter leur propre bloc sanitaire.

"Ils veulent que nous nettoyions nos propres toilettes à genoux", explique Ahmad originaire de Palestine. Un autre migrant déclare: "Même les prisons syriennes sont meilleures!" «Je ne vais pas nettoyer la merde de quelqu'un d'autre»

Abou Barak originaire de Syrie affirme au journal qu'il est "sous le choc" et demande: "C'est cela les Pays-Bas?"

Les toilettes de l'établissement n'ont pas de papier toilette car les réfugiés utilisent de l'eau pour le nettoyage. C'est culturel. Ils apportent des arrosoirs avec eux et, par conséquent, les selles sont diffusées dans la pièce.

La porte-parole du centre d'asile, Alet Bouwmeester, affirme que la nouvelle politique de nettoyage est liée à la mauvaise hygiène dans les toilettes: "L'idée est qu'en rendant les personnes responsables, les choses vont s'améliorer. Quand vous allez aux toilettes, vous les laissez dans un état propre, cela fait partie de notre programme".

(...)

Source Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

lundi, 29 janvier 2018

Pays-Bas : 40% des écoles chrétiennes organisent régulièrement des visites dans des mosquées, de nombreux parents d’élèves s’y opposent

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2018

Par  le 28/01/2018 
 

Une nouvelle étude d’une organisation d’éducation religieuse néerlandaise (Verus) indique que 40% des écoles chrétiennes visitent régulièrement des mosquées.

L’étude a été réalisée après que plusieurs parents se sont plaints des visites de mosquées pour leurs enfants. Le porte-parole Robbert Jan de Vries, de Verus, a déclaré qu ‘ »il semblait intéressant de faire des recherches sur le nombre d’écoles qui ont encore un lien avec l’église et qui visitent des édifices d’autres religions ».

Alors que 40% des écoles chrétiennes visitent des mosquées, plusieurs ont refusé de le faire. De plus, beaucoup de parents ne sont pas d’accord avec le fait que leurs jeunes enfants soient forcés de visiter des mosquées.

« L’école parle presque toujours aux parents pour expliquer pourquoi l’école fait cela », selon de Vries. Lorsque les parents refusent que leurs enfants visites une mosquée, des tâches de remplacement sont parfois organisées, comme la lecture et la recherche d’informations sur l’islam.

 

Nederlands Dagblad via fdesouche

vendredi, 12 janvier 2018

Pays-Bas – Enquête sur un rabbin accusé de pédophilie et maintien en détention préventive d’un enseignant d’une école juive accusé des viols de quatre enfants

Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2018

par   10 janvier 2018

 

Pays-Bas – Le groupe de coordination des communautés juives néerlandaises a lancé une enquête concernant un rabbin local accusé de pédophilie aux États-Unis.

Il y a quelques jours, l’organisation des communautés juives aux Pays-Bas a annoncé l’ouverture d’une enquête à l’encontre du rabbin Mendel Levine de Brooklyn, venu officier aux Pays-Bas dans la communauté juive de la ville de Nijmegen en 2009.

Cette annonce du groupe de coordination des communautés juives néerlandaises fait suite à un article publié par le journal néerlandais De Telegraaf décrivant les accusations portées contre le rabbin Levine dès 2011.

En 2011, Meyer Seewald, qui œuvre aujourd’hui pour Crown Heights, une association qui dénonce les agressions sexuelles pédophiles commises au sein des communautés juives, déclarait avoir été victime de pédophilie en 2000 alors qu’il participait au camp d’été du réseau Gan Israël, où le rabbin Levine était conseiller.

Contacté par des journalistes aux Pays-Bas, le rabbin Levine a refusé de commenter les accusations à son encontre.

Le journal Telegraaf avait aussi publié le témoignage d’une deuxième victime présumée du rabbin Levine : « J’ai entendu l’histoire de Seewald et j’ai été choqué. C’était exactement ce qui m’était arrivé. Dans le Michigan, en 2001. ». « Le moniteur Levine m’a pris à part, m’a déshabillé et a commencé à étaler de la lotion sur mes parties intimes. Je me demandais ce qu’il se passait. Je ne cherche pas à me venger, mais ça m’a traumatisé. »

Par ailleurs, le tribunal d’Amsterdam a décidé le mois dernier de maintenir en détention préventive pendant la durée de son procès Ephraim Schrijver, un Juif hollandais de 30 ans, accusé de viols sur quatre enfants.

Ephraim Schrijver, 30 ans, avait immigré en Israël en 2012 après avoir été licencié de son poste d’enseignant à l’école juive orthodoxe de Buitenveldert, près d’Amsterdam. Mais il a été extradé aux Pays-Bas en 2016.

 

Source : medias-presse.info