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vendredi, 24 novembre 2017

Un témoignage accablant

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2017

IslamCheval de Troie

Hatune Dogan est une religieuse de l'Église syriaque orthodoxe d'Antioche. Elle est née en 1970 à Midyad, dans le sud-est de la Turquie. Aujourd’hui elle préside l'organisation Helfende Hände für die Armen (que l’on pourrait traduire par « mains tendues pour les pauvres »). Elle vit actuellement dans un monastère en Allemagne.

De par son engagement humanitaire, Hatune Dogan a vu la misère et la pauvreté dans le monde entier. Ces dernières années, elle s’est avant tout engagée pour soutenir les réfugiés syriens et irakiens et les victimes de persécutions religieuses de l’Etat Islamique. Son témoignage sur les atrocités commises par l’EI est alarmant.

Sœur Hatune décrit dans une interview accordée au magazine allemand « Compact » (1) l’horreur en ces termes : « plus de 3000 filles et femmes violentées et abusées ont pleuré sur mes épaules. J’ai vu des cadavres d’enfants coupés en deux. J’ai vu un prêtre syriaque-orthodoxe qui fut écartelé en sept morceaux. » Puis elle rajoute : « vos médias ne montrent jamais ces atrocités. » Un silence qui fait d’autant plus mal à sœur Hatune qu’elle a elle-même vécu la montée de l’intégrisme musulman dans son pays d’origine ou elle fut persécutée depuis son plus jeune âge.

Hatune Dogan ne fait pas de différence entre Islam et Islamisme. Elle s’explique en évoquant que « toutes ces atrocités sont commises au nom de l’Islam. […] Les musulmans sont prisonniers de leurs écrits. Il ne peut y avoir de paix [avec les musulmans] tant que le coran n’aura pas été réformé. […] Il y aura toujours un imbécile qui voudra suivre le coran à la lettre. »

Hatune Dogan lance un vibrant avertissement à l’Occident: « l’Europe doit arrêter d’être autant naïve. » En 2016, elle était onze fois dans le Proche-Orient. Elle a vu qui est resté en Syrie et qui s’est « enfui » vers l’Europe. « Ce ne sont pratiquement que des jeunes hommes qui sont partis. Des gens qui devraient participer à la reconstruction de leur pays. Ils ont laissé les femmes et les enfants abusés chez eux. Pourquoi ? Soit pour obtenir le regroupement familial, soit pour se marier avec ds européennes ce qui leur assure la possibilité de rester. »

Sœur Hatune explique que de nombreux « réfugiés » sont des islamistes fanatiques. « l’Europe à laissé rentrer les loups et à laissé les agneaux dehors ». Elle craint que les Européens vivront bientôt la même situation qu’elle a connue lorsqu’elle était enfant en Turquie : persécution des « infidèles » et petit à petit l’arrivée au pouvoir de l’islam. « Regardez – dit-elle – les chrétiens ont accueillis les musulmans dans le Proche-Orient au VIIIème siècle comme ils les accueillent aujourd’hui en Europe. 96% des habitants de la région étaient chrétiens. Ils ont cru bien faire au sens de la bible en aidant ces pauvres démunis et leurs ont tout appris : Géographie, astronomie, art. Aujourd’hui il reste 2% de chrétiens dans la région. Et ils restent persécutés et menacés. »

Le témoignage de sœur Hatune es là pour nous avertir de ne pas répéter les erreurs de l’Histoire!

(1) « Sie haben an meiner Schulter geweint », Entretien avec Hatune Dogan par Tino Perlick, Compact-Magazin N° 11/2017

Albert Leimgruber, 22.11.2017

 

Source : lesobservateurs

Royaume-Uni : la BBC (télévision publique) propose une offre d’emploi réservée aux personnes « non-blanches »

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2017

bbc,non-blancs,stage,

Une annonce d’offre d’emploi pour «une opportunité exceptionnelle et unique de se former en tant que journaliste» à la BBC indique qu’elle n’est ouverte qu’aux candidats non-blancs.

Affiché mardi dans la section emplois de W4mp – le portail des emplois politiques, médiatiques et de lobbying de Westminster -, l’annonce indique clairement que le stage rémunéré à la télévision publique britannique BBC est « ouvert uniquement aux candidats noirs, d’origine asiatique, arabe ou autres d’une minorité non-blanche ».

Breitbart London via fdesouche

Calais. Un policier avait giflé un migrant : 6 mois de prison ferme

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2017

Le parquet, relevant que le migrant était menotté, avait requis 6 mois de prison ferme.

  • Le parquet, relevant que le migrant était menotté, avait requis 6 mois de prison ferme. | Photo d'illustration Ouest-France / Joël Le Gall
Un policier qui avait giflé un migrant à l'été 2016 dans un centre de rétention près de Calais a été condamné jeudi à six mois de prison ferme, au tribunal de Boulogne-sur-Mer.

Cet agent de la police aux frontières (PAF) assurait l'escorte d'un migrant jusqu'en salle de jugement du centre de rétention administrative de Coquelles. Il lui était reproché d'avoir, juste avant le passage devant le juge des libertés et de la détention, giflé le migrant, sous les yeux d'une greffière qui a ensuite témoigné contre lui.

« C'était un geste malheureux de protection, il n'a pas voulu gifler », a assuré de son côté son avocat Me Antoine Deguines. « Cette personne était assez agitée, elle se relevait tout le temps, il a craint un coup de tête et a allongé le bras qui est allé sur le visage de la personne ».

Révocation de sursis

En prononçant ces six mois ferme, le tribunal a suivi les réquisitions du parquet, qui avait relevé que ce geste avait été commis alors que le migrant était menotté. Le quadragénaire s'est également vu interdit de détention d'arme pendant cinq ans et interdit de fonction publique pendant deux ans avec sursis.

Il avait déjà été condamné pour violences sur concubine et le sursis qui avait alors été prononcé, de quatre mois, a été révoqué.

 

Source : ouest-france

Grande-Bretagne : une mère de famille demande à l'école de son enfant d'arrêter de raconter "La belle au bois dormant" au motif que le baiser n'est pas consenti

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2017

 @ DR
POLÉMIQUE - Une mère de famille de North Shields en Grande-Bretagne a expressément demandé à l'école primaire de son fils âgé de 6 ans de cesser de raconter l'histoire de "La Belle au bois dormant". Selon elle, le baiser entre la Belle endormie et le prince n'est pas consenti et pose donc un problème d'agression sexuelle.
 

Et si ces changements commencaient par l'école primaire. La très petite enfance, ce moment où les enfants sont réceptifs à l'imaginaire et aux histoires de contes de fées. De fait, une mère de famille britannique a expressément demandé à l'école primaire de son fils âgé de 6 ans, de cesser de raconter cette histoire aux enfants. Pour elle, le prince est coupable d'un comportement sexuel inapproprié. Dans un tweet, elle commente son propos. 

Sarah Hall est une mère de famille de deux enfants. L'un deux, un petit garçon est scolarisé dans une école primaire de Northumberland Park. Une école qui, comme beaucoup d'autres, narrent des histoires aux enfants. Mais Sarah Hall aimerait que "La Belle au Bois dormant" ne soit plus raconté aux écoliers. Elle estime que le conte de fées fait la promotion de comportements inappropriés qui ne devraient pas être exposés aux enfants. 

C'est en lisant un livre de son fils, basé sur le conte de Charles Perrault qu'elle a immédiatement tilté sur la fin de l'histoire : "Je crois que la fin de ce conte pose la question du consentement dans l'acte sexuel", commente-t-elle auprès du Chronicle Live. Par cette question, Sarah Hall évoque le moment où, la princesse Aurore, plongée dans un profond sommeil, est tirée de ce dernier par le baiser du prince. Sauf que ce baiser n'a pas été désirée par la princesse. "Il s'agit de se demander si c'est toujours pertinent, est-ce approprié ?", s'interroge la mère de famille. 

Elle estime par ailleurs que "dans notre société actuelle, ce n'est pas approprié. Mon fils de 6 ans absorbe tout ce qu'il voit et ce n'était pas comme s'il pouvait faire la part des choses et avoir une conversation constructive". "Je ne pense pas que bannir la Belle au bois dormant soit bien. Je pense au contraire que cela pourrait être un point d'appui pour les enfants plus âgés qui permettrait d'avoir une discussion autour de cela et évoquer avec eux la notion de consentement et comment la princesse pourrait se sentir, par exemple", argumente-t-elle. "Les enfants ont un sens extrêmement fort de la notion du bien et du mal et leur parler de ces histoires est un bon moyen d'évoquer cela avec eux (...) Nous pourrions explorer cette histoire et sa pertinence culturelle en évoquant les droits et les torts, de ce conte", conclut-elle. 

 

Source : lci.fr

Nice : les mariages du week-end

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2017

Auteur : admin4

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Source : contre-info