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jeudi, 30 novembre 2017

La ministre norvégienne Sylvi Listhaug : « C’est très bien d’expulser les immigrés clandestins, cela fait diminuer la délinquance en Norvège »

Publié par Guy Jovelin le 30 novembre 2017

 
 

L’approche de la Norvège en matière de politique sur l’accueil des réfugiés a été différente depuis le début. Lorsque la Suède a accepté 160 000 demandeurs d’asile en 2015, les Norvégiens en ont accueilli 30 000 – et cette année, jusqu’à présent, 2 000. Aucun pays n’a connu une baisse plus marquée des réfugiés. J’en ai parlé avec Sylvi Listhaug, ministre de l’Immigration.

La Norvège n’accueille pas les migrants économiques (c’est-à-dire qui n’ont pas besoin de protection). Listhaug dit que sa politique est sans ambiguïté. «Si vous êtes un migrant économique, vous êtes refusé en Norvège. Nous accordons une protection à ceux qui en ont besoin, qui sont en danger dans leur propre pays, mais nous dépensons également beaucoup d’argent pour renvoyer les personnes qui sont refusées en Norvège, également par la force». « La police est envoyée à la recherche d’immigrants clandestins dans les restaurants et autres lieux où le travail au noir est une pratique courante … si nous les trouvons, nous les expulsons. Cela a également diminué le crime en Norvège, c’est très bien »

La baisse spectaculaire de l’afflux de réfugiés en Norvège a entraîné une augmentation spectaculaire de l’argent dépensé pour aider les réfugiés dans les camps à l’étranger. Ainsi, au cours des deux dernières années, la Norvège a augmenté son budget d’aide d’environ 4 milliards de couronnes (£ 370 millions) en conséquence directe de la baisse du nombre de demandeurs d’asile.

La Norvège a appris à ne pas trop se soucier du consensus international. J’ai demandé à Sylvi Listhaug si elle s’est maintenant habituée à être traitée de « cruelle » et de « sans cœur ». Sa réponse : « Je m’en fous ».

L’approche de la Norvège est de plus en plus partagée par d’autres pays.

(…)

The Spectator via fdesouche

Zoom – Colonel Jacques Hogard :”A un moment, il faudra faire donner l’armée”

Publié par Guy Jovelin le 30 novembre 2017

 

Zoom - Colonel Jacques Hogard :"A un moment, il faudra faire donner l'armée"

Le colonel Jacques hogard est ancien officier de la Légion étrangère et commandant des forces spéciales au Kosovo en 1999. Sa décision de porter secours aux communautés monastiques en danger et de protéger les monastères orthodoxes victimes des pires exactions de la part des Albanais de l’UCK, lui a valu la plus haute distinction de l’Eglise serbe orthodoxe. Le militaire respecté et écouté est un des meilleurs spécialistes des Balkans. C’est à ce titre qu’il revient sur la condamnation décriée du général Ratko Mladic, ancien chef militaire des Serbes de Bosnie. Pour TV Libertés, le colonel Hogard revient sur la révision de l’opération Sentinelle et sur l’action et la personnalité de l’ancien chef d’Etat major, le général de Villiers. Un entretien sans concession et avec un aveu de taille :”A un moment donné, il faudra, hélas, faire donner l’armée face au radicalisme sur le sol français”.

Cet article Zoom – Colonel Jacques Hogard :”A un moment, il faudra faire donner l’armée” est apparu en premier sur TVLibertés - 1er media de Réinformation de France.

 

Extrait et vidéo de : Source et auteur

mercredi, 29 novembre 2017

Les policiers du Raid de Toulouse interpellent un homme qui portait une ceinture d'explosifs factice

Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2017

 

L'homme s'est retranché pendant cinq heures dans le commissariat de Tulle/ Capture Google
 L'homme s'est retranché pendant cinq heures dans le commissariat de Tulle/ Capture Google

Les policiers du Raid de Toulouse ont interpellé ce mercredi matin un forcené qui s'était retranché au commissariat de Tulle, en Corrèze, dans l'ancien fief de François Hollande. Souffrant de problèmes psychiatriques, l'homme a été blessé lors de l'opération.

Le suspect a fait irruption dans le commissariat vers 4 heures du matin en expliquant être équipé d'explosifs. Il est alors bloqué dans le sas d'entrée tandis que le bâtiment est évacué et qu'un vaste périmètre de sécurité est installé tout autour. Les policiers de l'antenne du RAID 31 sont appelés en renfort. Dès leur arrivée sur place, ils entament des négociations avec le forcené, qui refuse de sortir du sas. Peu avant 9 heures, l'homme sort du bâtiment et menace les fonctionnaires avec une arme. Les policiers ripostent : l'homme est blessé par balles aux jambes puis maîtrisé avant d'être conduit à l'hôpital. Son pronostic vital n'est pas engagé. 

La piste terroriste écartée 

L'arme comme la ceinture explosive que portait le forcené se sont révélées factices. Inconnu des services de renseignement, sans antécédent judiciaire, l'homme a en revanche séjourné à plusieurs reprises en hôpital psychiatrique. Une enquête a été ouverte par le parquet de Tulle pour faire la lumière sur ses motivations. 

Belgique – La Croix Rouge fait retirer les crucifix de ses locaux, multiculturalisme oblige…

Publié par Guy jovelin le 29 novembre 2017

Ecrit parPierre-Alain Depauw

 

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Comme en témoigne cette ancienne publicité ci-dessus, datant de 1951, la Croix Rouge de Belgique assumait autrefois un enracinement chrétien, utilisant même l’image du Croisé pour récolter des fonds.

Mais les temps ont bien changé et la Belgique, à l’image de la France, est soumise à la pression combinée du multiculturalisme et du laïcisme. La direction de la Croix Rouge de Belgique a donc demandé de retirer les crucifix de tous ses locaux, créant le mécontentement chez une bonne partie de ses bénévoles.

Quant à parler de neutralité religieuse, pourquoi alors continuer à utiliser le terme Croix Rouge. Pourquoi ne pas passer au point rouge, façon nez de clown. Avant de passer de la laïcité à l’allahicité et finir au Croissant Rouge… qui a bien une signification religieuse.

 

Source :medias-presse.info

 

 

Un mal français : la redistribution

Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2017

 
 

AUTHOR

Raymond Croella

 

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La redistribution est l’instrument adoré des apôtres de la justice sociale.

Elle consiste à prélever sur les riches pour aider les pauvres et les défavorisés de tout ordre.

En langage populaire, cela revient à déshabiller Pierre pour habiller Paul.

Une conséquence soigneusement occultée est que la redistribution sociale appauvrit le pays.

En effet, parmi les dizaines de milliers de Pierre qui en supportent le poids, certains hésitent à fournir l’effort qui pourrait leur apporter un revenu supplémentaire, en pensant : « À quoi bon, l’État va m’en prendre l’essentiel! »

De même, parmi les dizaines de milliers de Paul qui en bénéficient, certains renoncent aussi à fournir un effort supplémentaire en se disant « De toute façon, l’État m’aidera. » Ou pire : « On va diminuer mes allocations! »

Ainsi, aux deux bouts de la chaîne de redistribution sociale, des efforts, et donc des productions supplémentaires, sont perdus pour le pays qui se trouve, par conséquent, privé de leur valeur ajoutée.

En outre, la complexité de gestion des diverses aides sociales exige une bureaucratie importante, dont le financement par l’impôt ampute encore le revenu disponible des citoyens.

Un exemple concret en a été donné au cours d’un débat sur LCI, le 14 novembre 2017 : un célibataire travaillant à mi-temps pour 600 euros par mois, perçoit en tout, grâce aux aides sociales diverses, 1 150 euros par mois.

S’il travaille à plein temps pour un SMIC de 1 150 euros par mois, son revenu ne sera que 1 270 euros par mois, car il perdra bon nombre de ces aides.

Il a donc largement intérêt à rester à mi-temps, et à travailler un peu au noir à côté!

De tels comportements ne peuvent que se développer dans un pays où de plus en plus d’individus obtiennent davantage par la redistribution que par leur effort personnel.

Dans ce pays où l’État confisque 57% de la richesse nationale, il n’est pas surprenant que se développent aussi des comportements de résistance à l’impôt.

On a jeté en pâture à l’opinion publique les « Paradise Pa­pers ». Mais le retraité qui part s’installer au Portugal relève de la même démarche : fuir un enfer fiscal, la France!

 

Source : les4verites